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 Let the sunshine [Pv Klaus]

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Anna D. Floyd
Anna D. Floyd
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MessageSujet: Let the sunshine [Pv Klaus]   Let the sunshine [Pv Klaus] Icon_minitimeMer 5 Sep - 2:39


Let the sunshine
Ft. Anna & Klaus


C'était depuis quelque temps qu'elle avait commencé à amener ses choses dans l'appartement de l'allemand et maintenant, c'est pour lui qu'elle avait simplement changé de pays et pour s carrière, en quelque sorte. Plusieurs raisons l'avaient poussé à agir de la sorte. Surement la férocité dont il faisait preuve pour la convaincre de venir ou cette envie qu'elle avait de pouvoir jeter un œil sur lui. Anna devenait de plus en plus possessive, n'aimant pas à voir d'autre femme tourner autour de lui, quitte à la rendre incontrôlable. C'est dans l'après-midi qu'elle avait décidé de quitter l'appartement pour se rendre à la plage, question de prendre un peu de soleil. Cela faisait quelque temps qu'elle traînait entre les murs de cet appartement et c'est de soleil qu'elle manquait. C'est quelque chose de beau pour les yeux qu'elle avait décidé d'enfiler, puisqu'elle avait pour idée de l'inciter à venir le rejoindre. Cela faisait un bon moment qu'elle traînait sur le sable, les yeux clos, ne faisant que ressentir cette chaleur oppressante sur son corps. C'est depuis peu qu'elle était dans cette ville et ce n'était pas pour lui déplaire, appréciant le temps qu'il pouvait y faire et les multiples ébats qu'elle pouvait subir auprès de lui. Les pensées de la jeune femme divaguaient dans divers sujets, que ce soit le concernant, dans multiples positions qu'il soit. Que ce soit son métier qu'elle était en train d'exercer, les quelques contrats qu'elle pouvait avoir ici, se disant qu'à la base, ce n'est pas réellement ce qu'elle voulait faire. C'est un soupire qui passait entre ses lèvres alors qu'elle se laissait prendre dans les méandres de ses pensées, dans ces pornos, qu'elle ne voulait pas tourner à la base. Le métier n'avait rien de facile. Elle avait sombré, entraînée rapidement vers le fond par un allemand dont elle ne pouvait plus se passer. Une de ses mains se mouvait pour venir chercher son portable qu'elle avait laissé à côté d'elle, se contentant de lui envoyer un message pour qu'il vienne la rejoindre. Lui qui occupait trop souvent ses pensées, que ce soit pour ses coïts violents ou cette jalousie qui brisaient chaque parcelle de son âme. Les gens quittaient cette plage, puisque l'après-midi était simplement en train de s'écouler et la blonde plantureuse se contentait de rester étendue sur le dos, un bras posé contre son visage pour empêcher le soleil de frapper trop fort à cet endroit. C'est près d'elle qu'elle reposait son portable, se tournant simplement sur le ventre. La blonde n'aimait pas à passer trop de temps loin de lui, même si elle devait le faire trop souvent lors de tournage. La dernière fois, elle avait compris qu'elle ne devait pas s'absenter trop longtemps et c'est son orgueil qui avait été ravi de se faire martyriser de la sorte. Une façon de lui prouver qu'elle lui avait manqué, sans réellement lui dire, sans l'avouer à haute voix. Le genre de chose qui n'avait pas lieu entre eux. Le genre de compliments ou de vérité qu'ils ne se glissaient que peu souvent.

