Just pleasure.
SILVER & IMOGEN

Mes seins s'écrasent contre son dos ardent. C'est mes ongles qui s'enfoncent lentement dans la chair de son derrière alors qu'elle en demande plus. Mes mains dérapent, je m'empare de son cou pour l'obliger à me regarder dans les yeux pendant qu'elle jouis. Frottant nos corps en sueur l'un à l'autre, je quitte son regard pour enfoncer mes dents dans sa nuque. Y goutant un moment je me redresse, la fixant une nouvelle fois du regard alors que mes doigts se trouvent un chemin entre nous deux pour retrouver son antre humide et ardent. C'est au moment où j'allais commencer à lui mordre la chair de son sein droit que je me réveille en sursaut dans mon lit. Les travaux de l'immeuble ne m'épargne pas : je me sens frustrée de ne pas avoir fini ce rêve des plus érotiques. La belle brune avec qui je le partageais n'avait pas de visage mais ce n'était pas sur cette partie de son corps que je m'attardais le plus. Refermant les yeux, j'espérai retourner dans mon rêve pour le poursuivre. En vain. Je dus finir le travail avec le seul fruit de mon imagination.

Ma journée se passe de la manière la plus banale qui soit. J'avais pris congé pour ce soir et je comptais bien en profiter : m'envoyer en l'air avec une demoiselle disponible. Moi qui d'habitude ne prenais pas réellement en compte la qualité, je tenais à choisir une demoiselle des plus sexy pour ma nuit. C'était bientôt une nouvelle année à Tijuana que j'allais fêter et je comptais marquer l'événement. J'enfilai une robe courte, noire à paillette avec simplement une petite culotte par-dessous. Un décolleté des plus échancré, il était plutôt évident que je ne m'étais passée de soutien-gorge pour la soirée. J'enfilai mes plus beaux bracelets, des chaines en toc couleur or avec des petits triangles en pendentif. Mon regard assombris par du far à paupière, je passai une fine couche de rouge à lèvre sur ma bouche. Je me parfumai un coup avant d'enfiler des hauts talons et filer.

Cinq petites heures plus tard et voilà que j'étais à la sortie d'une boîte de nuit. La nuit était loin d'être finis mais j'avais eus ma dose de "dancefloor" pour la soirée. J'avais bien bu, une charmante demoiselle m'avait attirée dans les toilettes pour me donner une petit gâterie. Je l'avais laissé faire et une fois que j'eus jouis, je pris un malin plaisir à la prendre par-dessous sa robe. Mais ça ne m'avais pas suffit. Un simple regard sur la piste de danse et mes envies sexuelles étaient revenues au galop. J'avais besoin d'une longue baise, une partie de jambe en l'air interminable avec une demoiselle à formes, avec de la chair à mordre et une douce peau dans laquelle marquer mon territoire.

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A chacun de mes pas, on entendant mes talons claquer au sol et mes bracelets s'entremêler. C'était un son assez sexy qui me plaisais énormément. Je me calai contre un mur à l'extérieur, dos à celui-ci, j'entamai une nouvelle cigarette. J'en profite pour me remettre du rouge à lèvre. Je croise et décroise mes jambes, j'ai la tête qui tourne d'une manière agréable, j'ai encore les idées bien claires. L'alcool me monte de plus en plus à la tête avec le tabac. Je me délecte de chaque bouffée tandis que la sensation de l'alcool m'excite de plus en plus. La moitié de ma cigarette atteinte, je remarque un taxi qui s'arrête juste devant moi. Une sulfureuse brune en sort. Une robe dorée moulante, courte, très courte, de hauts talons noirs, tout ce que j'aime. Alors qu'elle donne le coût de la course au taxi, j’aperçois très facilement le bas de ses fesses, je ne me fais pas prier pour me rincer l’œil. De la fumée sort d'entre mes lèvres alors qu'elle se redresse et passe devant moi, me lançant un regard qui ne fit que m’aguicher. Je la regardai repartir, allant à l'intérieur de la boîte. Elle avait de belles formes, ce que je préférais chez une femme : pouvoir m'accrocher fermement à sa chair. Sans plus attendre, j'écrase mon mégot au sol pour refaire mon entrée dans la discothèque.

