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| Talking about [Pv Eli & Wayne] | |
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Scarlett Moriartyadmin • beg me, look at me, pay for me
▻ Préférence : les hommes. les dealeurs surtout. ▻ Célébrité : Nina Dobrev ▻ Messages : 1695 ▻ Date d'inscription : 11/02/2012
| Sujet: Talking about [Pv Eli & Wayne] Mar 13 Mar - 14:02 | |
| Wayne avait pour habitude d’obtenir tout ce qu’il voulait. Il ne laissait rien lui filer entre les doigts, surtout quand il était question de ses affaires. Il devenait quelqu’un d’autre. Il devenait particulièrement dangereux. Quand une fille lui plaisait, il était hors de question qu’elle lui échappe. C’était le cas d’Elizabeth. Cela devait faire à peine deux jours qu’elle avait mis les pieds dans cette ville. Les sbires de Wayne avaient trouvé la jeune femme aux États-Unis et lui avaient apporté quelques photos. Un coup de foudre. Son physique était parfait, son allure était simplement parfaite. Wayne savait parfaitement qu’elle allait plaire au client. Le style de femme fragile, le style de femme qui ne s’est pas fait toucher souvent, aux allures de vierge. Il adorait l’idée qu’elle allait lui apporter beaucoup d’argent. Wayne marchait comme ça, au sexe et à l’argent. C’était surement deux choses bien importantes pour lui. Un homme d’affaires. C’est comme ça qu’il se considérait.
Cela faisait quelques jours que la jolie brune était enfermée dans sa maison, il pensait à comment il allait devoir la dresser. Comment il allait devoir la faire changer et la faire devenir une parfaite petite pute. Elle semblait avoir du caractère, il l’avait vu à quelques reprises. Elle allait devoir se calmer parce qu’elle ne pouvait pas se comporter de la sorte avec les clients. Se taire et être aux ordres, aux petits soins. Elle n’avait pas son mot à dire. Dans la cuisine, le brun lui préparait un plateau de nourriture. Il n’allait quand même pas la laisser mourir de faim. Impossible de dire comment de temps cela allait prendre avant qu’elle soit prête, mais il allait prendre le temps. Elle n’avait plus d’option de toute façon, elle n’avait aucun moyen de s’échapper et il allait bien veiller à ce que ce ne soit pas le cas. Elle ne pouvait pas faire grand-chose. La jeune femme ne devait même pas savoir dans quelle ville elle se trouvait de toute façon. Wayne montait donc les marches pour se diriger vers la chambre dans laquelle elle était enfermée. Il n’allait pas non plus la mettre dans une cave froide et humide, ce n’était pas le but. La jolie brune était cloitrée dans une grande chambre luxueuse.
Les quelques marches venaient d’être montées et Wayne rentrait le code de la porte pour se glisser à l’intérieur de la chambre. La porte se refermait aussi rapidement qu’elle avait été ouverte. Normal qu’elle n’avait pas envie de le voir. Normal qu’elle soit simplement effrayée. Il n’en avait tien à faire. À un moment, elles finissent toutes par lui parler. Parce que c’est un manipulateur, parce que c’est un salaud, parce qu’il a toujours ce qu’il veut. Parce que c’est ainsi. De toute façon, elle ne peut rien faire d’autre. Soit elle obéit, ou soit elle passe sa vie enfermée entre ses quatre murs. Wayne posait le plateau sur le bureau qui se trouvait dans la chambre. Les fenêtres étaient fermées et c’était impossible de les ouvrir, la porte était fermée à double tour, impossible de l’ouvrir. Autant dire qu’il n’y avait aucune issue. Ce n’est pas la première fois qu’il kidnappait une femme pour en faire une pute, il savait exactement comment s’y prendre. La chaise du bureau se poussait pour qu’il se pose contre celle-ci. Wayne savait exactement comment cela allait se passer. La jeune femme allait refuser de manger, elle allait se mettre à pleurer et demander pourquoi elle. C’était souvent ça. Il savait. À moins qu’elle ne fasse quelque chose de surprenant, il se doutait parfaitement de la tournure des évènements. Son regard pâle se posait sur la jeune femme. Elle n’était pas sortie depuis qu’elle était arrivée, de toute façon, si elle sortait, elle ne pourrait pas sortir de la maison de Wayne parce que tout était fait en fonction qu’elle ne puisse pas s’enfuir. Le silence était lourd. Il se contentait de la regarder pendant un moment, jusqu’à ce qu’il se mette à parler. « -Tu devrais manger quelque chose, te laisser mourir de faim ne va pas servir à grand-chose.» Il était calme. Pour le moment, il n’avait pas de raison de s’énerver, il n’avait pas de raison de se mettre à lui crier dessus. Elle n’avait rien fait.
