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 quelque " chose " de plus ...

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MessageSujet: quelque " chose " de plus ...   quelque " chose " de plus ... Icon_minitimeMar 3 Avr - 19:06



« tu sais que t'es étrange ?! » La demoiselle sourit après avoir laissé échapper un rire léger. «  je me demande comme j'aurais été avec un penis ! » Des gros yeux puis des rires. « confirmé ! T'es vraiment étrange ! » Large sourire au visage, elle regarde son compagnon de discution et lui fait un large sourire avant d'ajouter : « merci ! » «  mais de rien ! » Il sourit. « c'est pour ça que tu viens avec nous dans une boîte de strip ? » Ouille.elle l'avait pas vu arriver celle-là. Euh … ses neurones s’appellent les uns aux autres, mais aucune réponse ne parvient à ses lèvres pour que ce soit naturelle. « c'était ça où aller voir une comédie dégoulinante de sentiments ! » Encore des rires, c'est qu'elle amuse ce petit bout de femme.

Entourée « d'amis », « d'amis » car elle ne les connait que depuis peu, elle a appris à se sociabiliser, à être moins froide et plus libérée. Et ça lui réussit. Quatre mecs et une fille, voilà le groupe. Un groupe qui va entrer dans quelques secondes dans la fameuse boîte. Boîte où, par puuure hasard, Karen travaille. Puuure hasard ! Bien évidemment. Le garde porte hausse les sourcils en voyant la p'tite demoiselle entre les mecs. Et bien évidemment ça rate pas, l'un en profite pour sortir « tu vois cocotte ! » faisant une moue digne d'une enfant de quatre ans elle répond « ne m'appel pas cocotte ! » voulant faire le malin, il peint sur son visage un sourire amusé «  sinon quoi ? » Elle lève les yeux au ciel et soupir théâtralement. « alalalla tu me crois assez bête pour te dire ce que je pourrais te réserver ! » Seule réponse, un grognement du jeune homme et un large sourire pour la demoiselle qui estime avoir gagné ce round ? Cette discutions ?

Pendant qu'ils jouaient à qui serait le plus malin, ils sont entrés dans la boîte. Ce qui est bien c'est que la musique est forte comme il faut, c'est à dire qu'on peut toujours se parler, ne pas se chopper un mal de tête et en même temps se laisser aller en laissant la musique nous submerger. Le premier de la file parle à une serveuse qui les mènent à une table. Belle tout sourire « t'as réservé une table, bah dis donc ! » ne répond pas préférant s'installer. Sans vraiment comprendre comment, la demoiselle se retrouve au milieu. Je dois vraiment mais vraiment pas normal, ça me plais plutôt d'être là et jus encerclée de mecs ! C'est vrai, elle aime l'ambiance qui règne dans cette boîte, elle aime se dire que les femmes ont le pouvoir ici sans que les hommes s'en rendent compte. Car après tout elles se font de l'argent sur leur penchant. Et puis tout est fait pour penser à tout autre chose qu'à la vie courante.

Toujours ce sourire aux lèvres, la demoiselle discute avec ses amis, rapidement des verres arrivent. Et pas (que) du jus de pomme ! Puis un deuxième verre, des rires sans oublier l'éxitation qui commence à s’imprégner dans leur yeux. Et, cela ne devrait pas tarder à naître dans l'oeil chocolat noisette de mademoiselle William. Tapotant sur sa cuisse au rythme de la musique elle laisse son esprit s'éloigner des problèmes. Un troisième verre, toujours des rires, des blagues etc. une soirée sans prise de tête ou plutôt début de nuit sans prise de tête.

Quoi que, en grattant un peu, la demoiselle attend quelque chose ou plutôt quelqu'un. Elle L'attend. Fixant un point imaginaire elle continue d'écouter la musique ne se rendant pas compte que le jeune homme à sa gauche à poser sa main juste au-dessus de son genou, là où sa peau apparaît. Car portant une robe, plutôt courte, bien jolie avec fausses chaussures à talon home made, elle a collé des talons sur des ballerines, mais ça n'a pas de réel rapport... Il s'est rapproché, elle s'en est pas encore rendu compte. C'est des cheveux blond qui va la réveiller. Elle pense l'apercevoir, passant devant eux. Un frisson incontrôlé la traverse, un frisson qui lui plaît mais à la fois l'effraie. Pourtant elle ne décroche pas son regard d'elle et, par chance, elle est parvenue à capter son regard quelques secondes.

Inconsciemment elle se mordille la lèvre et comme pour se calmer elle sort une sucette de sa pochette. Et c'est à ce moment là qu'elle se rend compte de la proximité avec l' « ami ». un ami qui s'est encore un peu plus rapproché et qui a remonté sa main sur sa robe. il va aller jusqu'où comme ça ? Elle sent son parfum bien masculin et son souffle. comment je me sors de ça ? Faisant comme si elle n'avait rien vu, elle déballe sa sucette et commence bah... à la sucer. C'est pas ça qui va calmer celui à côté. Bien au contraire, il s'est mis à se concentrer uniquement sur elle ; elle et les vas et viens de la sucette dans sa bouche et son air siii innocent.

Soulevant légèrement sa jambe, il eut le réflexe de lever la main, elle fit un remake de … c'est quoi déjà ? Ah oui, basique instinct, avec le croisé de jambe. Toujours en suçotant et léchant sa sucette. Ah ça m'avais manqué ! son regard planté ailleurs depuis que la chevelure blonde avait disparu. Disparu, pour mieux ré-apparaître. Ce qui la réveilla c'est le retour de la main de l'autre, il traçait des petits cercles sur sa jambe maintenant. hein ? Et merde, je me sors comment d'un truc pareil ! Et c'est là qu'elle se rendit compte, qu'ELLE était sur scène. Alors l'autre lui soufflant dans le coup et sa main baladeuse passèrent au 10ème rang.

Belle l'observa et sentit une chaleur en elle et inconsciemment elle rapprocha sa main de son entre-jambe. Mais il y avait « un truc » en plus, pas juste du désir, elle savait pas comment l'exprimer mais c'était là. J'en ai marre ! Bordel !qu'est-ce que je fous là ?! LA question. Une soirée entre amis, mais au fond, sans vouloir réellement l'admettre, elle voulait la revoir mais là... là quelque chose se passait, quelque chose qu'elle ne maîtrisait pas.