C'est sagement qu'elle l'attendait, repoussant quelques hommes qui aimaient à la voir vêtue de peu de morceaux de vêtement, maillot de bain affriolant qu'elle avait décidé de revêtir pour lui. Lui à qui elle venait d'envoyer un message pour qu'il finisse par se pointer à la plage. Quelques âmes traînaient encore sur le sable alors qu'elle se redressait un peu, dénouant sa tignasse blonde pour la laisser tomber vaguement contre son dos. Cela faisait des jours qu'elle était enfermée dans l'appartement, subissant ses assauts qu'elle aimait à ressentir, l'allumant à souhait pour récoler ce qu'elle désirait, se glissant sous les draps pour user de ses lèvres contre ce corps dont elle ne se passait simplement plus. Entre les quelques femmes qu'elle s'envoyait en l'air par le biais de son métier, c'est souvent que le membre masculin venait à lui manquer. C'est après un moment d'attente que de l'ombre venait obstruer sur sa peau, coupant quelque peau la chaleur du soleil qu'il pouvait bien rester, puisqu'il allait se perdre éventuellement et son maillot de bain ne serait plus d'aucunes utilité. C'est son regard qui se tournait pour se poser sur l'allemand qui venait tout juste de la rejoindre, affichant un sourire charmant qu'elle se faisait un plaisir de lui offrir. C'est finalement qu'elle décidait à se lever, s'approchant de lui jusqu'à venir effleurer son corps à outrance, laissant ses doigts passer contre son torse qu'elle connaissait trop bien, les muscles qu'elle avait pu dessiner plusieurs fois de ses doigts ou de sa langue. C'est un autre pas qu'elle faisait, collant un peu plus son corps contre le sien et venant vriller son regard directement dans celui de l'allemand. Le provocant un peu, s'amusant de cette tension qu'il demeurait toujours entre eux. Ce désir qui ne les quittait pas. C'est un peu de sarcasme qui pointait dans sa voix alors qu'elle laissait ses doigts dessiner lentement les muscles de son ventre à travers le tissu de son vêtement se prenant même à y glisser un peu pour trouver le réconfort de sa peau qu'elle aimait à sentir sous ses doigts. « -J'espère que je ne t'ai pas trop manqué.» Sourire en coin qui passait sur ses lèvres pulpeuses alors qu'elle ne voulait pas réellement de réponse, aimant simplement à le provoquer un peu, aimant à jouer avec lui, en quelque sorte. C'est aussi rapidement qu'elle s'était collée à lui, qu'elle retrouvait le confort de cette couverture qu'elle avait posée sur le sol, jetant un nouveau regard qu'elle posait directement dans le sien. « -Si tu venais me rejoindre? Il y a amplement de place pour nous deux.» C'est son corps qu'elle exposait à sa vue, courbant légèrement le dos, repliant les jambes pour lui offrir amplement la vue de son corps qu'il aimait à regarder et à prendre sans la moindre retenue. Il y avait encore quelques personnes sur la plage, mais rien pour réellement déranger la blonde ou même l'allemand, elle le savait, autant prendre un peu de bon temps avec lui, en dehors de cet appartement dans lequel il vivait.
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Klaus H. Mülher
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MessageSujet: Re: Let the sunshine [Pv Klaus]   Let the sunshine [Pv Klaus] Icon_minitimeJeu 20 Sep - 21:45


There will be sex



Il passait ses mains dans les cheveux blonds — épousait le sommet d'un sein par un baiser pervers. Il la faisait plier ou bien s'empaler sur lui, soumise ou impératrice ; esclave ou matrone. L'appart' était adjacent à celui d'un couple de mexicains dont le mâle alpha frappa à la porte lorsque, à deux heures du mat', les gémissements conjugués de l'actrice porno' et du criminel en vinrent à le réveiller. L'amant d'Anna ne chercha même pas à se rhabiller, n'enfilant qu'un bref peignoir — il alla parler à l'étranger, même s'il ne connaissait pas un mot d'espagnol. La discussion fut brève : Klaus manqua de se briser une phalange mais dix minutes plus tard, il revenait dans le lit conjugual où il adressa ses coups de reins déchirants, faisant creuser les poumons de sa compagne en mal d'oxygène dans l'atmosphère sulfureux de leur piaule. Il l'aimait, sans jamais réellement en prononcer les mots qui vont de concert avec ces sentiments furieux et insoumis ; Klaus préférait les impulsions de son bassin, la rage de ses baisers, la puissance endormie qu'il dégageait quand il la prenait dans ses bras, ou même simplement l'attachement qu'il communiquait en un regard. Elle l'avait suivi sans presque hésiter dans son exil forcé, les feds étant à deux doigts de le serrer aux Etats-Unis : elle avait fait quelques valises, s'était arrangée pour que sa carrière puisse poursuivre et en vint dès leur arrivée à offrir une énième fois l'intégralité de son corps à l'allemand qui ne renonça à rien, la laissant avec de douces brûlures provoquées par des pénétrations exigeantes. Le rythme de leurs vies en était presque revenu à rejoindre celui du passé : elle bossait, s'extasiant dans le plaisir lesbien sous le regard d'une caméra tandis que lui enchaînait les jobs, pouvant tout aussi bien dealé que remettre à sa place un individu ayant des dettes. A eux deux, ils pouvaient dès lors vivre convenablement à Tijuana. La gente féminine locale était bandante mais il se contentait de toucher des yeux, se sachant déjà propriétaire d'une femme qui surclassait dans tous les domaines ces mujeres.