Une fois à l'intérieur je n'ai aucun mal à la retrouver : tous les hommes s'écartent pour pouvoir mieux l’observer. Elle a plusieurs mètres d'avance : j'admire sa démarche, son bassin valser de gauche à droite puis de droite à gauche, sa chevelure suivait la cadence et la chute de ses reins était mise en valeur avec sa robe. Je la suivais d'un pas décidé. J'imaginai déjà mon bassin se heurter au sien. Des pensées perverses venaient par dizaine, je fermai les yeux quelques instants, la bouche entrouverte, tentant de retrouver mon calme, je pensai déjà à laisser mes marques sur sa peau qui semblait des plus parfaite. Lorsque mes yeux s'ouvrèrent, elle était assise au bar. Une place de libre à côté d'elle, je savais qu'elle m'était destinée. Ses cheveux bouclés faisait que le haut de son dos était dénudé, j'adorai voir le dos d'une femme, pouvoir deviner le creux de ses reins. Je passai derrière la demoiselle, sans gêne ma main gauche frôlait d'une caresse le bas de sa nuque. Je m'assis pour m'adresser au barman à qui elle venait de passer sa commande « Mettez-en plutôt deux. ». Nos verres arrivèrent immédiatement. Chacune le sien à la main, je me tourne légèrement vers elle pour poser mon regard au sien. Cette fois mes jambes ne sont pas croisées. Je lève mon verre vers le sien pour porter un toast sans lâcher pour autant son regard. « A cette nuit qui ne fait que commencer. », mon sourire est plein de sous-entendus tandis que je porte l'alcool à mes lèvres. Une gorgée prise, je repose mon verre sur le comptoir, passant légèrement ma langue sur ma lèvre inférieur pour y récupérer l'alcool qu'il restait. « Commençons par les présentations : Imogen, enchantée. », ma voix était comme à son habitude rauque, cassée à cause des cigarettes mais des plus sensuelle. Ma main frôlait la sienne : il était primordiale pour moi d'établir un contact physique continu avec elle.

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Pendant que je me délectai du contenu de mon verre, je sentais les regards que posait la charmante brune sur moi. Je n'avais pas l'habitude de porter des tenues aussi explicites, de montrer autant, mais c'était plutôt agréable la sensation de liberté dans une tenue aussi légère. Moi qui ai pour habitude de fixer la piste de danse lorsque j'étais au bar, je ne ressentais aucun besoin de le faire à ce moment-là. Pas besoin d'observer les courbes de demoiselles en chaleur de déhancher de manière exagérée, pas besoin de m'imaginer passer mes mains par-dessous leur robe sans qu'elle sache à qui cette main appartient, les yeux aveuglés par l'alcool qu'elles auraient consommé. A vrai dire, j'avais déjà une idée bien précise de par-dessous quelle robe mes mains allaient passer ce soir. Silver se présenta à son tour, je la fixai intensément lorsqu'elle parlait, buvant chacun de ses mots alors que mes pensées étaient déjà bien loin. J'étais persuadée de coucher avec elle ce soir. Je regrettai déjà de ne pas avoir prévu mon jouet favori : gode ceinture, mais j'allai m'en passer sans problème.

Je m'amusai à deviner son corps, nu. Je la déshabillai du regard, m'imaginant en train de mordre l'intérieur de ses cuisses, d'enfoncer mes ongles dans ses hanches et parcourir son corps avec ma langue. Son index se posait sur ma main, j'étais brûlante tout comme elle, ardente, impatiente de découvrir la suite des événements alors que j'avais déjà une envie irrépressible de poser ma main entre ses cuisses. Sa proposition d'aller danser une fois nos verres finis me sorti de mes pensées. Être collées-serrées sur une piste de danse remplie de demoiselles en chaleur : que demande le peuple ? Alors que ma main se sépare de la sienne, je finis d'un trait mon verre, sans grimacer. Je lui adresse un sourire pour m'exclamer : « Le mien est vide. », j'attendais quelques instants qu'elle finisse le sien avant de quitter le bar pour la piste de danse. Cette fois-ci, je passai devant, je m'appliquai à marcher d'une manière sexy, roulant sensuellement mon bassin au fur et à mesure de ma démarche. Je me faufilai dans la foule sans aucun mal. Une fois au milieu de la piste de danse je me retournai, faisant face à Silver qui me suivait. Je n'attendis pas une seule seconde de plus pour me rapprocher d'elle, jamais besoin de sa sentir sur moi. Ma main droite se posa dans le bas de son dos, au creux de ses reins alors que la gauche se posa sur sa hanche droite. Nos jambes entre-croisées, je commençais à m'onduler au rythme de la musique. Mon cœur s’emballait, le mélange d'alcool et d'excitation me donner des pulsions sadiques que j'avais besoin d'assouvir. Alors que jusqu'à là mon bassin s'ondulait de droite à gauche, je le fis valser d'en avant en arrière contre le corps de Silver, imitant ainsi quasiment un acte sexuel.

