Oops I did it again

Dolorès s’ennuyait fermement dans sa grande chambre d’hôtel. Afin de passer le temps, elle décida d’écarter le rideau de sa fenêtre et d’observer les alentours. Nous étions en plein après-midi, les rues étaient vides. A Tijuana, l’activité était plutôt présente le soir, pas en pleine journée. Autrement dit, la belle n’avait absolument rien à faire. Pensive, elle observa le paysage sans vraiment le regarder. Elle réfléchissait plutôt à ce qu’elle pourrait bien faire pour égayer sa journée. C’est alors qu’elle vit une voiture de flic débouler dans la rue. Intéressée, elle les regarda de plus près. Ils ne semblaient pas en voir après l’hôtel. Ils passèrent juste devant et tournèrent à l’angle de la rue. Elle haussa les épaules. C’était toujours le même schéma. Ils faisaient des rondes en pleine journée pour rassurer les clients de l’hôtel quant à la sécurité du quartier mais, dès la nuit tombée, on ne voyait plus personne. Enfin si, on en voyait quelques uns qui faisaient à peu près tout sauf des choses honnêtes. Ainsi tournait le monde à Tijuana. Les règles étaient différentes des autres villes. Tout était différent. Alors qu’elle aurait pu retourner dans sa chambre et lire un livre, Dolorès eut une meilleure idée. Ces flics passant sous sa fenêtre venaient de lui donner une idée. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait plus vu Aaron, ce policier qui ne cessait d’essayer de la coffrer. Elle ne l’avait plus embêté depuis un bail. Il fallait absolument qu’elle remédie à ce problème sinon il allait finir par l’oublier et, le moins qu’on puisse dire, c’est que la brune détestait être transparente. Avec une idée diabolique en tête, elle attrapa son sac à main et sortit. Elle venait tout juste de trouver ce qui pourrait mettre Aaron vraiment en rogne.

Une fois arrivée devant le commissariat, Dolorès fit signe à son chauffeur de s’arrêter. Il sembla vraiment surpris mais obtempéra. Il savait qu’il ne valait mieux pas la contrarier. Alors qu’il allait redémarrer, elle le stoppa. « Attends » Elle fit le tour de la voiture et se dirigea vers le coffre. Vu qu’elle n’avait pas l’habitude de travailler, c’était un miracle qu’elle sache comment il fallait faire pour l'ouvrir. Elle inspecta alors son contenu. Il lui fallait un objet précis. Etant donné qu’il n’y a pas exactement ce qu’elle recherchait, elle décida de se saisir de l’extincteur. Cela ferait l’affaire. Elle se dirigea alors vers les voitures de flics garées devant le commissariat et commença à chercher celle d’Aaron. Elle savait précisément laquelle c’était étant donné qu’elle avait retenu sa plaque et que chaque policier avait une voiture à son nom. Une fois qu’elle l’eut trouvé, une sourire diabolique se dessina sur ses lèvres. Sans prévenir, elle se mit à taper vigoureusement l’objet qu’elle tenait dans les mains contre les vitres de la voiture qui volèrent en éclats. Elle donna plusieurs coups jusqu’à ce que plus aucune vitre ne soit intacte. Elle décida de continuer sur le capot mais, voyant qu’il fallait donner trop d’efforts pour peu de résultats, elle préféra abandonner. De toute manière, c’était suffisant comme cela. Elle ordonna à son chauffeur de partir et de venir la chercher lorsqu’elle appellerait. Perchée sur ses hauts talons, elle monta les escaliers de la gendarmerie et se dirigea vers l’accueil. « Bonjour, je viens de commettre un délit et je souhaiterai me rendre. Serait-il possible de parler à l’agent Marquez s’il vous plait ? » Etant donné que tout le monde la connaissait, personne ne comprit son petit manège. Toutefois, elle s’en fichait. Elle avait juste hâte de montrer à son beau policier la nouvelle connerie qu’elle venait de faire.

Encore une belle journée à Tijuana, nous étions en pleine après-midi, le soleil tapait fort, tout semblait tranquille, même mort. Les gens ne sortaient pas souvent en pleine après-midi, il fait bien trop chaud pour travailler. On retrouve ce genre de vie dans tous les pays où le soleil sévit, seul les touristes arrivaient à braver le soleil pour visiter la ville et aller à la plage. Tijuana s’éveillait quand le soleil se couchait, la ville se peuplait quand le soleil prenait son congé. Aaron n’était pas vraiment gêné par cette chaleur, il avait l’habitude même si son jean le dérangeait. Il avait d’ailleurs ouvert deux boutons de sa chemise blanche pour laisser passer un peu d’air. Heureusement, dans le commissariat, il y avait la climatisation, ce qui permettait de brasser l’air chaud pour en apporter un peu du frais. Aaron était concentré sur son rapport d’enquête suite à l’arrestation d’un dealer. Il n’aimait pas vraiment s’occuper de la paperasse mais le meilleur moyen de faire relâcher un criminel, ce n’est pas le manque de preuve mais le vice de procédure. Et puis pour une fois que la personne qu’Aaron arrêtait n’était pas protégé par l’argent, il allait faire les choses comme il faut. Il ne restait que quelques lignes à taper pour Aaron quand un jeune agent vient dans vers son bureau. « Agent Marquez, une femme veut se rendre, elle vous demande … » Sans vraiment comprendre ce qu’il se passait, Aaron se leva curieux. Une personne qui veut se rendre ? C’est tellement rare, qu’elle est le crime qui a été commis ?