Et le plus simple, n'est ce pas fuir ? Soudain, elle se leva, la main baladeuse fut surprise mais surtout le possesseur de la main. Les autres étaient ailleurs, l'un profitant de la vue de la serveuse, un autre regardant la scène, encore un autre était … bah où est-ce qu'il est d'ailleurs ? on s'enfout ! Elle se précipita, chercha un endroit tranquille. Rapidement elle trouva une salle libre qu'est-ce que... nah mais t'es con-con ! C'est un salon privé! Qu'importe, elle s'y installe, s'asseyant sur le canapé mmh confortable. Une minute plus tard, un MP3 allumé, des oreillettes dans les oreilles et de la musique. Les yeux fermés, tentant d'aller ailleurs. Quelques secondes, quelques minutes. Ce qui la « réveilla » c'est quelqu'un, quelque chose, un geste, un truc, une sensation . Alors, elle ouvre les yeux ...
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MessageSujet: Re: quelque " chose " de plus ...   quelque " chose " de plus ... Icon_minitimeMer 4 Avr - 1:01



Frottement. Des soupirs qui se perdaitent. Des baisers. Ses mains qui glissaient lentement sur le corps de l'homme. Provocation. Envie palpable. Elle était en train de faire un petit supplément en dessous de la table. Il lui avait tapé dans l'oeil. Alors qu'elle dansait, au début de la soirée, elle avait posé son regard sur lui. Un homme. Grand. Parfait. Virile. Son regard dans le sien, le courant était tout de suite passé entre eux. Ils ne leur avait pas fallu grand chose pour se retrouver dans cette chambre privé. Besoin d'assouvir ses désirs et ceux de l'homme par la même occasion. Son corps posé entre le mur. Posé entre le mur et cet homme qui laissait ses mains habiles parcourir son corps. Les siennes qui glissaient lentement le long de son ventre et qui détachait rapidement son pantalon. Sa voix dans son cou. Des mots provocants. Des mots suaves. Sa robe trop légère se relevait contre ses cuisses. Un autre bout de tissu tombait. Ses jambes qui se glissaient autour des hanches de l'homme. Frottement indécent. Envie intense. « -Prends-moi.» Elle n'avait sûrement pas besoin de lui demander deux fois. Il entrait en elle. Un soupire. Du plaisir. Ses hanches qui bougeait contre lui. Les râles. Les gémissements qui se perdaient. Un moment de plaisir. Un moment d'égarement. Son corps finissaient par se détacher du siens. Sa robe se replaçait. « -C'est l'heure pour moi. Je dois danser. Si je te manques trop tu n'as qu'à venir me voir danser.»

Une fois cela dit, la jeune femme quittait la salle. Quelques pas. Ses talons qui claquaient contre le sol. Son regard qui observait la salle trop bondée. Son regard qui se posait sur une table. Quatre mecs et une femme. Jeune femme qu'elle avait déjà croisée. Jeune femme pour qui elle avait dansé lors d'une soirée entre amis. Le courant était passé. De l'envie. De l'attirance. La jeune femme lui était bel et bien tombée dans l'oeil. Ce n'était pas le genre de femme qu'elle aimait habituellement. Elle semblait naïve et elle n'avait, clairement, jamais été attirée par une femme. Son regard se posait sur elle alors qu'elle se dirigeait vers la scène. Se changer avant de danser. C'est ce qu'elle devait faire. Leurs regards qui se croisent. Un sourire qui se pose sur le visage de la danseuse. Si elle était ici ce soir c'était sûrement pour comprendre ce qui était arrivée la soirée d'avant. Karen la quittait du regard pour monter les escaliers qui menaient vers l'arrière-scène. Vêtements sexy. Vêtements qu'elle allait retirer sur scène. C'était son travail et elle aimait rendre les gens fous. Elle amait faire monter l'envie et elle savait comment s'y prendre.

La musique commençait. La jeune femme se glissait sur la scène. Vêtements de cuir. Un fouet entre les mains. Karen était une dominatrice. Elle n'aimait pas être passive, elle aimait prendre les décisions. La musique rythmait les mouvements sneusels de son corps. Son corps qui bougeait lentement, ses hanches qui ondulaient et ses mains qui caressaient son corps de temps en temps. Un morceau de vêtement qui tombait. Son corps qui se dénudait peu à peu. Elle n'en montrait jamais trop. Elle gardait toujours sa culotte et des petits bouts de tissus qui cachait ses mamelons. Elle avait apprit que trop en montrer tuait le désir. Karen ne faisait plus cette erreure. Son regard dans celui de la jeune femme alors qu'elle dansait. Son regard qui ne quittait le siens que très rarement. Elle semblait nerveuse et la danseuse en etait amusée. À la fin de sa danse, elle bougeait. Elle quittait la table. Elle semblait s'isoler. La blonde la suivait des yeux question de savoir la destination de la petit. Un salon privé? Intéressant. Qu'est ce qu'elle pouvait bien faire là? La danseuse se dirigeait vers les coulisses question de se changer. Ses cheveux se dénouaient et une robe rouge moulant les formes sinueuses de son corps se posait contre son corps.

Karen avait bel et bien l'habitude de mettre des vêtements qui mettaient ses formes en valeurs. Surtout qu'elle allait voir la jeune femme question de le faire réagir. Elle n'allait sûrement pas se rendre dans le salon privé question de parler de la pluie et du beau temps. De hauts escarpins se posaient sans ses pieds. Clic clac. Clic clac. La blonde était à la recherche de la petite. Quelques hommes lui adressaient la parole question d'avoir un petit supplément. Ce n'est pas ce qu'elle voulait. Autre chose en tête. Autre chose à faire. Son regard se posait dans quelques salons. Elle cherchait le bon. Parfait. Voilà. La jeune femme était assise, seule, dans le fond d'un canapé. Karen aimait ces salons. Dans les teintes de rouge, des lumières tamisées, la possibilité de s'isoler et de fermer pour les curieux. C'était parfait. Juste parfait. La porte se poussait et Karen se posait tout juste devant la jeune femme. Un mouvement. Elle se penchait offrant une vue imprenable sur son decoletté. Son regard sur elle. Ses doigts qui attrapent doucement les écouteurs question de lui retirer. Pas question de parler dans le vide. « -Si je ne fais pas d'erreure, Anabelle il me semble. C'est ça?» Elle se souvenait de son nom. Elle se souvenait d'elle simplement. Elle se relevait question de se poser près d'elle. Assez près pour que la peau de sa cuisse ne vienne se poser contre celle de la demoiselle. Contact. Effleurement. Elle adorait ça. Les gestes de la jeune femme étaient lents, posés. Elle ne faisait rien pour le moment, rien autre que la regarder, rien autre que se poser un peu trop près d'elle, rien autre que la charmer et qu'être suave. Rien d'autre que d'afficher un sourire charmeur. « -Tu peux me dire qu'est-ce que tu fais toute seule dans ce salon privé. Tu attendais quelqu'un? Ou sinon tu attendais qu'une danseuse vienne te faire une danse privée? Si c'est ça, je peux m'occuper de toi.» Un murmure. Elle se penchait un peu vers elle pour parler dans le creux de son oreille. Elle se reculait aussitôt. Contact léger. Juste une provocation. Juste question de savoir qu'est-ce qu'elle faisait réellement ici. Juste question qu'elle lui avoue réellement le fond de ses pensées. Karen était calme. Sa voix était douce et emplie d'une certaine sensualité. Karen lui referait bien une autre danse privés. Elle avait aimé la façon qu'avait la jeune femme de la regarder. Elle découvrait. C'est ce qu'elle aimait voir dans ses yeux.
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MessageSujet: Re: quelque " chose " de plus ...   quelque " chose " de plus ... Icon_minitimeMer 4 Avr - 10:22

Belle comprit que ça amusé Karen, enfin c'est ce qu'elle crut. Car pendant toute la danse, du moins avant qu'elle fuit, c'est elle qui la regardait, dans les yeux. A moins que la brunette se fasse une illusion ou une obsession, au choix. Mais ça devenait de trop, elle imaginait que la main baladeuse était celle de la danseuse, elle s'imaginait dans des situations, en particulier Karen qui la dominait. Mais le véritable problème, aux yeux de la demoiselle, c'est que ça allait plus loin que du désir ou du moins c'est ce qu'elle avait l'impression de ressentir. Et ça, ça lui foutait encore plus la trouille. Alors en trouillarde, elle détala. Ou alors, inconsciemment, elle part pour que Karen la retrouve … c'est une possibilité.