Elle ne faisait rien. Silencieuse. Il souriait. Aujourd’hui, il avait bel et bien l’intention de la faire parler. Elle n’allait surement pas rester muette pendant des jours, voir même des semaines. Il y avait surement un moment ou elle allait paniquer et se mettre à crier comme toutes les autres femmes faisaient. Il en avait vu de toutes les sortes. Elle, elle avait tout pour être sa petite préférée et il comptait bien en faire ce qu’il voulait. Ses doigts se glissaient dans ses cheveux sombres alors que son regard ne quittait pas la jeune femme. « -C’est inutile de m’ignorer ou de ne pas parler pendant des jours, tu vas finir par craquer. Je le sais. Crois-moi. Alors, autant sauter tout de suite le temps perdu et passé aux choses sérieuses. Dis-moi ce que tu as sur le cœur. Je t’écoute. Je sais. J’ai gâché ta vie et tout ça, mais crois-moi, ma belle, il n’y a aucun moyen que tu te sortes d’ici.» Silence avant qu’il ne se remette à parler. « -Je sais parfaitement comment faire, ce n’est pas la première fois que je fais ça et ce n’est surement pas la dernière.» Voilà. Il venait de dire la vérité. Il n’avait pas envie de jouer au gentil. Il ne l’était simplement pas.
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| Sujet: Re: Talking about [Pv Eli & Wayne] Mer 14 Mar - 19:16 | |
| Je restais recroquevillée sur moi-même, les minutes semblaient durer des heures. J'étais apeurée, fatiguée, et dans l'incompréhension la plus complète. Je ne savais pas pourquoi, ni comment j'avais atterri ici. Pourquoi avait-il désiré m'avoir, moi ? Pas une autre. Qu'allait-il réellement faire de ma personne ? Mon visage était appuyé contre le mur, je n'avais rien de mieux à faire que de penser, et à tenter de ne pas trop me rendre davantage paniquée que je ne l'étais déjà. Mais ce n'était pas une mission facile, ce type, Wayne, n'avait rien de rassurant. Cette situation ne m'offrait aucun confort. C'est pourquoi, je fermais les yeux, fort, et tentais de m'imaginer auprès de mes proches, loin de ce cauchemar à l'allure interminable. Parfois, j'espérais me réveiller, dans un violent sursaut, et réaliser que tout ceci n'était qu'éphémère et fruit de ma mauvaise imagination. Sauf que je rouvrais mes paupières, et rien autour de moi n'avais bougé. J'étais toujours dans même et grande chambre, seule. Je me frottais les bras, cherchant à me réchauffer. La pièce où il m'enfermais la plupart du temps avait beau être grande, j'avais la sale impression d'y être compressée. Mais, je me taisais, par peur. Je n'étais pas de celle qui criai à tout va sa colère, je préférais d'abord en mesurer les conséquences.
La porte s'ouvra, me sortant brusquement de mes pensées. Je resserrais aussitôt les doigts, crispée. J'appréhendais ses visites, j'appréhendais sa présence. Il avait un visage qui dégageait tant de haine, un regard perçant, une expression froide, de celle qui vous ferait presque frissonner. Je n'avais jamais ressentie de telle peur pour un individu. Une peur qui te fais mal au ventre, et te prends le corps en quelques secondes. Il déposa un plateau sur un bureau, et se posa sur une chaise, non loin du lit sur lequel j'étais assise. J'en détournais aussitôt le visage. Je ne voulais pas le voir, je ne voulais pas le regarder. L'ignorer ? Ce n'était pas une bonne idée, mais c'était la seule protection que j'étais en mesure de prendre. Je n'étais pas, en cet instant, suffisamment déterminée pour oser ancrer mon regard dans le sien. Je savais que j'y perdrais la raison, et que cela ne ferait que m'affaiblir davantage. J'avais pour l'instant besoin de m'éloigner de lui, d'oublier, d'effacer, d'ignorer. Un silence, lourd, s'installa. Bien trop pesant à mon goût. Je me pinçais la lèvre, je sentais son regard posé sur ma silhouette. Cela me gênait, et m'obligeait à me renfermer davantage sur moi-même. Tu devrais manger quelque chose, te laisser mourir de faim ne va pas servir à grand-chose déclara-t-il, doucement. J'en esquissais un sourire, faux. Je ne mangerais pas, je ne voulais rien de lui, si ce n'est qu'il me ramène là où il m'avait trouvé. Qu'il m'offre une explication, qu'il me sorte de cet emprisonnement qui allait finir par me rendre dingue. C’est inutile de m’ignorer ou de ne pas parler pendant des jours, tu vas finir par craquer. Je le sais. Crois-moi. Alors, autant sauter tout de suite le temps perdu et passé aux choses sérieuses. Dis-moi ce que tu as sur le cœur. Je t’écoute. Je sais. J’ai gâché ta vie et tout ça, mais crois-moi, ma belle, il n’y a aucun moyen que tu te sortes d’ici continua-t-il. J'en fermais les paupières, tout en me détruisant l'intérieur de la joue. Je sais parfaitement comment faire, ce n’est pas la première fois que je fais ça et ce n’est surement pas la dernière ajouta-t-il. Me dire que je n'étais pas la première à avoir été dans cette situation ne me fit que me rendre encore plus crispée. Cet homme était une ordure, il n'avait aucune valeur, et manipulait les femmes à sa guise. Nous devions être siennes, lui obéir. Et qui sait ce qu'elles sont devenues ? Droguées, violées, tuées ? Je m’imaginais le pire, mais je ne vois pas comment tirer de pensées positives à une telle situation.