Aaron passe à l’entrée du commissariat et regarde qui le demande. Il sourit en voyant la personne en face de lui. Il s’agit d’une jeune femme, habillé de façon provoquante, maquillé de façon outrageuse, ressemblant à une prostituée droguy mais qui en réalité est une fille à papa, d’une famille bien riche et donc intouchable de Tijuana. « Dolorès, je vous ai manqué que vous venez me voir ? » Pour être honnête Aaron sait qu’il n’hésitera pas à la mettre en cellule même si elle serait relâché quelque temps après. Aaron pensait même qu’elle était venue spécialement pour jouer et il savait aussi qu’il allait courir dans ce jeu … Dolorès représentait ce qu’Aaron détestait à Tijuana : la corruption de la justice, l’abus de l’argent, l’immunité. Dolorès représentait tout ce qui donnait envie à Aaron de quitter le Mexique pour retrouver une vraie justice en Europe. Pourquoi se battre dans un pays qui n’en avait pas envie ?

Etant donné que la venue de l’agent Marquez prenait un certain temps, l’adolescente décida de s’asseoir. Elle croisa les jambes sans aucune pudeur. Le fait qu’elle ait une mini jupe et que tout le monde puisse voir l’entièreté de ses cuisses jusqu’à sa culotte ne semblait pas la gêner. Pire, elle s’amusait même des regards timides que lui lançaient certaines personnes. Même s’il y avait quelques mecs mignons dans le tas, aujourd’hui, elle était venue uniquement pour Aaron. A sa manière, il était plutôt chanceux. Elle comptait bien l’énerver et le chauffer jusqu’à ce qu’il cède. C’était sa spécialité. Le voyant arriver dans l’embrasure de la porte, elle se leva et lui sourit. « Tu me manques toujours voyons » Si elle avait reçu un cent à chaque fois qu’elle avait dit cette phrase à un mec, elle serait probablement deux fois plus riche qu’à l’heure actuelle. Se foutant complètement qu’il incarne une figure d’autorité, elle s’approcha de lui et se mit sur la pointe des pieds pour l’embrasser. Malheureusement, il l’évita et elle ne put atteindre que le coin de ses lèvres. Elle haussa les épaules et sourit. Elle adorait jouer avec lui pour la simple et bonne raison qu’il était l’un des seuls à lui résister. Étant donné qu’il devait se demander ce qu’elle lui voulait, elle anticipa sa question et l’entraîna dehors, fière d’elle. Elle avait hâte de lui montrer sa dernière connerie en date. D’un geste du doigt, elle pointa sa voiture toute cabossée. « Je suis désolée. J’ai tellement envie de toi que j’ai dû passer mes nerfs sur ta voiture » Elle se mit à rire de manière horripilante. N’importe qui aurait eu envie de lui coller une baffe.

Tandis que le policier était sûrement entrain de s’énerver, elle le suivit pieds à talons afin de voir sa réaction. Premièrement, il se dirigea vers sa voiture pour regarder les dégâts. Il semblait assez en colère vu le regard noir qu’il lui lança. « Relax. Si tu me passes les menottes aux poignets, je te paierai une nouvelle voiture » dit-elle en tendant ses deux mains vers lui en mode prisonnière. Cependant, il avait l’air d’hésiter. Il devait mourir d’envie de l’arrêter mais, en même temps, refuser de lui donner ce qu’elle voulait. Joueuse, elle s’approcha de lui et se mit à tripoter les poches de son pantalon sans aucune gêne. « Allez, elles doivent bien être quelque part. T’en meurs d’envie » Une fois de plus, elle émit un rire cristallin. Ce jeu l’amusait énormément. Elle adorait le voir pester contre elle. Voyant qu’il réfléchissait toujours, elle s’approcha de lui et colla son corps contre le sien. Ses mains passèrent dans le creux de ses reins et remontèrent petit à petit vers son dos. Etant donné qu’il était assez grand, elle se mit sur la pointe des pieds pour lui chuchoter dans l’oreille. « J’ai trop envie que tu me prennes dans la cellule » Ça, à coup sûr, c’était la goutte d’eau qui faisait déborder son vase déjà bien rempli.

Aaron se leva de sa chaise pour se rendre à l’accueil où il découvrit Dolorès Mosquera. La jeune femme est assise, les jambes croisées dévoilant l’entièreté de sa cuisse claire et même si on y regarde bien le début d’une culotte en dentelle. Aaron cependant se retient de trop regarder cette parcelle de la jeune femme, restons professionnel. La première réaction d’Aaron fut d’hausser un sourcil, il demanda à la jeune femme s’il lui a manqué. Dolorès répondit à Aaron qu’il lui manquait tout le temps. Aaron eu un léger sourire, cette phrase, ce n’était pas la première fois qu’il l’entendait de la bouche d’une femme, il lui était même arrivé de la prononcer pour charmer les femmes. Il ne se formalisa pas non plus du tutoiement de la mexicaine qui n’était là que pour l’énerver. La jeune femme se leva prestement et s’approcha du flic, elle se dressa sur la pointe des pieds pour déposer un baiser sur le lèvre d’Aaron qui détourna rapidement la tête pour éviter ce baiser (qui se déposa sur le coins des lèvres d’Aaron), il secoua la tête d’un air désapprobateur en prenant la jeune femme par les épaules pour éloigner la jeune femme de lui. « Un peu de tenue, s’il vous plait. » Aaron pourrait passer pour quelqu’un de vieux jeu mais il était surtout professionnel, le boulot, c’était le boulot. Et en plus, il ne pouvait pas se voir Dolorès.