Et pour éviter de trop penser, comme elle sait si bien le faire, elle s'enferma dans une bulle de musique. De la musique forte, de la musique rapide de club ou dansante, tout pour ne pas réfléchir et uniquement se préoccuper du rythme. Mais malgré ce dispositif, des images et pensées continuaient à tourner dans son esprit. Donc elle mit un cran plus fort la musique mais ça ne changea rien à part, peut être, abîmer un peu plus ses petites oreilles. Pour se détendre, elle continuait de suçoter sa sucette. Le sucre et elle c'était une grande et vieille histoire d'amour, s'en était de même pour la musique. Mais nous nous égarons.

Alors qu'elle fredonnait le refrain sa bulle se perça. Un sursaut, elle est le genre de personne à sursauter quand une porte claque, une chaise dérape, quand quelqu'un éternue et dans se cas-là quand on lui pique sa bulle. Pour voir qui a fait ça, en espérant qu'il ne s'agisse pas du propriétaire de la main baladeuse, elle ouvrit les yeux. ça tu l'as cherché ! Oui peut-être, que c'est ce qu'elle voulait, mais en tout cas elle refusait de mettre cette hypothèse comme possible.

Ce n'est pas sur le décolleté qu'elle plongea, mais dans son regard. Assez étrange venant d'elle, y avait un truc vraiment différent et ça l'énervait. où est-ce que je me suis foutue !? trèès bonnnne question Ses yeux glissèrent sur le reste de son visage et puis sur son corps. Oh ce n'est pas avec ça qu'elle allait se calmer, elle ferait-elle exprès ?!!! probable, mais pourquoi ? Simplement s'amuser sans doute. Et bah si elle voulait jouer et bien Belle allait rejoindre le jeu. Elle n'allait pas se laisser faire.

Quelques mots et un contact. Pour se calmer, elle lécha deux fois sa sucette, laissant le silence s'installer quelques secondes, l'autre main glissant dans ses cheveux avant de répondre. « oui c'est bien ça, Karen... » insistant sur le prénom. Des paroles dites avec lenteur, d'une voix basse. Ne voulait-elle pas jouer, n'est-ce pas ? A ça deuxième prise de parole, Anabelle ne peut s'empêcher de rire légèrement. comme si ça l'intéressais ? ou peut être que ça l'intéressait vraiment, mais cela n’effleura pas l'esprit de la brunette. « j'échappai à une main baladeuse. et puis, je réfléchissais, à la possibilité de me présenter comme danseuse » En partie vrai, mais pas complétement. mais elle doit bien connaître la suite puisqu'elle est venue jusque là. elle n'allait pas non plus lui donnait le plaisir de l'entendre dire c'est pour vous que je suis venue ... Nah ! Nah ! Nah !

Elle parvint à garder les apparences; bien que sentant le souffle chaud contre son oreille. Et c'est là qu'Anabelle décide d'enter à son tour dans le jeu et pas comme simple figurante. Tournant légèrement son visage contre le sien, à son tour elle s'approche de son oreille. Laissant quelques secondes son souffle heurter sa peau et faire venir sa main près de son épaule. «  et vous ? Vous êtes venues pour me faire une danse privée ? Me faire l'amour peut-être ? » Sa dernière question se fait plus traînante. Et c'est à ce moment-là qu'elle fait glisser ses doigts sur son épaule, s'arrêtant lorsque qu'ils parviennent à la bretelle rouge.

Elle a joué, à son tour, signant aussi une fin qu'elle ne pourra maîtriser. Elle joue avec le feu et peut se brûler les doigts à tout moment ! Mais on a qu'une vie ?! Et puis il ne peut rien lui arriver de grave. Quoi que … cela pourrait peut être balayer ses croyances et donner un grand coup dans sa « non-croyance » en l'amour. Parce que, au-delà du désir qui l'a tiraille et la fait trembler, elle sent ce petit quelque chose qu'elle n'a jamais connu, personne n'a créer cela en elle. Mais pour le moment elle préfère mettre sa sur le compte d'une douleur, c'est tellement plus facile !

Son souffle continue de se heurter au coup de Blondie encore quelque seconde, avant qu'il ne se retirer. Anabelle ne se décolle pas, même si elle a retiré sa main, ce serait faire gagner l'adversaire. Et il en est hors de question ! Elle qui s'est promise de s'amuser et se laisser vivre ! Autant jouer ! Elle en profite pour ranger son MP3 dans sa pochette et de continuer à lécher sa sucette, plus doucement, sa langue restant d'avantage contre le sucre. Pour mieux provoquer. Une provocation quasi inconsciente, car elle pense savourer comme avant la confiserie. Mais rien que le fait de « manger » une sucette en un pareil lieu est déjà de la provocation, non ?

Par ce moyen, elle cherche aussi à calmer son esprit. Des images d'elles l'une contre l'autres et faisant des choses où le moins de seize ans est facilement de rigueur, voir même le moins de dix-huit. C'est peut être aussi pour ça qu'elle passe plus de temps sur sa sucette : pour se calmer. Sinon, le reste de son corps semble normal, ou presque. Sa main est toujours posée sur son entre-jambe et son coeur a décidé d'aller plus vite, puis de temps à autre elle se pince les lèvres.
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MessageSujet: Re: quelque " chose " de plus ...   quelque " chose " de plus ... Icon_minitimeSam 7 Avr - 13:08



S’isoler n’était surement pas la meilleure chose à faire. S’isoler ici voulait simplement dire qu’on voulait un peu de compagnies. Karen décidait simplement de se rendre vers la demoiselle. Une envie de la voir. Une envie de voir comment la jeune femme allait se comporter maintenant. C’était évident qu’elle n’avait jamais été attirée par les femmes. Karen l’avait remarqué. D’abord la réticence et ensuite l’envie qu’elle avait pu voir dans ses yeux. Une certaine évolution au fur et à mesure que la danseuse ondulait son corps pour elle. La chaleur. Le désir. L’envie. La jeune Anabelle était en train de découvrir quelque chose qu’elle ne soupçonnait pas avec une femme. C’était étrange la première fois, de se rendre compte que le même sexe ne nous laissait pas indifférentes. Karen se souvenait encore de la sienne, mais c’était il y a bien plus longtemps.

