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| Let the rain wash away all the pain of yesterday [Wayne] | |
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Anna D. Floydadmin • dirty bitch, sexy slut, hot whore
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| Sujet: Let the rain wash away all the pain of yesterday [Wayne] Sam 5 Mai - 22:40 | |
| Let the rain wash away all the pain of yesterdayPour la première fois depuis longtemps, la chance avait souri à Ally. Côté argent, le montant de ses dettes s’était considérablement amoindri grâce au don généreux d’un gros client. Côté affectif, elle avait été invitée chez Wayne assez régulièrement afin de lui offrir quelques danses privées dont elle avait le secret. Danses qui finissaient presque toujours dans ses draps. Même si une part d’elle refusait de l’admettre, elle avait fini par s’attacher à lui. Elle commençait à ressentir les prémisses de sentiments à son égard. Cette situation amenait par ailleurs une agréable dose de complexité dans sa vie. Incomparable aux grandes difficultés qu’elle avait rencontrées lorsqu’elle avait failli perdre son appartement, ces sentiments ambigus la faisaient simplement se sentir vivante. Elle se prenait à aspirer avec envie aux moments où il l’inviterait de nouveau chez lui. Elle avait de nouveau un but autre que de rembourser ses dettes. Elle vivait enfin un peu à côté de son travail. Wayne avait réussi, en très peu de temps, à la rendre dingue de ses yeux clairs et charmeurs. Lorsqu’elle le voyait, elle avait sans cesse une boule au ventre. Plus le temps passait, plus elle tombait amoureuse de lui. Cependant, même si elle avait du mal à gérer ses émotions à son égard, elle continuait à travailler dans son club de strip-tease. Après tout, son rôle était de lui faire gagner de l’argent et elle ne comptait pas le décevoir. Elle voulait qu’il soit fier d’elle. D’une certaine manière, son charisme l’impressionnait. Elle ne voulait rien faire qui aurait pu le mécontenter. D’autant plus, qu’entre parenthèses, elle avait toujours besoin d’une coquette somme d’argent afin de rembourser le reste de ses dettes. Le montant n’était plus aussi astronomique qu’auparavant mais il contenait toujours une ribambelle de zéros. Bref, pour la première fois depuis des années, aucune ombre à l’horizon pour noircir ce tableau presque parfait. Du moins, c’est ce dont elle avait été persuadée, jusqu’au jour où tout bascula.
L’on dit toujours que toutes les bonnes choses ont une fin. C’est vrai, sauf que celle-ci fut particulièrement brutale. Ce soir-là, comme tous les autres soirs, Ally était au boulot. Elle avait fini son show et passait donc entre les tables histoire de parler aux clients et, si possible, récolter un pourboire. Une soirée plutôt ordinaire en somme. Sauf, que tout à coup, un homme vint l’aborder avec brutalité. Elle le connaissait de vue : un ami flic de Wayne ; elle n’en savait pas plus. Il la pria de le rejoindre dehors. Inquiète de se faire arrêter à cause des petits extras qu’elle faisait parfois payer, elle refusa. Mécontent qu’on lui résiste, il ne lui laissa pas le choix et la traîna dehors. Lorsqu’elle comprit ce qui se passait, il était déjà trop tard. Il était plus fort qu’elle, elle ne pouvait plus rien faire. Sans cérémonie, il la plaqua contre le capot de sa voiture et souleva sa jupe. Ses intentions étaient claires. Dans un dernier espoir, Ally cria de toutes ses forces. Personne ne vint l’aider. Elle était seule. Sans un mot, elle subit le traitement qu’il avait décidé de lui réserver. L’expérience la plus humiliante de toute sa vie. Même si elle s’était toujours faite payer pour avoir des rapports, cette fois, c’était différent. Elle avait souffert autant physiquement que moralement. Cet homme était un monstre. D’un coup, les sentiments qu’elle avait ressentis pour Wayne s’étaient envolés. Comment pouvait-il être ami avec un mec comme lui ? Elle ne voulait aucune explication, simplement rester seule à pleurer et réfléchir. Ce qui était sûr, c’est qu’elle ne retournerait jamais travailler pour lui. C’était hors de question. Il fallait qu’elle trouve un autre boulot, dans une autre ville. Elle ne voulait plus risquer de recroiser Gabriel par hasard. Surtout qu’il lui avait clairement laissé comprendre que, la prochaine fois qu’ils se verraient, il lui arriverait la même chose. Tijuana, c’était fini pour elle.