Alors que le jeune flic allait ouvrir la bouche pour demander à Dolorès pourquoi elle était là, elle l’entraina dehors en désignant la voiture de patrouille de l’agent. La jeune femme se mit à rire en disant s’être passé les nerfs sur la voiture toute fière d’elle. Aaron ne put retenir une injure en marchant très vite vers sa voiture. Elle était dans un sal état, toutes les vitres étaient brisées, il y avait du verre de partout. « Mosquera, mais c’est pas possible … vous … » Aaron retint une nouvelle injure tout en frappant du point le toit de sa voiture, histoire de ne pas la frapper, elle. La jeune femme tendit ses bras devant Aaron en mode soumission en lui promettant une nouvelle voiture si il lui passait les menottes, le flic lui jeta un regard noir. Il hésita un instant à les lui passer. Il ne pouvait pas la laisser repartir et la mettre en cellule pourrait lui faire du bien sur ce coup mais en même temps, ce serait faire plaisir à la mexicaine. Celle-ci profita de l’hésitation du flic pour s’approcher de lui, elle passa ses mains dans les poches de l’homme, cherchant les menottes en lui disant qu’il devait en mourir d’envie que de les lui passer. Cela était probablement vrai mais surement pas pour une raison sexuelle comme cela était sous-entendu. Avant que le flic ne puisse dire quoi que ce soit, elle s’était collé à lui et avait passé ses mains lentement dans son dos pour lui murmurer à l’oreille qu’elle avait envie de se faire prendre dans la cellule. Ni une ni deux, Aaron prit la jeune femme par les épaules, la retourna presque violement et lui passa les menottes en prenant soin de bien les serrer. « Je ne vous fais pas trop mal ? » Question inutile, froide et plein d’agacement. « Allez, avancez. » Aaron la fit avancer en la poussant un peu, il détestait quand les femmes étaient si vulgaire, pourtant, cela aurait pu l’exciter mais enfaite, ça lui donnait plus l’impression d’être une sorte de jouet pour la mexicaine. Même si elle ressortirait d’ici les vingt-quatre heures de garde à vue autorisée légalement avec une amende pour rembourser la voiture, et qu’Aaron se ferait taper sur les doigts pour avoir mis une Mosquera derrière les barreaux, il s’en fichait …

Aaron fit avancer la jeune femme jusqu’à l’intérieur de la cellule, sans grand ménagement, il détacha les menottes et la laissa seule dans cette petite pièces exigüe. « Je reviendrais vous voir plus tard. » La jeune femme avait un grand sourire aux lèvres alors qu’Aaron retournait dans son bureau. Il reprit ses occupations. Il la laissa seule jusqu’à environ vingt heure. Le commissariat était maintenant vide, il n’y avait plus qu’Aaron et sa détenue. Il alla la voir avec une bouteille d’eau et lui donna en entrant dans la cellule. « Tenez. J’espère que vous n’avez pas faim parce que je n’ai rien eu le temps de cuisiner pour vous … » Et puis elle pouvait aller se faire voir pour qu’il lui prépare quoi que ce soit …

Tandis qu’elle regardait le flic s’énerver et mettre un coup de poing sur sa voiture déjà bien amochée, la jeune mexicaine ne put s’empêcher de rire. Il était encore plus sexy lorsqu’il était furieux, raison pour laquelle elle adorait le faire tourner en bourrique. Elle connaissait un moyen pour qu’il se détende et qu’il ne pense plus à tout ça : une bonne partie de jambes en l’air. C’était le meilleur remède qu’elle connaissait pour toutes les maladies et pour tous les aléas de la vie. En plus, elle en avait très envie. Pour le lui signifier, elle se mit à l’aguicher sans retenue. Les allusions étaient à peine dissimulées, ses gestes éloquents. Après tout, même s’il était flic, c’était avant tout un homme avec des besoins. Des besoins qu’elle pourrait facilement combler. Après l’avoir supplié de la menotter, il finit par céder. Le fait qu’elle ait manifesté l’envie qu’il la prenne dans la cellule avait dû le faire craquer. Elle en était persuadée. Il la retourna violemment et lui attacha les mains dans le dos. Un fin sourire victorieux se dessina sur ses lèvres. Elle avait réussi. Il lui demanda s’il ne lui faisait pas trop mal. « Non, c’est parfait » Elle adorait être malmenée. Il lui intima ensuite l’ordre d’avancer en la poussant légèrement. Elle se retourna vers lui tout en continuant à marcher. « J’adore quand tu me donnes des ordres. On pourra faire ça toute la nuit. Je pourrais même garder les menottes si ça t’excite » Elle lui fit un dernier clin d’œil avant de pénétrer dans le commissariat. Les fonctionnaires avaient l’air plutôt surpris de la voir dans cet état mais elle les rassura en disant que tout allait bien. Pour la première fois de sa vie, elle prit la direction des cellules. Son nom de famille lui avait toujours évité ce petit désagrément mais, heureusement, elle venait là pour une bonne raison. Elle était toujours persuadée avoir mis le flic dans sa poche. Dans son esprit, personne ne pouvait lui résister. Même si elle était vulgaire et que certains mecs se pensaient trop bien pour coucher avec elle, finalement, ils craquaient tous. Même s’ils disaient le contraire pour rassurer leur copine, ils aimaient les filles faciles.

Le sourire aux lèvres, elle se laissa pousser dans la cellule s’imaginant sans doute un moment épique. Pourtant, Aaron ne tarda pas à en ressortir. « Qu’est-ce que tu fais ? » Pour toute réponse, il lui dit qu’il reviendrait la voir plus tard. Elle fronça les sourcils. Ce n’était pas au programme. Elle, elle le voulait tout de suite. Elle tapa sur les barreaux de la cellule tandis qu’il s’éloignait. « Reviens » cria-t-elle. Lorsqu’il disparut dans l’angle du mur, elle tapa sur le barreau avec rage. Putain, elle s’était faite avoir comme une débutante. Maintenant, elle était coincée dans ce trou de souris pour Dieu sait combien de temps. Furieuse, elle décida de s’asseoir. Elle resta seule, dans cette position, pendant des heures. Et, finalement, elle le vit débarquer, comme il l’avait promis. Pendant ce laps de temps, elle avait eu le temps de réfléchir. Sa colère était passée. Elle avait compris son manège. Il préférait simplement qu’il n’y ait personne d’autre dans le commissariat à part eux. Ça lui allait également. Il lui tendit une bouteille d’eau avant d’entrer dans la cellule avec elle. Elle en but une gorgée. « Tu m’as bien eu, j’dois le reconnaître. Mais, j’ai le regret de t’annoncer que je suis toujours une vilaine fille » Elle se leva, lui fit un clin d’œil et s’avança vers lui. Cependant, elle crut voir une hésitation dans son regard. « Pourquoi t’essaies de résister ? On est tout seuls maintenant. De toute façon, t’auras quand même des ennuis pour m’avoir arrêté alors accordes toi un petit plaisir en échange. Je suis très douée tu sais » Restée sur sa lancée, elle tendit de nouveau son visage vers le sien dans le but de l’embrasser. A voir s’il accepterait ou non son baiser.