La blonde se posait tout juste à côté de la jeune femme, laissant la chair de sa cuisse caresser la sienne. Lente. Féline. Elle observait les lèvres de la jeune femme se perdre sur la sucette. Elle lui faisait penser à une gamine perdue dans une fausse au lion. Elle ne savait pas encore à qui elle était en train de s’affronter. Sa langue elle aimerait bien la sentir ailleurs que sur cette sucette inutile. « -Eh bien. Je vois que tu te souviens bien de mon prénom.» Un sourire amusé alors qu’elle remontait lentement son regard dans le sien. Karen se demandait ce que la jeune femme voulait réellement, quoiqu’elle s’en doutait quelque peu. Karen ne pouvait empêcher un rire quand elle entendait que la jeune femme voulait devenir danseuse. Sans vouloir lui faire du mal, elle ne la voyait pas du tout exercer ce métier. Elle avait trop l’air d’un ange ou d’une gentille fille. Les danseuses ont toutes des allures de salope. Ce qui n’était pas son cas. « -Je suis désole Anabelle, mais je ne te vois pas du tout comme danseuse. T’es venu ici pour quoi? Pour fuir tes petits amis ou pour passer un peu de bon temps? Tu peux tout me dire.» Sa voix avait de nouveau baissé d’un cran. Son regard ne quittait pas celui de la jeune femme.

Karen jouait. Karen avait envie de réveiller les envies de la jeune femme. Elle avait envie de faire monter le désir dans ce petit bout de corps et lui montrer ce qu’elle avait manqué en ne se laissant pas toucher par une femme, durant les dernières années. Le visage de la jeune femme se tournait et son souffle venait se perdre sur la chair du coup de Karen. Un sourire qui se plaquait sur son visage, son minois se penchait un peu sur le côté pour laisser le souffle de la jeune femme caresser sa peau. Un léger rire alors qu’elle finissait par bouger son visage et le poser en face de celui d’Anabelle. Ses doigts se levaient pour se poser contre la main qui tenait cette fameuse sucette pour lui prendre d’entre les mains. « -Je devrais surement commencer par te montrer comment on use d’une langue sur une jeune femme comme toi.» Un sourire alors que le bout de sa langue venait lentement glisser contre la sucette. Un sourire. Sa langue jouait lentement sur le sucre alors que son regard restait directement posé dans le sien. Ses yeux la quittaient un moment pour se poser vers la porte, qu’elle n’avait pas verrouillée. « -Si tu as envie que je te fasse l’amour, dis-le clairement. Je vais me faire un plaisir de m’occuper de toi.» Sourire pervers qui se glissait contre ses lèvres alors que le bout de sa langue venait glisser contre les lèvres de la jeune femme, laissant un goût sucré sur celle-ci.

La danseuse se levait pour jeter la sucette et fermer la porte, les rideaux, question que personne ne vient s’interposer pendant qu’elle allait s’occuper d’elle. Quelques pas. Elle revenait vers la jeune femme. Ses mains se posaient doucement contre ses épaules et ses mains la poussaient pour qu’elle se retrouve le dos contre le canapé. Karen venait passer par-dessus elle, à califourchon, collant son bassin contre celui de la jeune femme. « -Ne me vouvoie pas. Je déteste ça.» Ses doigts glissaient lentement le long des bras de la demoiselle, caressant du bout des siens sa peau. Ses yeux dans les siens. Elle finit par se pencher pur venir glisser ses lèvres pulpeuses contre sa mâchoire. Baiser lent. Baiser langoureux qu’elle posait contre sa peau. Le chemin qu’elle faisait se dirigeait lentement vers les lèvres de la demoiselle. Un baiser. Un autre. Son visage maintenant en face du sien, sa main quittait son bras pour se poser contre son ventre et remonter lentement vers ses côtes. Ses doigts caressaient son corps à travers le tissu. Ses lèves qui effleuraient lentement les siennes. Un souffle. Un murmure. « -T’es certaine que tu as envie de te trouver là, Anabelle. Parce que si tu me laisses continuer, je ne risque pas de m’arrêter.» Karen ne voulait pas que la jeune femme ne soit pas consente. Rien d’agréable à caresser une femme qui n’en avait pas réellement envie. Elle aimait entendre les gémissements. Sentir les corps se cambrer de plaisir sous les caresses qu’elle procurait. Pas question que la jeune femme ne veuille pas, si c’était le cas, Karen allait simplement la laisser en paix.

Ses hanches se pressaient lentement à celle de la jeune femme. Ondulant doucement. Frottement indécent. Son bassin se frottait contre le sien, alors que la pointe de sa langue venait de nouveau taquiner les lèvres de la petite. Le bout de ses doigts venait lentement effleurer un de ses seins pour remonter vers son cou et passer derrière sa nuque. Après la légère approbation de la jeune femme, elle venait presser ses lèvres contre les siennes. Sa langue venait glisser entre ses lèvres pour venir jouer avec celle d’Anabelle. Ses hanches continuaient d’onduler contre le bassin de la jeune femme, créant un frottement agréable, faisant monter la chaleur dans le corps de la jeune femme qui se trouvait sou elle.
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MessageSujet: Re: quelque " chose " de plus ...   quelque " chose " de plus ... Icon_minitimeLun 9 Avr - 17:24

Ne dit-on pas, il faut se méfier des apparences ? Anabelle avec cet air innocent, d'ange, de petite chose inoffensive et si gentiiiille. Mais de temps à autre, quand elle le décide, elle égratine elle-même cette image allant parfois à la briser. S'amusant des regards éberlués qui se pose sur elle. Alors, oui elle n'avait pas l'air comme ça d'une strip-teaseuse mais … mais elle pourrait peut être s'en sortir. A cette pensée, un petit sourire en coin naquit. Pensant au pouvoir qu'elle aurait sur les mecs. Sentant ce que les autres filles du club sentent. Et puis ça apporte de l'argent, un paquet d'argent, ou du moins c'est ce qui se dit. Mais est-elle prête à passer le cap ? Ça c'est une autre histoire. Mais rien qu'une fois, il est certain, qu'elle se laisserait tenter. Rien que pour essayer. Une petite danse. Certes de retour sur terre, elle rougirait et se demanderait ce qui l'a pris. Mais en même temps elle se sentirait tellement plus forte et libre. Bref, c'est à mettre sur la liste des choses à faire.
 « il faut se méfier des apparences. Et ne dit on pas non plus que les plus sages sont les plus féroces, les plus … sauvages. »
Son sourire s'étend encore un peu.