Après deux semaines sans donner de nouvelles à personne, à rester cloîtrer chez elle, la blonde décida qu’il était temps de bouger. Il fallait qu’elle reprenne sa vie en main tout en évitant les hommes au maximum. Ils la dégoûtaient tous sans exception. Même Wayne. Maintenant, elle se sentait simplement stupide d’avoir eu des sentiments pour lui. Indirectement, elle l’associait à ce qui lui été arrivé. Elle ne voulait plus le revoir. Encore fragile moralement, elle décida pourtant de sortir. Il faisait nuit noire. Elle avait peur. Rapidement, elle prit sa voiture et roula en direction du club. Elle ne voulait pas revenir y travailler, simplement reprendre ses affaires. A cette heure, il ne devait plus y avoir personne à part la personne chargée de nettoyer et de faire la fermeture. C’était le moment idéal. Elle se gara devant le bâtiment et entra sans se faire remarquer. Elle marcha doucement en direction des vestiaires. L’endroit était désert. Elle se regarda dans le miroir tout en fourrant ses affaires dans son sac. Ses traits étaient tirés. Elle n’avait plus dormi depuis des jours. Elle n’était pas maquillée, pas coiffée. Elle faisait peine à voir. Décidant de ne pas s’éterniser, elle fit un rapide dernier tour et prit la direction de la sortie. C’est à ce moment qu’elle faillit avoir une crise cardiaque. Dans la pénombre de la porte, un homme. Wayne. Il lui avait fichu la trouille. Il devait probablement se demander ce qu’elle fichait ici. Elle soupira. « Ah, c’est toi … » dit-elle avec une certaine déception. Pas qu’elle aurait aimé croiser quelqu’un d’autre, juste qu’elle aurait aimé ne croiser personne. Lorsqu’il s’approcha d’elle, elle se recula. Elle était devenue peureuse et détestait tout contact. « J’étais juste passée prendre mes affaires mais, puisque tu es là, je te préviens que je ne compte plus travailler ici. Tu peux garder l’argent que tu me dois, je m’en fiche » Baissant les yeux, elle se précipita vers la porte de sortie. Mais, encore une fois, elle ne fut pas assez rapide. Il la rattrapa juste avant qu’elle ne file. |
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| Sujet: Re: Let the rain wash away all the pain of yesterday [Wayne] Dim 6 Mai - 2:20 | |
| Des mois, des mois que la relation avec la jeune femme durait. Si ont pouvait réellement qualifier cela de relation. Wayne ne savait pas comment se sentir, Wayne ne savait pas comment se comporter avec la jeune femme. Plus elle venait, plus il sentait cette attache prendre place en lui. Il voulait la voir de plus en plus, appréciant les danses, mais surtout les nuits qui se suivaient. Elle venait, dansait, même parfois elle ne le faisait pas réellement, et ils couchaient ensemble. Étrangement, il n’avait pas vraiment envie de changer ce mode de vie. Ally était loin de le connaître et en même temps, il n’avait pas réellement envie qu’elle en sache plus sur lui. Elle ne connaissait pas celui qui avait brisé la vie de temps de femme, celui qui n’avait pas de considération et qui prenait celle qui lui faisait envie. La blonde ne connaissait pas cette partie de lui, partie qui n’allait surement pas lui plaire. Il tentait d’éviter qu’elle le sache, même si quelques rumeurs couraient sur lui à ce sujet. Cela devait faire une bonne semaine que la jeune femme ne se présentait plus chez lui et au travail. Aucune nouvelle, pas le moindre mot. Rien du tout. Sans le vouloir, il se posait des questions sur cette absence qui devenait instante. Wayne se demandait s’il ne lui était pas arrivé quelque chose de grave, il ne se doutait pas à quel point. Ce soir, il se rendait compte que ce silence ne lui plaisait pas. Wayne s’était même tenté à rejoindre la jeune femme, mais il n’avait jamais eu de réponse. Ca le rendait fou de ne pas savoir, de ne pas avoir aucune nouvelle. Ally aimait se rendre chez lui, elle venait plus d’une fois par semaine et maintenant, elle ne donnait plus aucun signe de vie. Il devait forcément se passer quelque chose.