Je sentais mon rythme cardiaque s'accélérer, et avais d'ailleurs la sensation qu'il puisse être entendu par Wayne. Je m'obligeais à l'apaiser. Je ne voulais pas craquer, comme l'affirmait Wayne. Je ne voulais pas céder, je ne voulais pas lui céder, ni même commencer à lui hurler ma peur. Pleurer ? Sûrement pas. Une vague sensation d'énervement m'envahissait, probablement mêlée à de la colère. Je ne me laisserais pas faire. Je tiendrais, je le devais. Je prenais une profonde expiration, je voulais repousser cette tension. Je redressais mon buste, plongeant alors mon regard dans le sien. Un frisson me parcouru, mais je tentais de paraître la plus neutre possible, quitte à en sourire légèrement. Je voulais paraître forte, et ne pas être une autre de ses petites poupées. Je ne lui répondais pas, je me contentais de le regarder, en essayant d'être la plus naturelle que possible. Mais j'étais en réalité plutôt tétanisée face à cette situation. J'étais dégoûtée par cet homme, et comptais bien tout mettre en oeuvre pour ne pas lui céder. Première étape, ne pas craquer. Seconde étape, oublier ce plateau qui n'attendais qu'à être dévorée. Troisième étape, le changement de situation. Tu n'as pas gâchée ma vie lâchai-je. Étais-je réellement convaincante ? J'en doutais, mais j'essayais. Je ne pouvais pas rêver mieux ajoutai-je avant d'attraper un oreiller, que je glissais contre mon ventre.
Je m'allongeais, mes bras se faufilèrent autour du coussin, ma tête se déposa contre la couette. Je lui dévoilais mon dos, fermais les paupières, et relevais mes jambes contre moi. Maintenant, tu peux attendre murmurai-je. Je voulais échapper à son regard, et à sa présence. Qu'il parte, et me laisse. Je serrais les doigts, tout en chassant de mon esprit le visage froid de Wayne. A présent, je tentais de contrôler ma respiration. Cela me faisait penser à autre chose, cela me permettais de me " détendre ", même si le terme était loin de s'accorder avec la situation. Enfant, c'est ce que je faisais, toujours, quand Morphée ne me voulait pas dans son univers. Penser à mon souffle, et à rien d'autre. Vous devriez essayer, c'est efficace, parfois.
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| Sujet: Re: Talking about [Pv Eli & Wayne] Mer 28 Mar - 3:13 | |
| Ressentait-il le moindre remord d'agir de la sorte? Ressentait-il le mal qu'il pouvait faire à ces femmes? Sûrement pas. Pas du tout. Probablement pas. Wayne n'avait simplement pas de conscience. Wayne vivait pour deux choses. L'argent et le sexe. Le brun avait décidé de faire un mélange des deux en menant cette vie qu'il s'était construite. Gagner de l'argent par le sexe, par les femmes. Il ne s'en lassait pas. Il était un redoutable prédateur sans la moindre conscience morale. Il prenait des femmes dans le monde, des femmes parfaites qu'il enfermait chez lui et qu'il formait pour devenir de parfaites petites putes. Aucune attache. Jamais. Il ne tombait pas amoureux. Il ne couchait avec aucune de ses employées ou presque. Il y a toujours quelques exceptions dans le lot. Voir les corops onduler sans arrêt, voir les hommes payer pour en avoir plus. Il adorait ça. Simplement. Son travail était toute sa vie.
Elizabeth avait été un coup de cœur. Une femme parfaite à ajouter dans le lot. Un air farouche. Un corps frêle et un allure un peu enfantine. Des allures de jeune vierge. Il savait que les hommes allaient payer pour elle. Il le savait parce qu'avec le temps, il connaissait parfaitement le goût et les envies des hommes et de ses clients. Son regard était posé sur elle, sans qu'il n'ait la moindre envie de la détourner. Il la regardait, comme on regarde un objet ou quelque chose que l'ont possède. C'est ce qu'il pensait. C'est ce qu'il ressentait. Elle était à lui. Elle n'était plus rien. Elle n'avait pas le moindre moyen de s’échapper et elle ne semblait pas du tout coopérative. La jolie brune lui tenait tête depuis quelques temps, elle ne faisait qu'à sa tête et ne mangeait pas. Assis contre sa chaise, il ne bougeait pas. Il se contentait de regarder. C'est de cette façon qu'il allait savoir ce qu'il allait vouloir faire d'elle. Loin d'aimer se faire dire non, loin d'aimer qu'elle ne fasse pas ce qu'il désir. Il tentait d'être patient. Il tentait de rester calme. Il tentait de ne pas lever le ton. Ce n'était pas facile. Elle était farouche. Il voulait cette jeune femme. Elle n'avait simplement plus aucun moyen de s'échapper. Un soupir. Ses doigts glissaient lentement dans ses cheveux foncés. La senteur du repas qu'il venait d'apporter se faisait sentir dans la pièce. Il se doutait qu'elle avait faim. Ce n'est pas la première femme refusant de manger qu'il croisait. Loin de là. Silencieux, il laissait la jeune femme faire à sa guise. Loin de se laisser impressionner par son comportement, il ne bougeait pas. Wayne n'avait pas la moindre intention de partir. Il n'avait pas de temps à perdre et il n'allait pas passer tout son temps à entendre qu'elle accepte son sors et qu'elle ne joue plus à la gamine de cinq ans. Elle en avait vingt non? Environ. Peu importe.