Aaron venait de passer les menottes à la jeune Dolorès Mosquera et avait pris du plaisir à les serrer, histoire de lui faire mal mais ce n’était pas un plaisir d’ordre sexuel, ce n’était pas une excitation. Au lit, Aaron n’a jamais été quelqu’un de violent. Aaron jubilait tout simplement de pouvoir laisser moisir Dolorès dans une cellule pendant vingt-quatre heures pour dégradation d’un bien public. Aaron avait dit à Dolorès d’avancer et elle avait répondu qu’elle adorait recevoir ses heures et proposa de faire ça toute la nuit et même en gardant les menottes. Aaron ne répond pas à cela, il se contente de jeter un regard plein de dédain dans le dos de la jeune femme. Quand ils rentrèrent dans le commissariat, un de ses collègues se leva, un des corrompus du poste, rien de bien nouveau. Dolorès annonça que tout allait bien. Aaron poussa la jeune femme jusqu’à la cellule en enlevant les menottes et repartit directement avec un sourire de satisfaction malgré le fait qu’il savait qu’il allait avoir des ennuis pour avoir arrêté une Mosquera, il s’en fichait complétement, parfois, mettre la corruption derrière les barreaux, ça fait du bien.

Au bout de quelques heures, qui avaient été courte pour Aaron car il avait fait de la paperasse mais qui avaient dû être longue pour la jeune femme, il décida de lui apporter une bouteille d’eau. La jeune délinquante se leva en souriant en affirmant qu’Aaron l’avait bien eu mais que c’était toujours une vilaine fille. Le flic haussât un sourcil, il ne voyait pas où la jeune fille voulait en venir … « Je ne vois … » ce que vous voulez dire aurait dû être la fin de la phrase mais la jeune femme l’avait coupé pour continuer tout en s’avançant vers le représentant de l’ordre. Elle lui demanda pourquoi il essayait de résister, qu’il avait bien le droit de s’accorder un petit plaisir et qu’en plus, elle était douée. Elle s’avança, les lèvres tendues en la direction de celle d’Aaron. Il la repoussa en plaçant ses deux mains sur les épaules de la prisonnière. « Dolorès, vous vous n’êtes jamais dit que je n’étais peut être pas attiré par votre personne ? » Aaron savait déjà que cette réplique allait énerver la jeune femme parce que bon, il était en train de faire appel à l’égo de la mexicaine et Aaron savait qu’elle n’en manquait pas.

Pendant le laps de temps où elle était restée seule, Dolorès s’était emmerdée ferme. Elle n’avait pas l’habitude de rester inactive. Oh, bien sûr, elle avait toujours son portable avec elle mais cet endroit la déprimait. Dans le fond, heureusement que son père la faisait toujours sortir. Franchement, elle n’aurait jamais supporté passer une nuit entière dans un tel endroit. Aucun confort. Le lit proposé était bien loin de celui qu’elle avait à son hôtel. Le décor n’était pas vraiment ressemblant non plus. Pour un peu, elle aurait pu en faire des cauchemars mais, heureusement, son esprit était bien trop occupé à divaguer sur ce qu’elle ferait lorsqu’elle apercevrait son beau policier. Techniquement, ce n’était pas vraiment le sien mais, comme c’était sa nouvelle proie, c’était tout comme. Le moins qu’on puisse dire c’est qu’il se faisait désirer. Elle ne se souvenait pas avoir eu autant de mal à choper un mec jusqu’ici. Oh, c’est vrai qu’Emeryck se défendait pas mal sous prétexte qu’il était en couple mais elle le sentait vaciller. En revanche, rien chez Aaron ne la laissait entrevoir qu’il craquait. Dur. Pourtant, au lieu de s’avouer vaincue, elle décida de redoubler d’énergie pour le séduire. Elle essaierait toutes les tactiques imaginables jusqu’à trouver la bonne. S’il n’aimait pas les filles faciles, elle pourrait toujours adopter un autre comportement. Ce serait difficile mais, si c’était pour avoir ce qu’elle voulait, elle était prête à tout. D’aussi loin qu’elle se souvienne, on ne lui avait jamais rien refusé. Elle ne voyait pas pourquoi cela devrait commencer maintenant. Surtout pas avec Aaron. C’était bien sa veine. Pourquoi avait-il fallu qu’elle mette le grappin sur le seul flic de Tijuana qui n’était pas corrompu? En fait, c’était peut-être exactement la raison pour laquelle elle l’avait repéré.

Lorsqu’elle le vit débarquer avec une bouteille d’eau, elle sourit. Tout n’était pas perdu. Il aurait pu la laisser moisir là toute la nuit mais, au lieu de ça, il était revenu la voir. Il était clair que, si elle restait là, c’était uniquement parce qu’elle le voulait bien. Un simple coup de fil aurait suffit pour la faire libérer. Toutefois, elle avait commencé à prendre goût à ce petit jeu. Puis, si elle devait vraiment passer quelques heures en prison pour l’avoir, ce n’était pas cher payé. Elle conserverait ainsi son précieux record : jamais elle ne s’était faite repousser par un homme. Elle le regarda entrer dans la cellule. Toutes ses bonnes résolutions de changement s’envolèrent. Directement, elle recommença à se comporter comme une garce. Il la repoussa. Qu’est-ce qu’il n’allait pas chez lui ? Elle fronça les sourcils. Sa remarque ne lui plaisait pas du tout. Elle commençait à perdre patience. « Pourquoi tu viens si t’en as rien à foutre ? T’as qu’à me laisser pourrir en prison toute la nuit. Ah mais c’est vrai, laisse moi réfléchir, tu peux pas » S’il voulait jouer à qui blesserait l’autre, elle allait jouer. Mais, quoiqu’elle en dise, sa remarque l’avait blessée. « Je peux savoir pourquoi tu n’es soit disant pas attiré par moi ? Qu’est-ce que tu veux de plus, tu te crois trop bien pour moi ? » Directement, sa carapace se reconstruisit. Elle ne pouvait pas imaginer qu’il n’était vraimentpas attiré par elle. Il devait mentir voilà tout. Elle avait déjà adopté une autre stratégie. Celle de la petite victime. S’il fallait qu’elle se fasse passer pour une petite chose fragile pour qu’il ait pitié d’elle, elle allait le faire. De toute manière, elle n’avait aucun amour propre alors …