Ce soir, il avait dû faire des heures supplémentaires. C’était le genre de chose qui lui arrivait souvent et il devait trouver une nouvelle danseuse, vu que la jeune blonde ne montrait plus le bout de son nez. Elle avait des clients qui venaient spécialement pour elle et maintenant il devait seulement dire qu’elle n’était plus ici, qu’elle avait des problèmes, mais qu’elle allait surement finir par revenir. Il se le demandait, mais il mentait pour réconforter sa clientèle. Il était tard, la porte n’était pas barrée, ce qui lui avait permis de rentrer. En temps normal, ce ne devait pas être ouvert à cette heure. Un mal de tête commençait à se faire sentir et c’est pour cette raison qu’il se décidait à sortir du bureau. Les chiffres devenaient oppressants et il se disait qu’il devait rentrer chez lui. La porte de son bureau se fermait à clef, des bruits de faisaient entendre. Ses sourcils se fronçaient, il se dirigeait vers la sortie pour observer ce qui était en train de se passer. Immobile, devant la porte, il voyait une silhouette féminine se dessiner devant ses yeux. Une blonde, un corps qu’il connaissait à connaître sur le bout de ses doigts. Ally. Il l’observait, elle semblait partir, ses choses entre les mains. Le genre de spectacle qui ne lui faisait pas plaisir. Le brun faisait quelques pas, observant la jeune femme qui semblait tendue, froide et qui ne semblait pas du tout ravie de le voir. Ses yeux se plissaient un moment, il l’observait. « -Oui. C’est moi. Tu t’attendais à voir qui d’autre ici? Qu’est-ce que tu fais ici à cette heure avec tes choses?» Il posait la question, même s’il se doutait fortement qu’elle partait. Depuis des semaines, elle ne venait plus. Elle lui annonçait les nouvelles comme si de rien était et le contournait pour se diriger vers la porte. Qu’est-ce qu’elle était en train de lui faire au juste.
Ses doigts attrapaient le poignet de la jeune femme, la forçant à se retourner pour qu’elle lui fasse face. Wayne n’allait pas la laisser partir. Avant, il l’aurait fait sans problèmes, mais maintenant il n’en avait pas la moindre envie. « -Tu fais quoi? C’est quoi le problème Ally? Tu m’évites maintenant, tu as changé d’était d’esprit comme ça. Sans raison ou pour une raison que je ne connais pas. Je t’ai fait quelque chose?» Il était calme. Il se remettait en question. Il ne comprenait pas, c’était bien la première fois qu’il se montait aimable avec quelqu’un et elle lui filait entre les doigts. Il n’aimait pas ça. Il ne lâchait pas son poignet, sans pour autant lui faire mal, sans pour autant la forcer à faire quoi que ce soit. « -Bordel. Je n’ai pas envie que tu partes comme ça. Je m’en fou que tu quittes le club. Tu ne peux pas, juste partir comme ça. Il se passe quoi? Un client? Ne joue pas à ça avec moi Ally. Il y a une raison à ton départ. Je le sais. Je m’en doute et je ne vois même pas pourquoi tu ne m’en glisses pas un mot.» Ils avaient passé pas mal de temps ensemble et hormis les derniers mois, il savait que la blonde n’était pas du genre à agir de la sorte. Il fini par relâcher son bras, il ne voulait pas la forcer à quoi que ce soit, juste lui faire dire, juste comprendre. Bordel. Il était en train de se rendre compte qu’il s’était attaché à elle plus qui ne le pensait. Lui le salaud, le con, le briseur de vie. Il était surement la moins bonne personne pour elle, c’est ce qu’il pensait. Enfin, peu importe. Il attendait qu’elle parle, espérant qu’elle ne foute pas le camp maintenant.