Les mots de la jeune femme eu le don d'arracher un rire à Wayne. La situation l'amusait. Pour qui le prenait-elle. Est-ce qu'elle pensait qu'il allait la croire? Est-ce qu'elle pensait se montrer convaincante? Il en doutait. « -C'est vrai que tu ne peux pas rêver mieux. C'est idéal comme vie. Je t'ai arraché à ta famille. Tes deux parents et aussi ton petit frère. Que tu aime beaucoup. Je me trompe? Si j'étais toi, je me montrerais un peu plus coopérative. Je n'ai pas trop de temps à perdre.» Une menace. C'était exactement ce qu'il venait de faire. Wayne venait l'avertir qu'il connaissait sa famille et il ne serait pas étonnant qu'il arrive quelque chose à l'un deux si elle continuait de se comporter de la sorte. Elle le mettait en colère. Son attitude indifférente ne l'amusait pas le moins du monde et si elle continuait de la sorte, il allait perdre son calme. Sûrement qu'elle allait préférer qu'il soit calme plutôt qu'il perde les pédales. Un soupire alors qu'il la regardait faire. Une envie folle de lui donner un claque pour qu'elle arrête de jouer à la plus forte avec lui. Elle n'avait pas le contrôle. Elle avait perdu. Il le savait et c'était comme ça. Le jeune homme se levait de sa chaise pour se diriger vers la jeune femme. Elle le détestait? Probablement. Qu'est-ce qu'il en avait à faire? Autant utiliser cette colère pour venir à ce qu'il voulait. Sa main attrapait le bras de la jeune femme, la forçant ainsi à quitté sa position qui semblait si réconfortante. Le dos de la jeune femme venait percuter le mur alors qu'il faisait un pas vers elle pour la coincer. Elle ne pouvait pas bouger. Elle ne pouvait simplement pas s'enfuir. Elle était coincé entre lui et le mur. Son corps se pressait un peu au sien. Une main se posait sur son menton pour qu'il la force à le regarder dans les yeux. Aucunement l'intention d'abuser d'elle. Entre lui et elle il n'avait rien. Elle n'était qu'un investissement et pour le moment, elle allait le rendre fou avec son comportement désagréable.
Ses doigts contre son menton tenait son visage fermement. Son autre main se glissait contre son épaule. Le bout de ses doigts effleuraient doucement sa peau pour faire glisser un manche et dévoiler la peau ferme de son bras. Frottements légers. Son corps contre le sien. Elle était parfaite. Il devait simplement lui montrer comment faire, lui montrer ce qu'il attendait d'elle et changer son était d'esprit pour qu'elle aime çà. Il y arrivait toujours. Il arrivait toujours à ses fins. Un souffle. Son visage était directement devant le sien, elle pouvait presque sentir son souffle se perdre contre ses lèvres. « -Tu dois être convaincante. Montrer que tu aime ça. Faire semblant que tu en as envie même si ce n'est pas le cas. Ça doit se lire dans tes yeux.» Ses doigts glissaient lentement le long de son bras pour ensuite glisser contre sa hanche et venir contre une de ses cuisses. « -Tu ne baisse simplement jamais les yeux. C'est interdit. Ton regard dans le sien.» Souffle. Murmure. Il parlait doucement. Ses gestes étaient tendre. Il ne faisait que caresser sa peau comme il toucherait une œuvre d'art. Ses doigts remontait contre sa cuisse pour passer contre le contre de sa fesse et se poser sur ses hanche. Il la forçait la le regarder. Première leçon. |
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| Sujet: Re: Talking about [Pv Eli & Wayne] Sam 7 Avr - 7:38 | |
| J'étais là, perdue, fatiguée, énervée. Je lui en voulais, lui et son arrogance, lui et sa façon qu'il avait de se montrer comme un être supérieur. Il cherchait à me faire comprendre que je n'avais plus aucune issue, si ce n'est me plier à ses exigences. Je ne voulais pas l'écouter, pas lui obéir. Je voulais le frapper, le repousser, le supplier de me ramener. Mais au lieu de cela, je restais calme, du moins, en apparence. Je tentais de paraître détendue, même ravie par cette situation. Tu n'as pas gâchée ma vie glissai-je, alors. Utiliser l'ironie, c'était stupide. Mais un moyen pour moi de me protéger de la vérité. Je ne pouvais pas rêver mieux ajoutai-je sur un ton qui se voulait convainquant. Je me savais douée pour la comédie, mais là, allais sincèrement réussir à lui faire croire que je pensais ce que je disais ? J'en doutais, il n'était pas imbécile, et il était même loin de l'être. Je me recroquevillais à présent sur moi-même, un oreiller entre les bras. J'avais besoin de cette proximité avec ce coussin, j'en avais besoin pour m'apporter du " soutien ", pour m'offrir la sensation d'être dans une position dans laquelle