Un rire amer retentit, elle n'a pu le retenir. C'est dû au « tu peux tout me dire ». Même si elle se comporte de manière assez libre, sa conscience est toujours en partie là. Cette phrase la ramène un instant à la réalité. il faudrait p'têtre que j'y retourne d'ailleurs.. avant qu'ils s’inquiètent! Avant qu'ils s’inquiètent ou avant que quelque chose ne se passe ? Trop tard elle s'est relancée dans le jeu, elle s'y est plongée, a foncé quitte à se cogner contre un mur quand la réalité la rappellera. La bulle s'est à nouveau refermée, il n'y a plus qu'elles. Belle oubli que ses amis attendent de l'autre côté, elle oubli qu'elle a besoin d'argent rapidement, elle oubli … c'est l'expression adéquate. Elle oubli pour mieux se concentrer sur Karen, pour mieux profiter de ce que la vie peut lui apporter.

Et bien évidemment son envie de sucré. Cette sucette qui la détendait quelques instants plus tôt va la tendre au sens du désir qui va croître en elle. Se désir qu'elle ne parvient pas à ré-freiner et à manipuler de tel sorte qu'il devienne contrôlable mais surtout qu'il ne lui échappe pas. Et à force de jouer elle est en trin de se perdre. Mais après tout, elle ne risque rien de grave, dans le sens où elle ne va pas se faire tabasser parce qu'elle a des dettes de jeux, elle ne va pas se faire engueuler pendant des heures parce qu'elle est arrivée après le couvre feu. Tout ce qu'elle risque c'est de découvrir une autre partie des mots désirs et plaisirs. On lui propose un voyage en première classe dans le pays de la luxure, sans rien lui demander en échange. Et juste le contact de sa lange lui promettait un beau voyage, un voyage peut être inoubliable.

Mais voilà... la réalité la rappel. Un tremblement. Un foutu tremblement. Pas de désir. Pas de plaisir. Nah ! Un tremblement qui la ramène à sa réalité. Une petite manifestation de son cerveau lui rappellent ce qu'elle est. Elle serre les dents, légèrement, mais on voit quand même sa machoir se contracter à travers sa peau. Pour le calmer, elle pose sa main à plat contre sa cuisse, exerçant une pression sur celle-ci. Dans ses cas-là il vaut mieux se masser la main, mais ça paraîtrait trop suspect, trop étrange. Et au pire, se dit-elle, si ELLE s'en rend compte, alors elle dira qu'elle a eu froid ou que ce n'est rien, ça lui arrive ou encore, pour être dans le jeu et à la fois le sarcasme «  que c'est elle qui lui fait cet effet ! ». mais ce tremblement ne fait pas que se manifester physiquement, cela monopolise, quelques secondes, son esprit. Et en un éclair elle décide ce qu'il faut faire. Ce qu'elle s'est déjà promis : se laisser aller tant qu'elle le peut. Et malgré cette décision, une partie d'elle reste en retrait comme en désaccord, signalant de sa petite voix qu'il y a danger. Un danger d'attachement. Mais une autre voix ricane, prétéxant de sa voix forte qu'elle ne la connait à peine et qu'on ne peut pas s'attacher comme ça. Mais peut-être est-ce le cas, seul l'avenir le dira.

Mais c'est trop tard. La « magie » est rompue. Sa conscience est revenue et elle sait que le mieux à faire c'est de partir. Parce que ce qu'on lui propose c'est l'inconnu et que l'inconnu c'est dangereux, que ça peut mal finir. Alors une seule chose à faire: faire semblant pour parvenir à s'enfuir, encore une fois. Et alors qu'elle réfléchit à comment se sortir de cette situation, Karen revient vers elle. Comme si « quelque chose » voulait absolument qu'elle reste pour le voyage. Non ! Anabelle, mauvaise idée, trouve un truc ... Elle se laisse faire, autant en profiter un peu et puis ça lui permettra de partir comme si cela faisait partit de son plan. Laisser en plant Karen avec le désir qu'elle avait réveillé. Mais elle-même, que ferait-elle de son désir ? Orf, elle improvisera.


Un désir qui faillit lui faire perdre la raison. Des sensations la parcouraient, le plaisir, la chaleur et en même temps cette peur lui tordant le vendre. C'était agréable, inconnu, intrigant. Enroulant une main autour de son coup elle entortille une mèche blonde entre son doigt, de son autre main, du bout d'un doigt, avec son ongle, elle trace de petites lignes sur son épaule, se heurtant à un petit bout de tissu, elle décide de le faire glisser. Mais pour le moment, elle est toujours bloquée. Alors son doigt fait le chemin inverse et arrive en haut de son épaule, il glisse jusqu'à sa main pour faire un saut jusqu'à sa cuisse. Là, elle fait de petits cercles, lents. Et là, tout est une question de rapidité. Le baiser est rompu, elle la regarde quelques secondes, lui offre un sourire coquin. Sa main glisse à l'intérieur de la cuisse de Karen et doucement l'écarte. Et d'une rapidité assez surprenante, comme si c'était un instant de survie, elle se lève. Pour continuer de faire croire au jeu, qu'elle a tout sous contrôle, elle conserve son petit sourire. Elle prend la position de Karen, se frotte légèrement contre elle. Mais cela s'avère une mauvaise idée car cela l'excite aussi. Alors il faut partir maintenant. Une main contre son coup, les yeux dans les yeux, d'une voix feutrée et charmeuse :
« n'est-ce pas meilleur quand on attend ? »
Jouant avec son accent français, ça lui donne un charme supplémentaire.

Doucement elle se retire, alors qu'elle aimerait prendre les jambes à son coup, mais il faut conserver les apparences. Alors elle laisse échapper de sa bouche, d'une voix basse et sensuelle
« bonne soirée... »
En Français et elle détalle, les rideaux poussés, la porte dévérouillée tout cela en un temps record ou du moins assez rapidement pour ne pas se faire coincer. Une fois sortit, il lui faut quand même s'arrêter, quelques secondes, pour remettre ses neurones en place. Et sentir ce feu qui s'est allumé en elle, ce feu qu'elle a volontairement enrichit.

Malgré cela, elle comprend qu'il vaut mieux rapidement retourner dans la salle commune, on ne sait jamais. Et comme si rien ne s'était passé, elle retourne à la table. Enfin presque rien, quelque chose à changer dans son regard, impossible à décrire, mais cela a changé. Elle se laisse tomber sur son siège qui est en fait un long canapé. Se rendant alors compte qu'il ne reste plus que main baladeuse. Ce dernier lui offre un large sourire, en échange, elle lui offre un air intérrogateur.
« ils sont partis pour un show privé. Ça va ? »
Elle acquisse, s'abstenant de demander pourquoi il n'y est pas allé. A sa question il n'aura qu'un murmure: un petit oui.

Ce foutu feu continu de la mordiller, de la brûler de l'intérieur. Alors, sans réellement réfléchir, elle s'approche de l'ami et d'un regard lui signifie qu'il aura ce qu'il veut. Ses yeux à lui pétilles et sans qu'on lui demande deux fois il s'approche d'elle et commence à l'emnbrasser dans le coup. Telle une poupée, elle se laisse faire. Ce n'est pas désagréable mais ça n'a rien à voir par rapport aux caresses passées. A cette constation elle ferme les yeux et à nouveau se rejoue la scène. Ce qui la réveille c'est une main dans son dos.