Aaron était là, face à la jeune femme qu’était Dolorès. Elle avait tout juste 18 ans, elle ne savait encore rien de la vie et pourtant, elle s’était déjà tellement enfoncé dans la décadence. Elle aurait pu devenir quelqu’un de bien, elle avait de l’argent, elle aurait pu faire des études, devenir une brillante femme d’affaire ou un médecin renommé mais elle avait préféré devenir une mangeuse d’homme, une accroc au sexe et probablement une consommatrice de substances illicites. Alors que le jeune flic lui avait apporté de l’eau, elle s’était approchée de lui, il dut la repousser et quand elle lui demanda pourquoi il résistait, il répondit qu’elle n’était pas à son gout. Mensonge et baliverne, bien sûr qu’Aaron pourrait avoir envie de s’envoyer en l’air avec la mexicaine … Piquer au vif dans son égo, elle demanda pourquoi Aaron venait donc avant de lui rappeler qu’il n’avait pas le choix, qu’il devrait même la laissé partir. Oui, c’est vrai, la jeune femme était intouchable aux yeux de la loi, elle n’avait pas d’immunité diplomatique mais une immunité dû à l’argent. Aaron était un flic non corrompu, il ne se pliait pas à l’argent, il voulait combattre le crime, il avait trop d’idéaux. A la première remarque, Aaron ne répondit rien, cela ne servait à rien de s’énerver même s’il avait serré les poings d’agacement. Elle demanda ensuite pourquoi il n’était pas attiré par elle. S’il était trop bien pour la mexicaine. Aaron s’approcha de Dolorès, il était assez prêt d’elle, s’était étrange qu’il fasse un pas ainsi vers elle, surtout qu’il savait que Dolorès allait en profiter. « Je ne sais pas, peut-être parce que tu es une pourrie gâtée et même une pourrie tout court … » Aaron avait laissé tomber le vouvoiement pour passer au tutoiement, encore quelque chose d’étrange que Dolorès n’allait pas laisser passer. Une chose est sure, même si Aaron a beaucoup d’idéaux, il savait qu’il n’était qu’un homme et qu’il était donc faible, il savait aussi qu’il ne résisterait pas trop si Dolorès venait à le plaquer contre les barreaux de la cellule pour lui infliger ce dont elle avait envie … Et rien que de savoir cela énervait Aaron. Pourquoi un homme réfléchit-il aussi souvent avec sa queue ? C’est fou, pourtant le flic c’est qu’il a un cerveau en état de marche et pourtant, quand il voit une belle paire de sein, une attitude aguicheuse, son cerveau se met sur off alors que sa queue se positionne sur on … On aura beau dire, un homme reste un homme : basique et primaire.

Sa remarque avait eu l’effet escompté. Elle avait bien vu qu’Aaron avait serré le poing. Ça lui apprendra à essayer de la déstabiliser. Certes, elle avait sans doute un égo surdimensionné mais, parfois, il lui arrivait aussi d’être blessée. En général, les insultes ne lui faisaient ni chaud ni froid. Toutefois, certaines remarques, plus calmes, pouvaient la toucher encore plus. Mais, ça, elle ne le montrait jamais. A ce propos, le fait qu’Aaron lui dise qu’il n’était pas intéressé par elle l’avait blessée. Elle prenait cette attitude de garce pour, justement, se faire qui elle voulait. Alors, quand elle voyait qu’elle faisait tout ça pour rien, ça la mettait clairement en rogne. En apparence, rien ne pouvait l’ébranler, toutefois, cela ne voulait pas dire que c’était le cas. Directement, la belle remonta sur son cheval de bataille et lui demanda s’il se croyait trop bien pour elle. Adressée à un mec comme lui, elle était sûre que cette remarque allait le faire réfléchir. Tant mieux. Il réaliserait peut-être enfin qu’il avait envie d’elle. Le regardant dans les yeux, elle attendit sa réponse. C’était bien plus que ce qu’elle avait espéré. Voilà pourquoi elle adorait l’énerver. Parce que, comme ça, il perdait le contrôle et se laisser tenter par l’adolescente qu’elle était. Il fit un pas vers elle et se mit à la tutoyer. Qu’il l’insulte, elle s’en fichait. Au contraire, elle aimait ça. Un sourire passa sur ses lèvres. Elle se rapprocha sensuellement de lui et posa ses mains sur son torse. « Une pourrie qui va te faire passer un moment incroyable » Sans un mot supplémentaire, elle le poussa avec violence contre les barreaux de la cellule. Avant qu’il change d’avis, elle se mit sur la pointe des pieds et l’embrassa sur les lèvres. Sans tarder, elle vint attraper sa langue avec la sienne dans un baiser torride. Elle savait qu’elle venait juste de gagner la guerre qu’ils se livraient depuis des mois.