il ne pouvait m'atteindre. Maintenant, tu peux attendre murmurai-je avant de refermer mes paupières. Je respirais, doucement, tentant de contrôler ce rythme cardiaque qui ne faisait que s'emballer, qui s'était écarté de son chemin et qui avait à présent beaucoup de mal à retrouver la bonne direction. Entendre son rire me crispa, pauvre con. Il était arrogant, malsain, et probablement pervers. Son rire ne provoquait pas le mien, son rire amplifiait ma colère, et mon envie d'envoyer tout valser. Comme l'ont fait ces femmes, qui ont été un jour à ma place. C'est vrai que tu ne peux pas rêver mieux. C'est idéal comme vie. Je t'ai arraché à ta famille. Tes deux parents et aussi ton petit frère. Que tu aimes beaucoup. Je me trompe ? Si j'étais toi, je me montrerais un peu plus coopérative. Je n'ai pas trop de temps à perdre déclara-t-il, sérieusement. Il me menaçait. Comment pouvait-il ainsi jouer avec les sentiments ? Comment pouvait-il me menacer de s'en prendre à mes proches, à mes parents, à mon petit-frère ? Je n'arrivais pas à le comprendre. Il devait être vide de sentiment, simplement assoiffé de réussite avec son marché de femmes. Il n'avait pas de vie, pas d'amour, pas de passions. Rien. Wayne était conscient de m'avoir arraché des miens, mais il avouait ceci sans aucune marque de regrets dans sa parole. Il me dégoutait, et ne me donnait pas envie de lui répondre. A quoi bon ? Je ne voulais pas l'insciter à aller dans cette voie. Peut-être qu'en restant silencieuse, j'allais réussir à lui faire oublier cette affreuse idée. J'étais peut-être stupide de croire qu'il n'était pas capable de toucher à mon frère, j'étais stupide de croire qu'il ne s'en prenait qu'aux personnes, comme moi. J'étais stupide d'avoir de l'espoir, et de ne le penser incapable d'un tel geste.
Cet espoir s'évapora à l'instant où il m'attrapa afin de me plaquer contre un mur, son corps se rapprochant aussitôt du mien. Tout s'accéléra, je m'en crispais, mes doigts se compressant contre eux-même. Sa main se déposa contre mon menton, j'ancrai mon regard dans le sien. Mon regard était vide, faisait probablement ressortir mon angoisse, et ma colère. Je n'en savais rien, seulement que de me perdre dans ses yeux, ne me procurait aucune sensation agréable. Je sentais son autre main glisser contre mon épaule, ses doigts frôlant ma peau, jusqu'à ce que je sente mon haut glisser légèrement, dévoilant ma peau. Je voulais le repousser, mais j'étais tout simplement incapable du moindre geste. Son souffle s'écrasait à présent contre mon visage, j'en fermais les paupières. Tu dois être convaincante. Montrer que tu aime ça. Faire semblant que tu en as envie même si ce n'est pas le cas. Ça doit se lire dans tes yeux lâcha-t-il, entre deux souffles. Je rouvrais aussitôt mes paupières, mon regard lui criai de tout arrêter. Sa main attrapa ma hanche, leva ma cuisse. Comment ressentir du plaisir dans des gestes qui me répugnaient ? Tu ne baisse simplement jamais les yeux. C'est interdit. Ton regard dans le sien ajouta-t-il dans un murmure. Sentir ses doigts prendre possession de ma fesse m'énerva, chassa toute envie de me montrer faible. Je comprenais qu'il me fallait rester forte, et lui résister afin de ne pas devenir cette poupée qu'il attendait. Une stupide idée me monta à l'esprit, afin de lui faire croire que j'abaissais enfin mes armes. Un sourire, léger sourire, s’esquissa sur mon visage tandis que je relevais doucement l'une de mes jambes. Mon geste était hésitant, mais néanmoins très réfléchi. Pour l'instant, je ne frottais que stupidement cette jambe contre sa partie intime, voulant réveillant en lui une vague sensation de plaisir - même si cette idée ne m'emballait pas, je ne voyais pas ce que je pouvais faire de mieux. Lentement, mon corps se frottait contre lui, mon regard lui offrait tout ce qu'il attendait : de l'envie. Puis, je glissais mon bras contre sa taille, il allait croire que je le désirais, que ça me plaisait, que je cédais. C'est exactement ce que je voulais. Mon souffle s’emballait, ça se sentais, mais j'agissais avec tellement de dégoût envers moi-même. Finalement, je me pinçais le coin de la lèvre, doucement. Comme ça ? murmurai-je avant de relever violemment ma jambe contre sa partie intime, tout en enfonçant mes ongles contre sa peau. J'espérais qu'il ai mal, qu'il puisse s'abaisser à cause de la douleur, qu'il comprenne que je serais pas sienne. |
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| Sujet: Re: Talking about [Pv Eli & Wayne] Dim 15 Avr - 4:07 | |