Quelques minutes plus tard, les amis ne sont toujours pas revenus. Et il se fait de plus en plus insistant et s'en sans rendre compte, Anabelle se retrouve debout à le suivre. Un endroit plus calme, c'est ce qu'il veut apparament. Pas difficile à trouver, ce qui sera plus difficile c'est de calmer ses ardeurs à lui. Tu t'es foutue dans un truc ! Bon, en même temps c'est plutôt agréable. Cette fois, elle décide de s'investir, pour se vider de ce désir qui la brûle et la gêne tant. Que faire ?

Et à nouveau elle se réveille, il faut qu'elle parte, vite. Fuir, encore, mais ne serait-ce pas trop tard ?
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MessageSujet: Re: quelque " chose " de plus ...   quelque " chose " de plus ... Icon_minitimeDim 22 Avr - 0:58



C’était facile de savoir qu’Anabelle n’était pas de la trempe de la blonde. Anna n’avait rien d’une sainte et disons qu’elle avait tout tenté ce qu’elle avait à tenter. Des hommes, elle en avait vu et des femmes aussi. Ce qui n’était pas le cas de la jeune femme qui semblait se donner un air assuré. Elles faisaient tout ça. Ce n’est pas la première fois qu’elle tombait sur une jeune femme qui se découvrait une attirance pour le même sexe. Ça n’avait rien de grave, de mal, c’est le genre de chose qu’on ne contrôlait pas. Son comportement la faisait penser à une enfant qui découvre la vie et qui se donne un peu trop d’assurance. La phrase qu’elle venait de dire eut le don de faire passer un sourire sur les lèvres de la demoiselle. « -C’est le genre de phrase clichée qu’un tas de femmes disent quand elle son mal à l’aise. Ne joue pas à ça avec moi. Je sais parfaitement que tu n’es pas dans ton élément.» Karen avait raison. Il ne lui fallait pas grand-chose pour se rendre compte que la petite n’était pas à cent pour cent à l’aise avec cette situation. Elle jouait avec elle, elle la provoquait, mais Karen n’allait pas y allez par quatre chemins. La blonde savait parfaitement ce dont elle avait envie et elle n’allait pas ménager la jolie demoiselle qui semblait partante pour partager un moment avec elle. Anna ne se ferait pas prier pour agir. Elle ne se ferait pas prier pour abuser du corps encore vierge du passage d’une femme d’Anabelle.

La porte se fermait et son corps venait prendre place par-dessus celui de la demoiselle. Un peu tendue, elle tentait de calmer les anxiétés de la jeune femme en roulant les hanches par-dessus elle. Leurs corps se frottaient lascivement. Ses lèvres étaient venues prendre possession de celle de la jeune femme pour jouer dans un baiser tentateur et provocant. L’hésitation pouvait se faire sentir. Ce moment où elle allait arrêter de penser n’était pas encore présent. C’était évident que la jeune femme ne se sentait pas dans son élément malgré la grande expertise de la blonde. Ses doigts devenaient de plus en plus indécents, frôlant les seins de la demoiselle pendant un court instant jusqu’à ce qu’elle bouge pour se retrouver en face d’elle. La jeune femme se retrouve par-dessus elle, ses doits vont se poser contre ses hanches alors que la jeune femme commence des mouvements de hanches contre elle. Sourire amusé sur ses lèvres. Elle la quitte. Tente de garder la face devant elle, mais Karen se rend compte qu’elle est quelque peu nerveuse de la situation. Si seulement, elle laissait faire la danseuse. Elle n’aurait même pas besoin de se poser la moindre question et elle pourrait juste profiter de ce qu’elle était en train de ressentir. La jeune femme était debout et Anna bougeait pour s’asseoir sur le bord du canapé. « -Je ne pense pas. C’est toujours bon. Que ce soit maintenant ou dans quelques mois. Je risque juste de ne pas avoir envie de te courir après.»

Karen n’avait pas l’habitude d’y allez de main morte dans ce qu’elle était en train de dire. En aucun cas, elle n’allait la forcer à faire quoique ce soit avec elle. Si elle n’avait pas envie de coucher avec la danseuse, tant pis, elle n’allait pas la forcer. Juste qu’elle n’allait pas lui courir après pour avoir du sexe ou quoique ce soit d’autre. C’était loin d’être son genre d’agir de la sorte. Aucune envie d’être le petit toutou de qui que ce soit. Son regard restait sur la jeune femme qui se dirigeait vers la porte d’un pas faussement assuré. Un soupire qui passait entre ses lèvres. Elle jouait à un jeu dangereux. Elle l’allumait pour mieux partir, ce qui ne faisait pas plaisir à Anna. La porte ouverte, elle observait les gens qui défilaient devant la pièce. Envie de baiser qui lui broyait les reins, elle se levait pour quitter de la salle avant de se taper le premier qui allait entrer ici. Envie de sexe avec une femme, ce n’est surement pas ici qu’elle allait trouver ce dont allait avait envie. Sous le claquement de ses talons, elle observait autour. Anabelle n’était plus là. Dommage qu’elle soit partie aussi rapidement, elle n’aurait pas le plaisir de la faire changer d’avis. Karen se dirigeait vers le bar question de se commander quelque chose. Un shooter. Elle se l’enfilait rapidement et allait vers les loges pour enfiler son manteau. Il fallait qu’elle fasse quelque chose. Qu’elle se défoule. Pas question qu’elle reste ici à attendre la venue d’une personne intéressante. Elle connaissait pas mal de monde qui allait faire l’affaire. La jeune femme se levait pour se diriger vers la sortie. Le bar allait bientôt fermer ses portes de tout façon.

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MessageSujet: Re: quelque " chose " de plus ...   quelque " chose " de plus ... Icon_minitimeLun 23 Avr - 16:13

Regret. Un petit mot, cinq lettres. Définitions, d'après wikipedia "Le fait d'éprouver un regret revient au fait que l'ont éprouve une certaine sensation de culpabilité et de tortures psychologiques. Avoir un regret se résume à se sentir coupable d'avoir agit d'une façon non désirable après de longues interrogations morales.", par encyclopedia regret, nom masculin Sens Peine causée par l'absence de quelque chose ou de quelqu'un, ou de ne pas avoir fait quelque chose. Ex Je regrette de ne pas y être allé."même d'après Larousse. Pour Raymon Laterjet "le regret est une seconde erreur" quant à Marcel Proust "le regret est un amplificateur du désir." Cette dernière analyse est adéquate pour la situation actuelle. Le problème c'est qu'Anabelle a toute une pille de regret, même plus, ça pourrait peut être remplir une grande maison ou autre. Des regrets à propos de petites et de grandes choses où l'importance varie selon les situations. Mais la demoiselle s'est, en quelque sorte, promis qu'elle ferait ce qu'elle veut le peu de temps que veut bien encore lui donner la vie. Une promesse, tout comme le regret, elle n'est pas seule, au long de sa courte vie elle se promit un grand nombre de choses et la plupart du temps ne parvint à les atteindre. Depuis que la maladie l'a fortement affaibli, elle est tout de même parvenue a réaliser certaines de ses promesses.