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J'avais beaucoup bu, le dernier verre avait été surement de trop. J'avais l'étrange sensation de voir la scène au ralentis. Mais ça ne faisait que me faire apprécier encore plus l'instant. Mon entre-jambe frôlant la sienne, la main appuyant contre le bas de son dos pour la ramener encore un peu plus vers moi. Ce fut finalement elle qui se lança pour m'embrasser. J'entrouvris rapidement mes lèvres pour qu'elle puisse s'y créer un chemin. Nos langues dansèrent ensemble un moment, une danse sulfureuse qui ne faisait qu'augmenter mon excitation. Mes mains dérapèrent, glissant le long des hanches de la belle pour se poser sur ses cuisses dénudées. Je n'avais aucune crainte d'être vu par la foule : on était énormément serrés les uns aux autres et personne ne prêtait réellement attention à ce que son voisin faisait. Mes mains se font peu à peu un chemin sous la robe de la brunette alors que celle-ci me fit une proposition des plus alléchantes... Le fait qu'elle soit une prostituée ne me dérangeait pas. Je ne faisais pas appel à ce genre de service : je trouvai ça assez gênant de faire l'amour à quelqu'un que l'on doit payer par la suite. Tant qu'elle avait simplement envie de moi, on pouvait bien exercer le métier que l'on voulait. « Avec plaisir. ».

Mais on ne bougea pas tout de suite. Je voulais d’abord finir ce que j'avais commencé. J'eus des frisson au contact de la langue contre ma peau. Je vins caresser du bout des doigts son entre-jambe, passant légèrement sur le tissu de sa culotte pour la stimuler davantage avant de passer aux choses "sérieuses". Mon index et mon majeur se posent sur son entre-jambe, appuyant intensément sur sa culotte, par-dessus son bouton de plaisir. Je le fis tourner quelques instants avant de me séparer d'elle. « Je te suis. », mes doigts s'entremêlèrent au sien. Je ne voulais pas prendre le risque de la perdre dans la foule. Puis elle sortit de la piste de danse, je la suivais de prêt, m'amusant à lui caresser ses hanches, me collant parfois à son dos pour qu'elle ne perde pas l'envie de m'amener dans sa fameuse pièce. Il était certain que j'avais envie d'elle, envie de la baiser comme elle ne l'a jamais été par une femme.

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Une sorte d'automatisme se mit en place. Je la suivais en totale confiance, on déboucha sur un long couloir sombre, une légère odeur de sexe y régnait. Observer plusieurs couples se faire des attouchements sous leurs vêtements m'excitait encore plus. Je ne la tenais plus par la main, je la laissai tranquillement ouvrir la pièce qui semblait lui être réservée. J'étais assez curieuse de voir ce qu'il se cachait derrière la porte : je ne m'étais jamais rendue dans cette endroit. Généralement, lorsque je devais aller loin avec une fille dans cette boîte de nuit, on se contentait souvent des toilettes ou d'une ruelle sombre à l'extérieur : je n'avais jamais eu droit à un tel luxe. La pièce était grande, limite plus spacieuse que mon appartement. Il y avait peu de meuble, le tout bien aménagé. Je regardai un peu partout, avide d'en savoir plus sur cet endroit. La porte se refermait derrière nous alors qu'il faisait sombre dans la pièce.

A l'opposé de là où nous étions, Silver m'indiqua une boîte du doigt en m'invitant à me servir. Je devinai au loin une boîte rempli de jouets sexuels. Sans hésiter, je m'y dirigeai. Silver me demandait alors par où je voulais commencer. Je n'aimais pas vraiment prévoir là où j'irais, mais tout à un début. « Commence par t'asseoir sur ton canapé ma belle. ». Arrivée devant la boîte, je l'ouvris pour fouiller un petit moment avant de trouver exactement ce que je voulais : un double gode ceinture. Je le sortis et le mis de côté, je ne comptais pas m'en servir de suite. Je retournai alors vers Silver qui était assise. Je retirai mes talons sur le chemin. Je m'assis alors sur elle à califourchon, soulevant ma robe pour pouvoir bouger facilement alors que je lui dévoilai ma petite culotte pour la première fois de la soirée. Mes mains dans ses cheveux, je collai une nouvelle fois mes lèvres aux siennes pour l'embrasser avec envie. Je m’ondulais au rythme des basses que l'on pouvait distinguer légèrement. Le rythme était rapide, mes mains se posèrent bien vite sur sa poitrine, par-dessus sa robe pour la masser fermement. Mon corps contre le sien, je n'allais pas pouvoir tenir bien plus longtemps que ça. J'ouvris les yeux quelques instants, observant le gode qui se tenait au sol plus loin. Je savais déjà quelle tournure aller prendre la suite. Je m'imaginais déjà l'enfiler et la baiser avec, après avoir allumé toutes les lumières pour pouvoir observer la moindre parcelle de sa chair se tétaniser sous mes coups de reins.