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Il n’avait pas envie de s’amuser. Il n’avait pas non plus envie de perdre son temps puisqu’elle n’était pas la seule dans ce pétrin. Il n’aimait pas qu’elle lui tienne tête. Il n’aimait pas qu’elle ne réponde à ce qu’il lui disait. Impatient. Wayne n’allait pas perdre tout son temps à lui mettre les idées claires. Avec le temps, il savait comment s’y prendre pour arriver à ses fins. Les femmes finissaient par lui obéir parce qu’elles n’avaient pas d’autre choix que de faire ce qu’il voulait. Ce ne fut pas long avant qu’il ne bouge pour venir contre la demoiselle. Hors de question de rester passif. Hors de question d’attendre qu’elle bouge ou qu’elle fasse quelque chose. Wayne n’était pas du genre patient. Pas le moins du monde. Il attrapait la jeune femme pou coller son corps contre le mur et prendre une place contre elle. Il était amplement le moment que Wayne commence à lui montrer ce qu’elle devait faire. Il laissait ses mains se poser sur le corps de la demoiselle en veillant à lui expliquer ce qu’elle devait faire. Il n’était pas un novice. Il savait parfaitement comment s’y prendre. Coincée entre lui et le mur, elle n’avait d’autre choix que de subir les assauts de l’homme. Wayne était loin d’avoir envie d’elle. Juste envie de lui remettre les idées en place de commencer le boulot qui allait être particulièrement ardu. Ses doigts glissaient contre sa cuisse lentement pour le remonter contre lui. Il voulait simplement lui montrer comment les hommes allaient la toucher. Pour l’instant, il était doux. Ce qu’il faisait n’avait rien à voir avec ce que d’autres pourraient lui faire. Aucune douceur pour les pervers qui allaient se servir d’elle. Wayne avait pris soin de veiller à ce qu’elle ne puisse jamais partir, ou presque. Ce n’est pas comme si elle avait de l’argent ou un passeport. S’enfuir ne serait pas chose aisée alors il n’avait pas peur. Pas le moins du monde. Ses mains glissaient contre les fesses de la demoiselle. Il ne se gênait pas. Elle était sienne maintenant alors il pouvait faire ce dont il avait envie. Son regard ne quittait pas celui de la jeune femme. Il voyait parfaitement les émotions passer sur son visage. Ce n’est pas la première fois qu’il se trouvait dans cette situation. Elle commençait à bouger. Il sentait le corps de la femme bouger contre le sien, sa jambe parcourir son corps. Étrange façon. Les hommes aimaient habituellement mieux les mains, mais au moins elle ne restait pas immobile comme une idiote. Wayne allait dire autre chose quand le genou de la femme venait s’écraser dans ses parties. Son souffle lui manquait. Ses mains lâchaient la jeune femme alors il serrait les dents avec force. Il tentait de reprendre son souffle.
Une fois le mal quelque peu dissipé, il attrapait violemment la femme par le bras pour le jeter sr le lit sans aucune douceur. Il s’approchait du lit en la regardant de haut. Pas question qu’elle continue sur cette voie. Rare était les fois au Wayne se montrait violent ou méchant, mais à ce moment, elle ne lui donnait pas réellement le choix. « -Si tu continues comme ça. Je te jure que ça va mal se terminer ma belle. Ne joue pas la plus forte avec moi. Je n’ai aucun remords. Tu vas avoir la vie dure et tu ne peux pas partir alors tu vas faire ce que je veux sans agir comme une putain de gamine.» Il attrapait son bras pour la tirer vers lui rapidement. Il passait sa main sur son visage et ses deux mains attrapaient les siennes pour qu’elle ne puisse pas faire un mouvement con. « -Je peux aussi te jeter comme ça dans la gueule du loup. Tu verras, il y en a pas mal qui sont pires que moi et ils ne vont pas hésiter à te violer sans retenue. Au final, tu n’auras pas le choix de faire ce que je veux. Alors soit tu restes encore un peu ici et tu écoutes mes conseils qui t’éviteront des séances de baise atroce ou tu commences tout de suite et tu risques de tomber bien plus rapidement de la sorte.» Il passait sa langue dans son cou lentement, embrassant sa peau sans la moindre retenue. « -Tu fais un choix et je te jure que si tu me fais encore un coup de merde comme ça, tu vas le regretter.» Il parlait dans le creux de son cou. Il était loin de plaisanter. Wayne n’avait pas l’habitude de perdre patience, mais il faut avouer que ce qu’elle venait de faire ne lui donnait envie de se comporter gentiment avec elle. Elle n’était rien pour lui. Une femme parmi tant d’autres. Une pute parmi les autres. Qu’elle ne commence pas à jouer avec lui. Il était le maître. Point.