Dans ce cas, et comme dans nombreux, c'est la peur qui lui a rendu impossible de tenir cette promesse. Le désir ne manque pas, elle aimerait pouvoir s'avader contre le corps de Karen, elle aimerait pouvoir partager un moment puissant avec elle peut-être même un moment magique. Mais la chute lui parait trop grande. La peur lui nouant l'estomac, la peur mental dû à une barrière. Pas de rebutement, de dégoût, de la peur "seulement". La peur de l'inconnu et aussi d'autre chose qu'elle n'arrive pas à définir. Et quoi de mieux que fuir. Fuir pour mieux tomber. Laissant un "tant pis" échapper avant de partir. Mais au fond ce tant pis est assez faux.

Elle se doute que, peut être Karen a compris et elle s'énerve d'avantage, parce qu'Anabelle était déjà énervée. Énervée contre elle-même de ne pas être capable de profiter du moment et de ce plaisir que la vie lui propose. Mais la jeune femme a appris à vivre avec cette énervement, dès son enfance elle était très régulièrement en colère contre elle même. C'est aussi pour ça qu'aucun sourire n'est réellement réapparu quand elle est revenue auprès du jeune homme. Trop en colère et à la fois emplie de désir, ce qui nourrit encore plus sa colère : un cercle vicieux. Alimentant cette colère en suivant le jeune homme. Mais en même temps elle ressent le besoin de déverser son désir, de ce débarrasser de ce désir qui prend de plus en plus de place ce qui, bien évidemment, la met encore plus en colère. Et ça l'énerve, etc.

Sans vraiment comprendre comment Anabelle se retrouve donc collée au jeune homme et a partager des baisers et caresses. Mais ce n'est pas aussi agréable qu'auparavant et puis elle comprend que ce n'est pas une bonne idée. Vraiment pas une bonne idée. Le problème qui se pose c'est comment s'en sortir. S'en sortir sans que ça finisse mal. Le connaissant un peu, elle pense qu'il ne va pas s'énerver beaucoup et qu'il ne sera pas violent, enfin c'est ce qu'elle pense. Pour être certaine, elle fait un test, sans prévenir elle s'écarte de lui, mettant quelques même beaucoup de centimètres entre eux, beaucoup par rapport à la seconde précédente où aucun centimètre ne venait les séparer. Sa réaction est rapide, il fronce les sourcils et de l’incompréhension se peint sur son visage. Mais au lieu de lui demander ce qui se passe, il lui attrape le bras et la recolle à lui. Ce geste l’inquiète un peu, mais elle préfère se dire que c'est juste parce qu'il pense qu'elle a fait un faux mouvement. Mais on fait pas de faux mouvement en faisant plusieurs pas en arrière; Une seconde constatation l'inquiète aussi, les baisers sont plus appuyés. Une petite alarme se déclenche dans sa tête. Il faut mettre fin à ça tout de suite. Alors, pour la seconde fois elle se recule, moins qu'auparavant. je ... je désolée .... je me sens pas bien.

Etonné et, peut-être, un brin septique. c''esst pas toi, c'esst moi je suis vraiment désolée mais je me sens pas bien. Et c'est bien le cas, pendant ces quelques minutes de baisers et de caresses, elle a sentit plusieurs tremblements et ses yeux lui font mal. Il se radoucit, rassurée oh oui elle l'est ! Alors elle arbore un petit sourire aux coins des lèvres.Un sourire d'excuse. je veux pas gâcher d'avantage ta et votre soirée. je vais allé prendre l'air et rentrer, vous occupez pas de moi. je peux pas te laisser partir toute seule ! fais marcher tes méninges, allez !!! je prendrai un taxi. y a des taxis ici ? si t'es vraiment sûre je te laisse... Il lui caresse le bras, tendrement, pour réponse elle acquisse. oui je suis certaine, je vais rester un peu ici et puis je partirai. merci pour ta compréhension, je suis vraiment désolée ! Il lui offre un sourire et s'approche pour remettre une mèche derrière son oreille alors bonne nuit, Belle ! Cette réponse la fait sourire. Sa peur de lui c'est envolé, il ne lui a pas fait de mal ni l'a contraint. Il hésite mais finit par partir. Quant à elle, comme dit, elle reste, s'asseyant sur l'un des canapé, au passage elle ramasse sa pochette. Des soupirs, des mains dans les cheveux et sur le visage. De sa pochette elle sort deux comprimés qu'elle avale, pas d'eau c'est pas super mais elle n'en a pas sous la main.

Encore quelques secondes puis elle quitte la pièce, ne voulant pas déranger les possibles visiteurs de ce salon. Se faufilant dans la boîte, elle récupère sa veste à l’accueil et enfin sort. de l'air ! A quelques pas un banc semble l'attendre, elle ne fait pas prier, Sa pochette contre son bras, elle enfouit ses mains dans les poches de son trench. Les yeux clos elle profite de l'air, la petite fraîcheur du soir, elle aime cette sensation. Ses cheveux voltiges, un sourire orne son visage. Sa va mieux mais elle reste les yeux fermés pour profiter encore un peu de ce moment.

[size=10] au début je voulais, une fois sortie, qu'elle parle à Karen qui serait à son tour sortit, mais je me suis dite après coup que tu préférais écrire la suite ...
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MessageSujet: Re: quelque " chose " de plus ...   quelque " chose " de plus ... Icon_minitimeLun 30 Avr - 2:37



Karen n’avait pas la moindre envie de passer le reste de sa soirée dans la boîte. La blonde était le genre de personne qui n’aimait pas réellement se faire dire non, qui n’aimait pas qu’on la repousse et c’est ce que la petite venait de faire. Allumer et partir. Un peu agacée, la demoiselle sortait pour prendre ses choses. Rares étaient les fois qu’on lui faisait des vents, cela arrivait jamais même. Pas question de rester ici à attendre que la demoiselle revienne. Karen n’aime pas courir après les gens, elle n’aime pas attendre et niveau sexualité, disons qu’elle sait ce qu’elle veut et si elle ne l’a pas, elle ne va pas insister. Anabelle avait joué avec elle. D’une certaine façon, ça n’avait rien d’aisé d’apprendre qu’on avait une attirance pour une personne du même sexe. Karen se doutait de comment elle se sentait, mais elle n’avait pas envie de lui forcer la main. C’est pour cette raison qu’elle avait décidé de s’éclipser simplement. Elle passait entre les gens, décidant que sa soirée devait se terminer maintenant. Pas question de la passer à danser, pourquoi pas rejoindre un amant ou une amante, question de bien terminer a soirée? Cette option lui faisait bien envie.