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Nous étions maintenant tranquilles. Assise sur elle, les jambes écartées, j'étais une fois de plus au-dessus. Une position que j'aimais par-dessus tout, je comptais bien la garder pour le reste de la nuit. Me faire baiser n'est pas vraiment quelque chose que j'apprécie, je préfère être aux commodes, contrôler : baiser l'autre. Je veillais toujours à ce que mon ou ma partenaire connaisse mon nom, rien ne m'excite plus que de l'entendre prononcé par son conjoint entre deux gémissements. Faire jouir mon partenaire était mon seul et unique but, me défouler sur lui, assouvir mes envies sadiques par une baise. Le sexe résout bien des problèmes. Dévouée à elle pour ce qu'il restait de la nuit, nos langues s'entremêlaient, mon cœur s'emballait, j'avais tout simplement envie de la baiser. Ses mains glissent dans mon dos, se posent sur mes fesses nues pour les malaxer. Je masse sa poitrine encore plus fort pour surenchérir. Puis une de ses mains passe entre mes deux cuisses, elle la pose sur mon clitoris, le caressant à travers ma culotte. Encore plus excitée, je continue de m'onduler sur elle, ma poitrine se soulevant à chacun de mes petits sauts.

Puis elle retire sa main, je me laisse rouler sur le côté pour m'asseoir sur le canapé. J'observe la belle se lever pour aller chercher le jouet posé au sol. Elle le ramène et me le plante sous les yeux. Le regarder ne faisait qu'accentuer davantage mon excitation. Elle le mentionne comme un très bon choix et un sourire se dessine sur mes lèvres : j'étais ravie qu'il lui plaise car elle allait sans doute le voir pour un bon moment. Silver est face à moi et désormais, mon regard est plongé dans le sien. Je passe mes mains sous ma robe pour retirer ma culotte. Je l'envoie valser bien loin avant de remonter ma robe. Mes jambes s'écartent de plus en plus, mes mains glissent entre mes deux cuisses, je lui dévoile mon intimité dans un calme complet. Je me griffe l'intérieur de mes cuisses tout en ne la quittant plus du regard. « Met-le moi. ». Je voulais qu'elle me l'enfile, qu'elle me prépare à la prendre dans tous les recoins de la pièce.

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Mon regard plongé dans le sien, je ne prêtais plus attention aux bruits sourds de la boîte de nuit, l'atmosphère de la pièce était devenue tout à coup bien plus chaude, ce qui allait ce dérouler dans les instants à venir était de plus en plus clair. Les jambes écartées face à la belle, je la regarde m'observer. Ses yeux parcourent mon corps, s'attardant entre mes cuisses, m'en donnant des frissons. Sans un mot, elle se rapprochait dangereusement. Ses lèvres vinrent s'emparer de mon bouton de plaisir, ce qui m'arrachait un râle de plaisir. M'emparant des deux mains de son visage, je l'obligeai à continuer avec plus de fougue. Elle arrêta bien que j'aurais voulu qu'elle continue plus longtemps. Mais la suite était bien meilleure. Levant mes pieds un à un, je me retrouve avec l'objet sexuel entre les cuisses. Je me redresse face à Silver qui m'embrasse, J'écarte mes jambes afin d'apporter la touche finale : je fais entrer la partie du gode qui m'était réservée dans mon vagin. Poussant un léger gémissement étouffé par nos baisers, j'étais enfin parée pour la prendre entièrement.

Mes lèvres toujours contre les siennes, je l'a fais s'allonger sur la tapis, je m'allonge sur elle lentement bien que je ne pouvais plus tenir. Ne pouvant plus attendre, assise à califourchon sur elle, je soulevait rapidement ma robe, je voulais la baiser immédiatement et sans plus attendre. Je la forçai à écarter un peu plus ses cuisses de manière à passer le gode entre, me contentant de tirer sur son string pour le mettre sur un côté et avoir simplement la place pour entrer le jouet en elle. Une fois installée, je commençais directement des mouvements de pénétration rapides, mon souffle était court, elle se redressa un peu. Je baisse son décolleté, abimant légèrement sa robe pour dévoiler ses seins dans lesquels je plonge mes lèvres. Je sens le plastique dure du jouet glisser en moi, se frotter contre les parois du vagin de ma partenaire, se heurter contre le fond de son antre sans retenu.