La rage qui les animait semblait avoir un effet plus que positif dans ce genre de circonstances. Elle savait d’expérience que, lorsque l’on était énervé, les parties de jambes en l’air n’en étaient que meilleures. Continuant à l’embrasser goulument, elle se mit à caresser son torse avec ses mains. Elle avait rêvé de ce moment depuis tellement longtemps qu’elle était excitée comme une puce à l’idée d’aller plus loin. Sensuellement, elle descendit ses mains vers sa ceinture qu’elle entreprit de défaire. Malgré qu’il venait de l’enfermer, elle avait envie de lui donner du plaisir. Ses doigts experts ne tardèrent pas à défaire le bouton de son pantalon et à abaisser sa braguette. La suite était prévisible. La brunette se mit à genoux devant lui et dévoila sa virilité. Elle l’attrapa fermement à la base et approcha doucement sa bouche de son extrémité. Elle commença par des petits suçotements et en vint entourer son membre de manière parfaite. Tout en le regardant dans les yeux, elle commença ses mouvements de vas et viens. De temps en temps, elle venait faire jouer sa langue contre son gland pour le stimuler encore plus. Elle savait y faire avec les hommes. Après avoir fait buter sa virilité contre le fond de sa gorge et l'avoir aspiré avec envie, elle éloigna son visage de son sexe. « Tu veux peut-être que je m’arrête là ? Vu que t’es pas intéressé par moi, j’ferais mieux de pas insister » Toujours à genoux devant lui, elle sourit. Encore une fois, elle ne disait cela que dans le but de l’énerver. Ainsi, il se donnerait à fond. Parce que, franchement, elle doutait qu’il lui demande d’arrêter. Lorsqu’on avait goûté à une Mosquera, on ne pouvait plus s’en passer.

Aaron regarda la jeune fille dans les yeux, elle avait un air déterminé, un air de défi. Et il y avait même si on savait la voir, une petite lueur de désir dans le fond de son œil. Les propos qu’Aaron avait tenus quand il avait dit ne pas être intéressé avaient blessé la jeune femme, cela en était évident. Mais elle avait su lui renvoyer une pique dans les dents ce qui eut pour effet d’énerver le flic. Dolorès demanda alors pourquoi elle ne l’attirait pas et Aaron répondit qu’elle n’était qu’une pourrie ce à quoi, du tac au tac vint répondre Dolorès en s’approchant sensuellement de lui et en posant ses mains sur son torse. Elle dit qu’elle était une pourrie qui allait lui faire passer un moment formidable. Et elle le poussa contre les barreaux de la cellule, Aaron qui ne s’y attendit pas fut déstabiliser et ne put reculer ou se dégager de la mexicaine qui en profita pour fourrer sa langue dans la bouche d’Aaron, même s’il résista quelques secondes, son cerveau se mit sur off et sa langue se mit aussi à tourner dans la bouche de la Mexicaine. Elle ne perdit pas de temps et vint passer ses mains sur le torse du policier direction son pantalon dont elle défit le bouton et la braguette. Sans un mot, elle se mit à genoux et attrapa le sexe non stimulé du flic. Celui-ci eut un long frisson quand elle se mit à le suçoter telle une sucrerie puis commença à le prendre entièrement dans sa bouche et à faire des va et vient assez rapide qui arrachèrent un râle à Aaron. Dolorès s’amusait à passer sa langue de temps en temps sur son membre qui était devenu dur dans la bouche de la jeune femme, à chaque lèche un « Ahh » sortait de la bouche du flic. Il avait la tête en arrière, profitant de chaque instant de cette fellation inattendu. Dolorès n’y allait pas de main morte, avant presque son pénis. A un moment elle s’arrêta et Aaron ne put retenir un grognement, elle demanda si elle devait arrêter comme elle ne l’intéressait pas.

« Continue » ne fut que le seul mot qui sorti de la bouche du flic, le mot sonna comme un ordre, il attrapa d’ailleurs Dolorès par la nuque pour lui remettre son sexe dans la bouche. La jeune femme, qui venait de gagner une grande victoire reprit de plus belle, en allant beaucoup plus vite. Aaron lâcha encore quelques râles. Au bout de quelques minutes, il fit se relever Dolorès et la plaqua à son tour contre les barreaux, il était énervé de s’être laissé avoir mais il était déjà allé trop loin pour faire marche arrière, en plus, il n’en avait plus envie. Aaron releva la jupe de Dolorès et fit descendre sa culotte de dentelle. Il attrapa le visage de Dolorès et embrasa violement ses lèvres, faisant tourner sa langue dans sa bouche. Aaron pris un préservatif qu’il avait dans sa poche et l’enfila rapidement. Aaron se protégeait toujours quand il faisait l’amour surtout avec des filles qui ne sont pas très net. Une fois la protection mise, il entra en Dolorès sans la préparer, elle était déjà un peu mouillé mais pas trop. Mais tant pis, Aaron n’allait pas non plus lui faire le plaisir de la stimuler. Il n’en avait pas envie. Il commença des mouvements de va et vient en elle avec des coups de rein assez sec lâchant en même temps quelques râles sans lâcher le regard de Dolorès.

Spoiler:

La mexicaine était finalement parvenue à obtenir ce qu’elle voulait. Comme elle l’avait prévu, il ne lui avait pas résisté bien longtemps. Son attitude de garce le rebutait peut-être mais pas suffisamment pour continuer à la repousser. Après tout, une baise facile ne se refusait pas. Et, ce, même pour un flic aussi droit qu’Aaron. Elle avait donc profité de son moment de faiblesse pour s’approcher de lui, le plaquer contre les barreaux et l’embrasser sensuellement. Malgré une petite résistance, il entra bien vite dans son jeu. Voyant qu’il se montrait plus coopératif, elle décida de prendre les choses en mains. Elle avait terriblement envie de lui faire une fellation dont il se souviendrait. Elle en vint rapidement à gober son sexe qui ne tarda pas à durcir entre ses lèvres. Les bruits de succion causés par les mouvements de va et viens étaient entrain de la rendre folle. Elle s’appliquait à lui donner le plus de plaisir possible, comme pour lui montrer tout ce qu’il avait raté en refusant constamment ses avances. Avec avidité, elle enfonçait son membre de plus en plus profondément dans sa gorge. Emprisonné dans sa bouche, Aaron ne pouvait rien faire d’autre que subir ces assauts plaisants. D’ailleurs, elle entendait de temps en temps quelques gémissements qui la poussaient à se donner à fond. Elle était excitée rien qu’à l’idée de savoir qu’il aimait le traitement qu’elle lui faisait subir. Histoire de l’énerver, elle décida d’arrêter ce qu’elle était entrain de faire. Directement, il lui ordonna de continuer dirigeant de nouveau son membre dans sa bouche. Dolorès était agréablement surprise. D’ordinaire plutôt dominatrice, elle ne rechignait pas à échanger les rôles. Elle sentait ses mains derrière sa nuque qui la forçaient à l’engloutir encore plus profondément son membre, lui coupant la respiration par moment. Elle adorait ça.