Son manteau se posait sur ses épaules et elle attrapait son téléphone entre ses doigts, cherchant la personne avec qui elle allait passer le reste de la soirée. Pas facile à dire. La blonde marchait instinctivement vers la sortie, faisant défiler la liste de contact sous ses yeux. Un soupire passant ses lèvres. Elle ne savait pas du tout ce dont elle avait envie. Fumer un joint, sniffer une ligne de poudre, baiser hard ou s’étendre dans le canapé et ne rien foutre. La porte se poussait, laissant le vent venant lui percuter le visage. Elle aimait Tijuana pour ses nuits chaudes et le fait qu’elle pouvait aisément se balade a n’import quelle heure de la nuit sans craindre de mourir de froid. Quelques pas. Le claquement de ses talons. Son portable qui se range dans la poche de son manteau et son regard qui se lève devant pour se poser sur, elle. Anabelle. Elle était encore là. La jeune femme ne pouvait empêcher un sourire de passer sur ses lèvres. Qu’est-ce qu’elle faisait encore là? Karen aurait pensé qu’elle aurait pris rapidement la fuite et rentrée chez elle. Peu importe. Ses mains se glissaient dans le fond de ses poches alors que la demoiselle faisait quelques pas pour se poser tout juste devant elle. Une autre approche. Elle n’allait pas lui sauter dessus, ni se mettre à la séduire comme elle avait pu le faire toute à l’heure. Karen ne savait pas encore ce qu’elle voulait faire, dire. Elle n’avait pas l’habitude de changer de comportement pour en adopter un plus neutre. Un autre que je te drague et on baise. Elle laissait son regard se poser une nouvelle fois dans celui de la jeune femme. Sourire en coin sur ses lèvres, elle ne bougeait pas. « -Qu’est-ce que tu fais encore là? Tu attends quelqu’un? Tu ne devrais pas rester comme ça à cette heure, c’est dangereux.»

Si elle s’inquiétait pour la petite? Surement pas. Peut-être. On s’en fou. Tijuana n’était pas la ville la plus neutre. Il se passait un tas de choses, surtout quand la nuit était aussi sombre. En fait, toutes les nuits étaient mouvementées. Karen ne savait pas exactement comment elle avait envie de se comporter avec elle. Être gentille, recommencer le jeu, la laisse là et vaquer à ses occupations? « -Tu veux que je te ramène chez toi? J’ai mas voiture.» Une preuve de bonté. En effet. Elle n’allait pas non plus la laisser là toute seule, elle n’en avait pas la moindre envie. Ce n’était pas une façon de l’attirer dans ses filets, c’était simplement une offre qu’elle lui faisait comme ça. Karen avait ses bons côtés, comme tout le monde. Elle était juste une perverse qui tentait de profiter de la vie autant que possible. Qu’est-ce que ça avait de mal. Elle lui tendait la main, elle n’avait pas non plus envie de passer tout le reste de la soirée à attendre qu’elle prenne une décision. La jeune femme ne semblait pas avoir de voiture, alors autant faire une bonne action non. « -Viens.» Ce n’était plus une option maintenant. Elle ne lui offrait plus réellement le choix de venir avec elle. La blonde attrapait sa main pour l’aider à se lever et une fois cela fait, elle se mettait en marche pour se diriger vers sa voiture. Elle ne lui en voulait pas de la repousser, elle n’aimait juste pas qu’on joue avec elle. Ce qu’elle avait fait en quelque sorte. Les deux femmes se dirigeaient vers la voiture de la danseuse, simple, banale, noire. Elle ouvrait les portes, question de prendre place et une fois la jeune femme entrée, elle posait son regard sur elle. « -Tu vis où? Et non, ce n’est pas un moyen de savoir où est ta maison.» Un sourire calme se posait sur ses lèvres.
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MessageSujet: Re: quelque " chose " de plus ...   quelque " chose " de plus ... Icon_minitimeVen 4 Mai - 20:08



La machine était relancée. La montreuse machine. Elle était repartie. Repartie se perdre dans ses pensées. Tentant d’y échapper elle ne cessait de les entendre en arrière plant. Chantonner, penser à quelque chose de joyeux n’y faisait rien. La machine à penser était réactivée, mais pas la machine à penser courantes, à penser joyeux ; non ç’aurait été trop facile. A la place c’était une machine qui ne cessait de la faire se remettre en question. Une machine qui la menait à se sentir encore plus mal. Encore plus en colère, encore plus seule, encore plus coupable. Et ça l’énervait, et elle était énervée d’être énervée : un cercle vicieux. Cercle dans lequel elle s’est perdue, bien trop de fois.

L’air frais lui a simplement permis de se sentir moins étouffée. Elle se sent plus légère. Mais la machine ne se tait pas. Et alors qu’une nouvelle vague de pensées étranges et complexes commence à apparaitre, la vie lui donne l’oportunité de s’appaiser un peu plus. Karen. Peut être, qu’inconsciemment, Anabelle est restée dehors à l’attendre. Ou peut être est-ce juste une coïncidence. Mais qu’importe, c’est là et c’est ce qui compte.

La remarque sur la dangereusité de la nuit la fait sourire en coin. « je sais me défendre » oh oui ! passer du temps à taper dans un sac de box ne lui aura pas servit uniquement de défouloir. Sa voix est étrange, comme s’il s’agissait d’une réponse autamatique, comme si elle n’était plus complètement là. Comme si elle était vide, comme si elle n’avait rien à perdre à se balader dans le noir de la ville malgré toutes les dangereuses et mauvaises choses qui se passent.

La suite ne fait que renforcer cette impression d’absence. Son regard vide. Et elle s’est laissée faire, juste un contact. Deux mains. Et comme une poupée elle avance. Le contact se rond et c’est comme un reveil, un réveil brusque. Un léger mouvement de tête comme si elle voulait se débarasser de quelque chose. Sans aucun mot elle prend place sur le siège. Mais à peine a-t-elle le temps de s’installer qu’une question se pose. Une question logique dans ce cas. Une question qui fait naître sur son visage un sourire en coin, un sourire triste.

« je ne sais pas où je vais. Je vis dans un hôtel et j’ai pas envie d’y retourner. J’ai pas envie de finir une fois de plus seule pour la nuit… » Sa voix est triste, elle avait posé son regard devant elle mais elle baisse la tête, comme si elle venait de dire quelque chose dont elle a honte. Quelques secondes se passent, deux parties en elles se battent pour lui dicter un comportement. L’une est froide et lui dit qu’il vaut mieux partir ou bien lui donner une adresse. Quant à l’autre, elle lui dit d’en profiter et de ne pas passer la nuit toute seule.

« on ne doit pas te dire non souvent ! » elle a relevé la tête et s’est remise à fixer un point imaginaire devant elle. « je… je voudrais juste pas finir seule cette nuit… » sa voix s’est légèrement cassé et denouveau elle baisse la tête. Ça peut paraitre un rien d’admettre/demander cela, mais pour Anabelle c’est beaucoup. C’est, en un sens, demander de l’aide à quelqu’un, alors rapidemment elle ajoute « mais tu dois avoir mieux à faire… » mais mieux à faire que quoi ? d’accord elle ne veut pas finir seule, mais alors qu’est-ce qu’elle veut faire avac Karen ? sans doute discutait un peu et/ou regarder un bout de film avant de dormir avec elle.
c'est pas folichon ...
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