Je suis née il y a désormais 26 ans dans les quartiers les plus riches de Sao Paulo, là où je vivais avec mes deux parents. Ma mère était une femme d'affaire qui avait sa propre entreprise, elle gagnait énormément d'argent, et puis mon père et bien, après s'être mis en arrêt maladie fut devenu alcoolique, il passait ses journées allongé sur le canapé avec la télé allumée, certes ce n'était plus trop une vie et ma mère en avait bien trop marre que d'ailleurs elle le quitta , mais bon à chaque fois elle se remettait avec lui c'est pas possible, enfin c'est les rares souvenirs dont je me rapelle encore, ça date tellement. Sinon j'ai aussi un grand frère, qui à 4 ans de plus que moi et puis une petite soeur qui a 6 ans de moins. Sinon moi et mes frères et soeurs nous avons eut une enfance gâtée, et nous avons manquaient de rien, d'ailleurs je pense que c'est pour cela que désormais nous sommes un peu trop capricieux. J'ai eut l'enfance que toute les petites filles auraient rêvées d'avoir. Sauf que c'est moi qui l'ait eut.

Les années collèges, alala sans doute les plus belles. Mon père était donc parti aux alcooliques annonymes ce qu'il l'avait fortement aidé et cela lui avait fait diminué énormément sa consommation d'alcool, moi qui ne voulait plus y parler étant petite, je retrouvais le plaisir de savoir ce que c'était d'avoir un papa sobre, qui n'avait pas bu une seule goute d'alcool, et d'ailleurs même du côté de ma mère tout allait mieux et elle avait enfin retrouvé le bonheur qu'elle avait perdu pendant ses quelques années. Pour en revenir à ma vie de collègienne, je vais dire qu'en sixième j'étais plutôt timide et imprésionnée de ce nouveau monde qui était le collège, et puis au fur et à mesure ça allait mieux, et c'est en quatrieme où j'ai commençer à fumer et boire , enfaite au début comme tout le monde je fumais des clopes pour faire la belle et la grande sauf que j'en suis devenue très vite indépendante, et puis je buvais en soirée pour me donner un genre , l'adolescence c'est ça après tout , mon comportement c'était dégradée et ma mère n'en pouvait plus, j'étais devenu insuportable! Je faisais toutes les bétises qu'il pouvait exister; je me droguais , je volais, dans ma tête j'avais l'impréssion d'être devenu un garçon, je parlais tel un jeune de mon age, bref mon comportement devenait inquiétant et il était impossible pour ma mère de me laisser faire ma troisième au même endroit. Alors mes parents ensemble décidèrent de me mettre en pensionnat, où je rentrais seulement pour les vacances et franchement ils ont pas eut tord de m'y mettre, certes je ralais d'être la seule à être partit alors que mon frère et ma soeur était encore à la maison, mais bon le top aussi c'est que quand je rentrai il y'en avait que pour moi et perso, j'adorai ça ! En plus le pensionnat c'était le top, et ce n'était pas trop sévère, enfin si plus sévère déjà que papa et maman. La-bas il y avait pleins de garçons j'étais au paradis, et de là je suis sorti avec un mec avec qui j'eut le cou de foudre, je lui donna alors mon corps en me faisant dépuceler par lui à seulement 14 ans, puis quand je partis de ce pensionnat qui se trouvait à Rio, alors que j'habitai à Sao Paulo avec ma famille je le quitta donc, cet homme avec qui j'avais découvert une chose que je ne connaissais pas avant et cette chose me plaisait.

Les années lycées, ce sont bien les plus belles de ma vie, là je continuais toujours autant de sortir, de boire, de fumer et surtout de coucher avec les hommes à mes 16 ans , je couchais vraiment avec n'importe qui, j'adorai franchement , je ressentais énormément de plaisir, et je ne pensais qu'à ça, me faire baiser dès que je le pouvais enfaite j'étais bel et bien une biatch et pas n'importe la-quelle , THE biatch, tout les garçons voulaient coucher avec moi j'en refoulais certains, puis je couchais avec d'autres bref je me prennais pas la tête et j'avais vraiment pas envie de me casé, de découvrir le sexe avec tous ses garçons différents m'excita encore plus qu'un jour je me fis prendre par deux meilleur potes dans mon jardin en pleine nuit, et j'en garde de bons souvenirs certes je passais peut être pour une salope, mais après tout j'aimais le sexe, j'étais nympho et je ne pouvais pas vivre sans. De là, mes notes devenaient catastrophiques, et puis plus rien n'allait, avec mes parents c'était trop tendu et puis mon frère était parti et ma soeur me prennais la tête, mais bon il ne me restait qu'un peu de temps avant d'être majeur. Une fois majeure, je commença un peu à faire quelques voyages, puis à commençer surtout ma carrière de mannequin, de là je m'étais pris un appartement au Brésil dans une petite ville pas loin de Sao Paulo et vivait ma vie comme je le souhaitai, avec bien sur les sous de papa et maman et puis avec mes tunes que je gagnais grace a mes photos et à mes petits défilés, pendant deux ans je resta donc au Brésil où ma carrière avançait peu à peu, jusqu'à ce que de vivre au Brésil commença à m'énerver un peu , alors je décida de prendre mes clics et mes clacs et de partir, surtout qu'on m'avait parlé au Mexique d'une ville, Tijuana. Déjà là-bas, j'avais un contrat qui vallait mieux le coup que celui que j'avais au Brésil, et puis cette ville était sois disant réputé comme étant très festive, mmmh aucunes hésitations je fis donc mes valises, j'eus dis aurevoir à mes parents ainsi qu'a ma petite soeur et hop hop hop direction le Mexique.

Arrivée au Mexique, aie c'était la fiesta assurée, et puis j'avais pris un logement là-bas, bref j'étais tranquillement installé et tout allait pour le mieux pour moi, j'avais toujours pas commençé mon boulot mais ça allait pas tarder, Tijuana était vraiment une fille géniale, tout les soirs des soirées, des hommes partout, des boites bref je n'arrêtais pas de faire la fête, de fumer et puis ouai de me faire baiser hein, c'était le rêve , on aurait même dit une île paradisiaque, je tomba donc amoureuse de cette ville que je ne quitta donc pas. Voici donc désormais 6 ans que je vis ici, où je suis toujours mannequin et je touche un salaire encore mieux qu'avant, je fais toujours autant la fête et je donne toujours très souvent de mes nouvelles à mes parents et j'ai gardé contact avec mon frère et ma soeur espérant qu'un jour toute ma famille, même étant tous brésiliens viennent s'installer dans cette ville, là où je suis la plus heureuse.