Dernière édition par Wayne Harrison le Mer 9 Mai - 1:39, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: Let the rain wash away all the pain of yesterday [Wayne] Dim 6 Mai - 22:30 | |
| La blonde avait essayé de venir récupérer ses affaires sans se faire remarquer mais, manifestement, elle n’avait pas été assez discrète. Voilà que Wayne était en face d’elle, bien décidé à avoir des réponses. Au fond, elle le comprenait. Elle ne lui avait plus donné de nouvelles pendant deux semaines. Il avait un business à gérer ; raison pour laquelle elle l’informait maintenant qu’elle ne viendrait plus travailler dans ce club. De cette manière, il pourrait s’organiser et trouver quelqu’un d’autre pour la remplacer. Si elle ne l’avait pas croisé, elle ne l’aurait sans doute même pas prévenu mais puisqu’il était là … Elle soupira. Elle ne comptait pas cacher qu’elle était contrariée de le voir. Elle ne savait même pas pourquoi elle l’était. Au fond, il n’y pouvait rien. Il était la première personne qu’elle croisait depuis l’autre soir. Par conséquent, le bouc émissaire parfait. D’autant plus qu’elle l’avait déjà vu papoter avec Gabriel et, qu’en plus, la scène s’était passée dans ce club, ce qui la mettait encore plus hors d’elle. Dans son esprit, il était clair qu’ils étaient amis. Et qui dit amis dit centres d’intérêt commun. Autrement dit, il devait, lui aussi, traiter les femmes comme des objets. Elle était de plus en plus persuadée qu’il n’en avait rien à foutre d’elle et qu’il la considérait juste comme un passe-temps. En même temps, Ally était en pleine dépression ce qui expliquait les scénarios dramatiques qu’elle construisait dans sa tête. Elle ne parvenait même plus à distinguer le réel de la fiction. Elle se sentait vide. Elle qui était toujours si souriante, n’avait plus la moindre envie de l’être. Elle affichait seulement une mine accablée. Elle ne daigna même pas répondre à sa question. Leurs petits jeux étaient finis. Elle n’avait plus la moindre envie de coucher avec un homme, ni la moindre envie de s’expliquer. Elle voulait tout simplement s’enfuir.
Mais, au moment où elle allait passer la porte, il l’attrapa par le poignet. Elle sursauta exagérément. « Lâche moi » dit-elle d’un ton autoritaire. Pour le coup, elle ne rigolait pas. Elle n’aimait pas se sentir contrainte de faire quelque chose à cause de la force d’un homme. Plus jamais. Il finit par le faire. Mais, pour une raison inconnue, elle resta là. Il avait remarqué son changement de comportement. A vrai dire, même un aveugle l’aurait remarqué tant il était flagrant. De nouveau, elle soupira. Elle savait très bien comment la conversation allait se terminer. Il allait lui demander ce qui lui était arrivé et elle ne voulait pas en parler. Toutefois, elle fut assez surprise qu’il croie que c’était de sa faute. Bizarrement, le fait qu’il énonce à haute voix ce qu’elle pensait depuis tout à l’heure lui paraissait tout à coup ridicule. « Non » chuchota-t-elle. Ce n’était pas sa faute. Après tout, ce n’était pas lui qui l’avait violée. Mais, même si elle n’était plus vraiment en colère contre lui, elle était toujours décidée à garder ça pour elle. Elle le laissa parler et ne répondit rien. Bizarrement, ça lui faisait quelque chose qu’il lui demande avec tant d’acharnement ce qu’elle avait. Peut-être était-elle entrain de réaliser qu’il s’attachait à elle, tout comme elle l’avait fait de son côté ? Auparavant, elle en aurait sans doute sauté de joie. Aujourd’hui, ça la faisait à peine sourciller. Elle avait perdu ce petit quelque chose qui faisait qu’elle voulait passer du temps avec lui. Elle leva la tête et plongea ses yeux dans les siens. Ou pas, finalement. Peut-être que ce quelque chose était toujours là, caché sous ce dégoût qu’elle ressentait vis-à-vis d’elle-même.