Une fois qu’il eut finit de diriger son sexe dans sa bouche, il la releva avec une certaine violence. Directement, il lui retira son string en dentelle qui tomba sur le sol. Pour avoir un meilleur accès à son intimité, il remonta également sa jupe. Elle se laissait bien évidemment faire, trop ravie qu’il prenne les choses en main. Il semblait pressé d’aller plus loin, ne prenant même pas la peine de la déshabiller entièrement. En même temps, elle s’en fichait. Ce n’était pas comme si elle recherchait de la tendresse. En somme, elle cherchait juste à se faire prendre. S’il avait l’intention de faire ça debout, ça lui allait très bien. Une fois qu’il eut dévêtu juste ce qu’il fallait, il vint écraser ses lèvres contre les siennes. Il mit ensuite une capote. Le voyant se rapprocher de son intimité, elle leva sa jambe à hauteur de son bassin pour lui faciliter l’accès. Il l’attrapa et entra profondément en elle d’un coup sec. Trop excitée à l’idée de se faire prendre par un flic dans une cellule, elle n’avait même pas besoin d’être stimulée. Elle aimait la violence qu’il témoignait envers elle. Rejetant sa tête en arrière, elle profitait de ces mouvements de va et viens délicieux lâchant des gémissements de plus en plus forts à mesure que la cadence augmentait. Lorsqu’il accéléra, elle passa ses mains autour de son cou pour ne pas tomber. Il allait tellement vite que son dos ne cessait de cogner contre les barreaux de la prison. C’était bon. Toutefois, elle ne voulait pas que le moment se termine trop vite. Cela aurait été dommage de s’arrêter en si bon chemin. Tandis qu’il la prenait toujours avec force, elle s’approcha de son oreille. « Quand est-ce que vous allez me passer les menottes Monsieur l’agent ? » En mode prisonnière, elle ne cherchait même pas à contrôler ce qui allait se passer par la suite. Elle lui laissait prendre toutes les initiatives. Il pouvait se venger sexuellement de l’enfer qu’elle lui avait fait vivre. Elle espérait juste qu’il allait continuer à lui donner des ordres et à se montrer dominateur. Le repoussant légèrement, elle alla s’asseoir sur le lit, les jambes écartées : une invitation à la rejoindre. Dans une autre position cette fois. Et, pourquoi pas, avec des menottes autour des poignets ?

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Dolorès était là, sa bouche contre le membre du policier, il avait tenté de résister mais au final s’était laissé faire. Après tout, quand une femme vous donne ce qu’elle était en train de lui donner, et bien, on ne le refuse pas, après tout, c’était follement agréable de se faire faire une fellation, surtout que Dolorès était très très douée, elle avait déjà dû faire des centaines de pipes pour être aussi expérimenté avec sa bouche. Elle faisait cela extrêmement bien. D’ailleurs, quand elle arrêta, Aaron lui continua l’ordre de continuer encore, ce qu’elle fit docilement. Aaron prenait son pied, au bout de quelques temps, il décida de remonte la jeune femme. Il la retourna contre les barreaux est l’embrassa violement. Il enfila un préservatif et pénétra l’intimité de la mexicaine. Il n’y alla pas de main morte allant assez vite et donnant de petit coup de rein très sec. Dolorès poussait de longs gémissements et Aaron des râles de plaisir. Heureusement qu’il n’y avait plus personne ici. Aaron enleva le haut et le soutient gorge de la belle pour avoir accès à ses seins, il prit un de ses tétons dans la bouche et se mit à le suçoté et même à des moments à le mordiller. C’était bon. A un moment, elle chuchota à l’oreille du policier s’il allait finir par lui passer les menottes.

Dolorès le repoussa et alla sur la couchette, les jambes écartées : invitation à être rejointe. Mais Aaron avait une meilleure idée, il était assez énervé, contre lui, contre elle et il avait bien envie de faire passer un moment un peu dur à la jeune femme même s’il ne comptait pas lui faire trop mal. « Oh mais bien sûr, les menottes. » Aaron mis les menottes à Dolorès, lui attachant les mains par devant. Aaron fit basculer Dolorès par derrière, elle avait donc les fesses en l’air. Aaron pour ne pas être trop brutale non plus mis un doigt puis deux dans l’anus de la jeune femme. C’était la première fois qu’Aaron entrait par la porte de derrière mais le tout était de montrer de l’assurance non ? Et puis, il pensait que ce ne serait pas la première fois de ce côté pour Dolorès. Elle voulait être prise par le flic, elle le serait. Aaron enleva son jean et son caleçon pour pouvoir être plus libre de ses mouvements. Et sans délicatesse, il entra en Dolorès avec un nouveau râle. Il se mit à faire des mouvements de va et bien rapide et sec, ressortant à peine du petit cul de la mexicaine. Il était assez égoïste gardant ses mains sur le dos de Dolorès, il ne chercha pas à aller stimuler son intimité ou ses seins, non, elle ne le méritait pas. Elle l’avait fait craquer, il n’allait pas faire plus non plus.