Il traînait dans un bar quand les appels de sa gonzesse le tirèrent d'une certaine torpeur. La chaleur était parfois asphyxiante, à croire que Tijuana avait pris la température de leur appart' après une heure de baise. Klaus ne tergiversa pas, faisant un bref détour au foyer pour se trouver une tenue plus convenable avant de filer jusqu'à la plage, lunettes de soleil au visage à quand bien même l'astre dorée faiblissait en intensité. En un bref tour d'horizon du domaine sableux, il repéra le corps d'Anna, le visage d'Anna, le sourire d'Anna : son "tic", presque un mécanisme désormais chez lui, était d'avoir légèrement la mâchoire qui se déplaçait, comme un animal tremblant face à une proie terriblement délicieuse. Anna et le fantasme qu'elle se savait incarner ondula des hanches jusqu'à lui, soucieuse de mettre le brasier un peu plus — il la soupçonnait, à une époque, d'aimer à se faire prendre retenue ; depuis, il comprit que ses soupçons n'étaient que vérités. Ils aimaient tout deux le sexe sauvage, lorsque les heurts se joignent aux orgasmes, lorsque la douleur transperce les pensées et amplifie le moment présent. Il la tint un bref moment contre lui et sans guère forcée, l'actrice porno' put se dégager de ces bras si dangereux pour reprendre sa position allongée. Silencieusement, il la matait effrontément, aimant la vision autant lorsqu'elle arborait une tenue que nue : en l'occurrence, le maillot de bain faisait ressortir d'autant plus la sensualité dont elle était détentrice, et il se baissa et se retrouva au-dessus de la jeune femme avec une poignée de mouvements. « Tu n'aimes pas le traitement que tu subis lorsque tu m'as trop manqué? » Souvenir : un soir (une nuit), aux États-Unis, où elle l'avait réveillé en le suçant, où il l'avait baisé jusqu'à s'en faire mal, reposant leurs corps dans un bain d'eau chaude qui ne tarda pas à délivrer de son contenu dans la salle. Klaus déposa un baiser sur son front, sur sa joue, sur ses lèvres. Il descendait, déjà, sans se presser. N'enlevant en rien les pièces de tissus qui masquaient sa délicieuse poitrine. Il songea à lui demander s'il y avait aussi de la place en elle, se ravisant, lui jetant un regard pervers et remontant un peu pour qu'elle sente au-dessus tout le corps masculin. Le boxer de Klaus dénotait d'un intérêt franc pour une relation sexuelle — tout le reste était calme et silencieux, même si une tempête grondait à l'intérieur. « Embrasse-moi » siffla-t-il comme une âme romantique, aimant à ce que les lèvres pulpeuses d'Anna s'exercent à piéger les siennes, ces mêmes lèvres qui entouraient si souvent sa queue dans un jeu de succions où il perdait régulièrement son sang blanc. Les baisers s'enchaînèrent alors que les pouces de Klaus s'étaient fichés entre la peau et le tissu du bas de son maillot de bain. Progressivement, il lui fit perdre, d'un centimètre, de deux centimètres, et alors qu'ils achevaient un énième baiser, Klaus s'employa à descendre son visage jusqu'aux jambes d'Anna ; il entreprit d'embrasser d'autres lèvres, dévorant l'intimité mise à nue avec une faim presque inquiétante.