Elle hésita longuement sur ce qu’elle allait faire. D’un côté, elle ne voulait en parler à personne mais, d’un autre, elle ne supportait plus de voir son regard interrogateur posé sur elle. Il la prenait pour une femme qui ne savait pas ce qu’elle voulait alors qu’il y avait une explication logique à son comportement. Elle éleva tout à coup la voix. L’expliquer en criant lui donnait plus d’assurance. « Si je te dis rien, c’est parce que c’est humiliant. Je ne me vois pas raconter ça à un mec et encore moins à toi » Elle avait peur qu’il change son regard sur elle. Au fond, elle était une femme bien. Ce qu’il ne verrait pas forcément si elle lui disait qu’elle s’était faite violer. Déjà qu’elle était contrainte d’exhiber son corps pour de l’argent … Sa voix se brisa quelque peu et son ton redevint normal. « Je l’ai dit à personne » Introduction qui signifiait qu’elle allait aller plus loin dans son explication. Toutefois, au moment de prononcer les mots fatidiques, ils ne sortirent pas. Les formuler tout haut aurait rendu ce qu’elle avait vécu trop vrai. Elle se força à continuer tandis que sa voix se brisait de plus en plus. Une boule se formait dans sa gorge. « C’est ton ami flic qui vient parfois ici. Il m’a forcée à le suivre dehors et … » furent les derniers mots qui sortirent de sa bouche. Quelques larmes s’échappèrent malgré elle. Elle espérait qu’il avait compris car il n’apprendrait rien de plus d’elle. Elle détestait se donner en spectacle de la sorte. D’habitude, elle gardait toutes ses émotions pour elle. Mais, là, elle était juste trop faible moralement pour faire pareil. D’un revers de la manche, elle essuya ses larmes tout en hoquetant. « J’aurais pas la force de le recroiser. Je vais quitter la ville. Le plus tôt sera le mieux » Elle n’attendait rien de spécial de sa part. De toute manière, elle ne devait plus l’intéresser puisqu’elle ne lui rapportait plus d’argent. C’était ce dont elle était persuadée du moins. A voir si elle se trompait ou non.
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| Sujet: Re: Let the rain wash away all the pain of yesterday [Wayne] Lun 7 Mai - 2:02 | |
| Wayne ne comprenait pas ce qui était en train de se passer. Ce soir, dans le comportement de la blonde et dans le sien. Il n’était pas un psychologue, il n’était pas un homme bien, mais elle le changeait, un peu, mais elle arrivait à faire quelque chose de bien de cet homme qui ne connaissait que le sexe et l’argent. Si elle apprenait à le connaître, si elle savait ce qu’il faisait, elle ne lui adresserait surement plus la parole. Il le savait. Il s’en doutait. Ally était surement trop bien pour lui. Il était fait pour fini sa vie seul entouré de ses putes. C’est ce qu’il avait toujours pensé. Wayne faisait du mal, à un tas de gens et il n’avait jamais eu le moindre remord. Pourtant, il n’avait jamais fait du mal, physiquement, à une de ses filles et il n’avait jamais pris un corps sans qu’il ne lui soit offert. Il donnait le corps aux hommes, il n’était pas un violeur, mais un intermédiaire. Elle pouvait lui en vouloir pour ça. Elle pouvait lui en vouloir pour un tas de choses en fait. Ally ne savait rien de lui que ce qu’il lui laissait voir, une partie de ce qui avait de bon, c’est-à-dire peu de choses. Il était juste pourri jusqu’à la moelle. Un kidnappeur de femme avec des principes, comme ne pas les toucher et les abimer. Pourtant, il brisait leur vie sans le moindre remords, comme on avait un peu brisé la sienne, avec une enfance merdique et des parents nymphomanes qui baisaient tout ce qui bougeait. Il n’avait jamais vécu dans le respect, comment pouvait-il le connaître?