Elle ne se serait jamais attendue à autant de violence de la part du policier. Toutefois, c’était une agréable surprise. Elle adorait se faire malmener. Une fois qu’elle eut fini sa pipe, il lui remonta sa jupe afin de commencer à la prendre. Bien évidemment, elle se laissait faire appréciant l’entendre râler de plaisir. Elle-même se prêtait au jeu gémissant de temps à autre lorsque les coups de butoir se faisaient plus profonds. Il était plutôt doué lui aussi. Il lui faisait ressentir énormément de choses, elles-mêmes amplifiées par le contexte dans lequel ils se trouvaient. Ses coups de reins étaient divins. Tandis qu’elle s’agrippait à son cou, il lui enlevait son haut. Il se décidait enfin à la déshabiller. Elle, ne faisait rien d’autre que de subir ses assauts. Elle n’avait pas particulièrement envie de le dénuder davantage étant donné qu’elle avait déjà tout ce dont elle avait besoin en elle. Il lui enleva son sous-vêtement et commença à lui lécher un téton et à le mordiller. Cela lui arracha un cri de douleur mais elle le poussa à continuer à l’agrippant violemment par les cheveux. En même temps, il continuait à la prendre avec de plus en plus de vigueur. Elle avait beaucoup de plaisir mais elle n’aimait pas rester dans la même position trop longtemps. Elle le repoussa donc et alla s’asseoir sur le lit de fortune lui proposant de lui mettre les menottes. Il ne tarda pas à réaliser son fantasme. Et dire qu’il s’était montré super réticent lorsqu’elle le lui avait demandé à l’extérieur du commissariat. C’était un agréable changement.

Il lui attacha les mains et la fit basculer les fesses en l’air. L’adolescente était ravie. Elle adorait être à quatre pattes. Cependant, il ne comptait pas la prendre « normalement », il avait plutôt une autre idée en tête. Elle le comprit lorsqu’elle le sentit enfoncer des doigts dans son anus. Elle n’était pas vraiment préparée mais elle avait l’habitude alors ce ne serait pas trop grave. Elle le regarda se déshabiller et se cambra lorsqu’il se rapprocha d’elle. Il la pénétra avec force. Elle aimait ça. Elle aimait encore plus l’entendre soupirer de plaisir. Les mouvements étaient un peu douloureux mais, rapidement, ils devinrent beaucoup plus supportables. Elle était terriblement excitée. Il se servait d’elle comme un objet. Il ne faisait rien d’autre que prendre son plaisir et, bizarrement, elle aimait ça. De toute façon, vu qu’elle était menottée, il pouvait prendre possession de tout son corps, elle ne pourrait pas – et ne comptait pas – l’en empêcher. Il avait l’occasion de faire tout ce qu’il voulait. Libre à lui d’en profiter. Vu qu’il ne la caressait pas, elle décida de s’en charger elle-même. Elle dirigea tant bien que mal ses mains menottées vers son intimité. Ce changement de position fit s’écraser son visage sur le lit mettant encore plus ses fesses à disposition du jeune homme. N’y prêtant pas attention, elle accéda enfin à son intimité commençant à se masturber devant lui. De temps en temps, elle insérait un doigt ou deux dans son intimité pour prendre encore plus de plaisir. Elle entendait le jeune homme gémir de plus en plus, tout comme elle. Elle sentait qu’il allait bientôt venir. Se retournant sur le dos, elle approcha ses mains liées de son membre et lui enleva son préservatif. Elle le poussa pour qu’il se remette debout. De son côté, elle reprenait sa position de tout à l’heure. A genoux. Avec avidité, elle l’aspira entre ses lèvres qui se serrèrent contre son membre. Elle lui administra des mouvements très rapides et profonds. Elle avait envie qu’il jouisse dans sa bouche.

L’espagnol venait de passer les menottes à Dolorès qui sourit de plaisir. Il la fit se basculer, à quatre pattes. Il prépara rapidement son anus à l’aide d’un de ses doigts puis fit entrer son membre en elle, donnant directement des mouvements sec et rapide. Il entendit la jeune femme gémir, mais ce n’était pas de la douleur, il y en avait probablement un peu mais il y avait surtout du plaisir. Aaron avait trente ans, il savait quand les femmes gémissaient de plaisir. S’il avait entendu trop de douleur, le flic se serait arrêter ou aurait ralentit du moins, ce n’était ni un tortionnaire ni un violeur. Aaron ne se gênait pas pour entrer profondément en elle, laissant ses testicules cogner contre les fesses de Dolorès.

Il sentit que la mexicaine changea de position, elle avait les joues coller contre le lit, sans arrêter ses mouvements Aaron regarda ce qu’elle était en train de faire. Etant donné qu’il avait décidé de ne pas stimuler son intimité, Dolorès avait dû décider de le faire elle-même. Elle frottait son intimité, se masturbait devant le policier avec un, deux doigts par moment. Cette vu sembla exciter Aaron qui sentit une nouvelle pression montée en lui. En plus, la position de la jeune femme donnait un encore meilleur accès à son derrière. Il s’ajusta et se lâcha, il attrapa la jeune femme par les hanches et il la culbutait avec force et avec envie, il avait accéléré nettement le mouvement voulant atteindre le septième ciel.

La position changea de nouveau, sans vraiment comprendre comment elle avait fait, ayant les poignets liés, elle était arrivée à se retourner pour se retrouver sur le dos. Elle enleva le préservatif de sur le sexe d’Aaron et se mit à genoux. Aaron surprit se laissa faire. De ses lèvres émana un râle quand elle reprit dans sa bouche son intimité. La jeune femme lui fit une nouvelle pipe : extrêmement rapide et profonde. Il sentait qu’il n’était plus très loin de l’explosion. Il laissa encore une minute de ses mouvements très rapides et très plaisants avant d’exploser complétement dans la Mexicaine. Il sentit tous ses muscles se contracter et son cœur s’emballer. Son membre enfla avant que sa semence ne se déverse dans sa gorge. Mon dieu, que c’était bon ce moment. Il était électrisé, sa respiration était rapide et son cœur battait la chamade. Le sexe procurait tellement de bien.