Il voulait qu'elle soit chaude (sa langue touchait/heurtait les points sensibles), qu'elle tremble (ses doigts commettaient des caresses irrégulières, mais de plus en plus pénétrantes), qu'elle soupire (il employa parfois sa langue comme un membre masculin) : l'allemand s'exerça à un cunni' à même de détrôner bons nombres des partenaires féminines à l'écran de son actrice porno'. Il lui manquait le tact, la douceur, le soupçon de tendresse qui ravit tant les lesbiennes : au lieu de ça, sa violence, son souhait de bousculer au plus vite, de consommer sans se priver, avaient bien des attraits. Il commençait à réellement déchanter sous la ceinture, son corps à moitié nu se faisait bronzer par le soleil couchant alors que les sons provenant de son exercice buccal prenaient le pas sur ceux de la marée lorsqu'elle se retirait. Il ne se gênait pas pour abuser d'Anna, un de ses pouces passant et repassant sur la cicatrice éternelle qu'il mettait à mal de plus en plus. Cinq minutes durant, il dégusta littéralement sa compagne. S'amourachant de sa chatte lisse, y rêvant déjà de l'occuper mais se contentant de clore ses attouchements et autres masturbations en remontant jusqu'au visage d'Anna, respirant simplement à sa gorge les arômes de son parfum avant de se laisser légèrement tomber sur le côté. Une de ses mains était encore à l'intimité féminine, effarouchant celle-ci en diminuant en intensité. « Et moi, je t'ai manqué? » Leurs dialogues étaient un jeu ; leurs actes étaient la vérité. Qu'ils baisent continuellement relevaient davantage d'une passion rouge en sang que de nymphomanie ; Klaus avait besoin de la sentir tout contre lui, de pouvoir la pénétrer pour être au plus près de son âme et qu'importe les moyens, même les plus obscènes, pour se rapprocher de cet idéal. S'il devait la pilonner jusqu'à en gémir d'une douleur plus ou moins grande, l'allemand s'y mettait à l'œuvre : aimant Anna, ses seins, son entre-jambes, son petit cul — son âme.






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MessageSujet: Re: Let the sunshine [Pv Klaus]   Let the sunshine [Pv Klaus] Icon_minitimeLun 1 Oct - 20:12


Let the sunshine
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C'était un jeu entre un. Un jeu plus que passionnant. Un jeu prenant dont elle ne se lassait pas, aimant à être cette poupée de chair entre ses doigts, pour reprendre le dessus quand elle en avait envie. Aimant à être la victime de ses assauts qu'il lui faisait subir sans qu'elle ne veuille s'en défaire. Elle ne se lassait pas de ses coups de reins, en redemandant, puisqu'elle en avait trop souvent assez de la douceur féminine dont elle devait faire preuve, rien qui ne pouvait se comparer à ce que l'allemand pouvait lui faire subir et dans quoi elle se complaisait amplement. C'est joueuse qu'elle se levait, investigatrice de bien des désirs, des envies qu'elle aimait à lui faire ressentir, qu'elle aimait à subir encore et encore. C'est contre lui qu'elle se collait, le temps de quelques secondes pour s'écarter. L'actrice se retrouvait contre le sol à nouveau, vrillant son regard dans le sien, abusant de sourire charmeur qu'elle lui offrait souvent et c'est sans se plaindre qu'elle retrouvait le confort de corps de Klaus contre le sien. Un petit rire passait entre ses lèvres à son commentaire, laissant son souffle chaud venir se perdre sur le visage de son bourreau alors que ses doigts venaient passer dans son dos, caressant sa peau en quelques caresses furtives. Les lèvres de la blonde venaient amplement charrier les siennes alors qu'elle lui répondait, de son regard, de quelques mots qu'elle jetait. « -Faux.» Elle avait amplement aimé cette soirée torride, après quelques jours d'absence qui avait rendu le manque particulièrement douloureux. Des frissons prenaient place sur sa peau alors que les lèvres de Klaus s'amusaient à venir jouer contre le soyeux de sa peau, lui faisant lâcher un soupire sous les contacts qui lui plaisaient un peu trop. Les doigts de la blonde venaient se perdre dans ses cheveux alors qu'elle ne se faisait pas prier pour répondre à cette demande, pour venir chercher ses lèvres dans des baisers de plus en plus torrides. C'est sa langue qui s'amusait à venir chercher la sienne dans quelques ballets langoureux alors que son corps se cambrant, réagissant aux caresses qu'il appliquait entre ses cuisses, laissant ses doigts se presser contre sa nuque, se laissant prendre d'une fièvre sous ses doigts inquisiteurs. La jeune femme laissait un gémissement la trahir alors qu'il quittait ses lèvres, qu'il se faisait plus aventureux. C'est son dos qui se cambrait alors qu'il venait ficher son visage entre ses cuisses, laissant la chaleur de sa langue se poser contre son intimité, lui arrachant de violents frissons et un long soupir qu'elle ne pouvait retenir. La blonde ne se souciait très peu des quelques personnes qui pourraient voir ce qui était en train de se produire, la plage étant amplement large pour ne pas avoir des voisins collé à eux. La voix de l'actrice se perdait de plus en plus, sous les caresses de sa langue, de ses doigts qui se faisaient de plus en plus insistants entre ses cuisses, en elle, échaudant amplement son intimité et à même de faire monter la température de son corps d'un coup. Ce sont ses doigts qui se pressaient contre sa tête, prouvant le plaisir qu'elle avait à sentir sa langue glisser contre elle, laissant des gémissements filer entre ses lèvres sans avoir envie de les retenir. C'est lorsqu'il quittait la chaleur de son antre qu'elle poussait un autre soupir, sous cette envie qu'elle avait qu'il continue, électrisant son corps de ses caresses brutales à même de la faire gémir avec force.