Dernière édition par Wayne Harrison le Dim 22 Avr - 2:40, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: Talking about [Pv Eli & Wayne] Mar 17 Avr - 13:17 | |
| Boum, un coup entre les jambes. Wayne se décalai, accusant ce geste avec douleur, et moi, avec plaisir. Néanmoins, je ne souriais pas. Je n'étais pas aussi stupide. Certes, je le provoquai, mais ne cherchai pas non plus à me prendre une violente claque qui me remettrait "les idées en place ". Il me regarda, m'attrapa violemment avant de me jeter sur le lit. Je me redressais aussitôt sur mes avant-bras, sourcils froncés. Dire que je possédais aucune crainte serait mentir. J'étais apeurée, mais me montrais cependant déterminée. Comme-ci cette situation était normale, acceptable. Si tu continues comme ça. Je te jure que ça va mal se terminer ma belle. Ne joue pas la plus forte avec moi. Je n’ai aucun remords. Tu vas avoir la vie dure et tu ne peux pas partir alors tu vas faire ce que je veux sans agir comme une putain de gamine lâcha-t-il, clairement énervé. Ses mains bloquèrent les miennes. Connard. Il profitait de sa force, nettement supérieure à la mienne, pour me neutraliser contre ce lit. Il optait pour la faciliter, et devait déjà se penser comme vainqueur. Crèves, Wayne. Je ne voulais pas me laisser aller sous ses gestes, ni sous ces paroles menaçantes. Je peux aussi te jeter comme ça dans la gueule du loup. Tu verras, il y en a pas mal qui sont pires que moi et ils ne vont pas hésiter à te violer sans retenue. Au final, tu n’auras pas le choix de faire ce que je veux. Alors soit tu restes encore un peu ici et tu écoutes pas mes conseils qui t’éviteront des séances de baise atroce ou tu commences tout de suite et tu risques de tomber bien plus rapidement de la sorte avoua-t-il, glissant ensuite sa langue le long de mon cou. Il m'embrassait la peau, sans gêne. Moi, je n'y pensais pas. J'étais ailleurs, concentrée sur cette révélation. Oui, je comprenais enfin ses intentions : je devais devenir sa putain. Voilà, c'était ça, mon avenir : me faire baiser par des types qui ne pensaient qu'avec leur bite, et venait combler leur désir en payant Wayne, et ses poupées de femmes. Je fermais les paupières, perturbée. Tu fais un choix et je te jure que si tu me fais encore un coup de merde comme ça, tu vas le regretter ajouta-t-il, parlant dans le creux de mon cou. J'étais sensible, le moindre souffle sur ma peau pouvait me faire frissonner. Là, ça me dégoutait. J'en avais les yeux qui piquent, des larmes de colères, autant que de tristesses. Sauf que j'étais consciente que de me mettre à lui crier dessus ne servirai à rien, ou comme de tenter de me débattre. Je relâchais alors mon visage contre le lit, mon regard se perdant dans le blanc du plafond.
J'allais opter pour une autre solution : l'attaque verbale. Peut-être peu efficace, qu'importe. Je voulais simplement gagner du temps, captiver son attention. Je lâchais un long soupire, fatiguée. Son corps compressait le mien, son visage dans mon cou ne me réchauffait pas, me glaçait plutôt. Ça fait combien de temps que tu n'as pas réussi à obtenir le corps d'une femme sans que tu n'ai à la forcer, Wayne ? lui demandai-je, d'une voix qui se voulait purement innocente. J'essayais, par la même occasion, de relâcher tout mes muscles. Ce n'était pas une chose facile, mais je tentais, me battais contre moi-même pour oublier ses pensées répugnantes que je possédais à l'égard de ce type. Le plaisir, pas dit qu'elles en prennent, avec toi ajoutai-je, ravalant ensuite avec difficulté ma salive. Je parlais avec cette peur constante de me prendre un coup. Wayne, allait forcément finir par en venir aux mains. Il allait opter pour la facilité, une fois de plus. Ce n'est pas frustrant de jouir dans une femme qui simule ? Ce n'est pas frustrant pour toi, de vendre du faux ? le questionnai-je, dans un murmure. J'allais l'énerver, peut-être même le faire rire. Ce type n'éprouvait rien. Il se contentait de son petit marché de femmes, se souciait peu de reste. Les sentiments, l'amour ? Cela ne devait pas faire parti de son vocabulaire. Ni même la tendresse, la compassion. Après tout, qu'est-ce qui comptait si ce n'est sa propre personne ? Nous sommes d'accord, rien. Il ne se préoccupait que de ses propres intérêts. Ce n'est pas comme ça que tu obtiendras ce que tu veux de moi, Wayne. Je ne serais pas ta putain. Alors vas-y, frappes-moi, baises-moi, puis-qu’apparemment tu n'es bon qu'à ça. Envois-moi à l'un de tes clients, qu'il me détruise, qu'il me pourrisse le corps. Mais tu crois que je serais toujours bonne à vendre avec un corps qui démoli ? Je baisais mon visage, à la recherche de son regard. Me tuer serait plus rapide concluais-je avant de fermer à nouveau mes paupières. Mes intentions étaient claires, je ne deviendrais pas une prostituée. Je ne lui cèderais pas. Je ne pouvais pas lui faire ce plaisir. Cela était nécessaire pour moi, et ma survie. |