Les dents de la blonde venaient torturer sa lèvre du bas alors que le souffle chaud de l'allemand venait arracher un frisson à sa peau bien sensible sous ses attaques et c'est lorsqu'il entreprit de se laisser tomber sur le côté qu'elle se tournait sur le flanc pour lui faire face, vrillant son regard directement dans le sien. La langue venait lentement passer contre les lèvres de Klaus, alors que sa main entreprenait une chute contre son ventre pour venir se glisser sous le tissu du vêtement qu'il portait, prenant sa verge entre ses doigts, ne quittant pas son regard du sien. C'est une masturbation qu'elle entreprenait. Pour lui rendre l'appareil. Pour lui prouver ô combien il avait pu lui manquer alors qu'elle avait passé sa journée sur la plage. Les mouvements se faisaient d'abord lents, mais qui avait pour but de rendre son membre encore plus dur entre ses doigts, elle ne manquait pas d'augmenter quelque peu la cadence sous les réactions de son partenaire. L'angle dans lequel elle était positionnée rendait son geste irrégulier, mais elle était amplement apte à user de mouvements de main bien indécents, bandant son membre à souhait entre ses doigts, laissant ses lèvres prendre encore quelques baisers contre ses lèvres. C'est finalement qu'elle venait l'enjamber, cessant cette masturbation qu'elle avait commencée quelques minutes plus tôt pour venir se poser à califourchon par-dessus lui, le faisant basculer sur le dos par la même occasion. La jeune femme se penchait, laissant son corps se coller au sien, laissant son membre venir se poser contre son intimité bien échaudée par toutes les envies qu'elle pouvait ressentir à ce moment même. Le souffle de la blonde venait se perdre contre ses lèvres, alors qu'elle s'amusait à jouer de quelques mouvements de bassin servant à rendre cette envie encore bien plus intense, bien plus présente, venant se coller à lui dans quelques ondulations bien grivoises. Les lèvres de la blonde venaient faire un détour pour s'échouer dans son cou, sa langue s'amusant à venir dessiner les muscles tendus de sa gorge, à y gouter le salé de sa peau et laissant quelques mots s'échouer contre son oreille. « -Hmm. Est-ce que j'ai réellement besoin de répondre à cette question?» Ses gestes parlaient amplement pour elle, les mouvements subtils, mais bien indécents de son bassin qui venait se frotter contre sa verge bien bandée. Déjà en manque de coït qu'il était le seul à pouvoir lui provoquer, grâce à cette entente non verbale qu'ils se donnaient, trop jalouse pour laisser la moindre femme s'approcher trop près de lui et ne pouvant que s'adonner à quelque relation lesbienne devant les caméras, bien fade en comparaison à ce que l'allemand s'amusait à lui faire subir, bien face en comparaison de cette passion étouffante qui la prenait trop souvent.
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