| | | Scarlett Moriartyadmin • beg me, look at me, pay for me
▻ Préférence : les hommes. les dealeurs surtout. ▻ Célébrité : Nina Dobrev ▻ Messages : 1695 ▻ Date d'inscription : 11/02/2012
| Sujet: Re: Talking about [Pv Eli & Wayne] Jeu 26 Avr - 2:12 | |
| Plus elle lui tenait tête, plus elle lui faisait perdre patience. Wayne n’était pas un homme violent, il n’en était jamais venu aux poings avec une femme. Sa spécialité résidait dans la violence psychologique. Dans cette façon de faire, il était un maître. Un spécialiste. Elle était en train de le rendre à cran, de faire sortir le méchant, de le faire craquer lentement. Il prenait ses poignets entre ses mains pour qu’elle ne puisse pas le repousser. Il se posait contre elle de façon à ce qu’elle ne puisse pas lui donner un autre coup de genou. Le mal était encore présent, mais il tentait de se contrôler. Son regard se posait dans le sien. En ce moment, il n’avait plus envie de jouer. Il n’avait plus envie de son montré gentil et elle n’allait pas avoir le choix de finir par faire ce qu’il attendait d’elle. Est-ce qu’elle avait réellement le choix? Il en doutait. Il ne la laisserait pas ici, il avait de grands projets pour la jeune femme et Wayne n’était pas le genre d’homme qui lâchait rapidement. De plus, il avait un coéquipier qu’il pouvait utiliser si jamais elle ne voulait vraiment pas écouter et qui pouvait se montrer un peu plus instant et manuel que lui. Pourtant, l’américain avait bel et bien envie de parvenir à ses fins de lui-même. Son corps contre celui de la jeune femme, il laissait son regard planté dans le sien. Elle le faisait devenir mauvais. Il sentait la colère prendre place en elle. Wayne était en train de lui dire ce qui allait se passer, ce qu’il allait faire et s’il elle ne voulait pas se montrer coopérative, il allait la forcer à agir. Un homme qui se aie une pute, s’en fiche de comment elle se sent, tant qu’elle à un trou pour baiser ou peu importe.
Elle tentait de l’atteindre, mais ce n’est pas de cette façon qu’elle allait pouvoir faire quoi que ce soit. Wayne n’avait aucun mal à coucher avec des femmes, il ne baisait pas avec des putes. Les femmes étaient très consentantes quand elle passait dans son lit et elle ne faisait pas semblant de jour. Sur cette ligne, elle avait simplement tout faux et un sourire bien amusé se posait sur ses lèvres. Il finit par bouger d’elle en tirant la brune par les poignets, il forçait la demoiselle à se retrouver en position assise. Son regard se posait une nouvelle fois dans le sien, il s’approchait de son visage pour murmurer et qu’elle sente son souffle chaud sur sa peau. « -Laisse-moi penser. Peut-être un jour ou deux. Si tu penses que j’ai du mal de ce côté-là, tu te trompes. N’essaie pas d’atteindre mon orgueil ou de faire je ne sais quoi parce que ça ne risque pas de fonctionner. Les femmes qui passent dans mon lit ne sont pas des putes, elles sont bien banales et sont toutes à fait consentant. Tu ne fais que t’enfoncer en disant des âneries. Tu es mieux quand tu te tais.» Il ne pouvait empêcher un rire de passer entre ses lèvres. Il finit par se lever et la relâcher. Il n’avait plus le temps de jouer à ce moment, ou il n’avait simplement pas envie. Il se dirigeait vers la porte, mais avant de la franchir il se tournait vers elle. « -Tu ne veux pas être une pute, tu le seras quand même. Les hommes s’en fichent que tu ne veux pas, ils vont te violer. Une belle femme comme toi, je sais parfaitement comment ça marche. Tu n’es pas la première et tu ne seras surement pas la dernière. Tu ne veux pas coopérer. Ne t’inquiète pas, je sais comment m’y prendre. Cela risque de faire simplement plus mal, mais au fond qu’est-ce que ça change. Je connais tout de toi. Ta vie. Ta famille. Pense bien à ce que tu fais ici.» C’est tout ce qu’il disait et une fois cela fait il sortait en lançant. « -Morte tu ne vaut rien.» Il sortait. Pour le moment, c’était assez. Il avait des projets en tête et il comptait bien faire d’elle une bonne petite pute.
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