Il ne pensait pas, pas ce soir, pas avec elle. Avec elle, il agissait sans se poser des questions et ça lui faisait du bien, il en avait besoin. Il s’en rendait compte. Sa main se posait sur son bras, l’empêchant de partir, il ne voulait/pouvait pas la laisser partir de la sorte. Elle ne savait pas à quel point c’était difficile pour lui de la retenir, elle ne savait rien de lui. Au son de sa voix, il relâchait son bras. Aucunement l’envie de la contraindre à rester, il préférait qu’elle fasse elle-même ce choix. Elle se tournait, il posait son regard dans le sien. Silencieux. À vrai dire, il n’avait pas la moindre idée de ce qu’il devait/voulait faire. Un tas de questions lui passait en tête et il venait à se demander si c’était lui, s’il lui avait fait du mal sans le vouloir. Ça ne serait pas étonnant. Wayne était un salaud de première, il ne pouvait que mettre le feu à tout ce qu’il aimait un peu trop. Les sentiments et lui, c’était deux choses complètement distinctes. Il la regardait. Incertain. Rares étaient les personnes à pouvoir le voir aussi fébrile et peu confiant. Lui. Wayne. Qui avait toujours eu tout ce qu’il voulait, sauf la considération de ses parents et une famille, mais son enfance, elle était bien loin derrière. Il se demandait s’il devait être soulagé de ne pas être la source de ses problèmes ou s’il devait continuer de s’inquiéter parce qu’elle semblait sur le point de se briser en un tas de petits morceaux de verres impossibles à récupérer.
Des questions fusaient de sa bouche, il s’emportait, cherchant à la retenir/comprendre. Il voulait entendre, il voulait savoir et comprendre ce qui était en train de la tuer de l’intérieur. La voix de la jeune femme montait d’un cran, il ne bougeait pas. Si elle avait envie de s’époumoner pour lui donner la réponse, soit, il allait rester là. La première phrase fut un léger choc, elle semblait ressentir une vague d’émotions qu’il ne pouvait pas comprendre, inapte à l’aider, incapable de se sentir utile vis-à-vis d’elle. Wayne le monstre sans émotion. « -De quoi parles-tu Ally. Qu’est-ce qui se passe. Dis-mois, simplement.» Il ne pouvait pas comprendre, il ne voulait pas comprendre parce que la révélation qui allait lui faire allait lui faire réaliser à quel point il faisait souffrir toutes ces femmes depuis des années. Sans qu’elle ne le sache, elle faisait naître des remords au fond de lui, aussi petits soient-ils. Ils n’auraient jamais dû se rendre là, il n’aurait jamais dû coucher avec elle, elle allait changer trop de chose dans lesquelles il était si bien. Dans ce faux mensonge qu’était sa vie. « -Très bien. Je t’écoute.» Il avait envie de lui dire, je suis là. Ses mots lui écorchaient la gorge, il était doux, tendre. Ce n’était pas lui. Il se donnait mal au cœur, elle était son point faible. Plus elle parlait, plus elle avait mal, plus il ne savait pas quoi faire. Wayne ne consolait pas, il prenait/brisait. C’est ce qu’il avait toujours fait. Ce soir, le gérant était confronté à trop de choses qu’il ne connaissait pas. Il ne bougeait pas, écoutant sa voix devenir des sanglots retenus, nouant la gorge de la blonde. De qui pouvait-elle bien parler. Il n’avait pas d’amis. Il lui avait fois quoi putain. Il pouvait lui avoir fait un tas de choses, mais quelque chose qui allait la bouleverser autant. Ça ne pouvait être qu’atroce. Il voyait les larmes monter dans les yeux de la jeune femme, il était complètement pétrifié, sans savoir quoi faire, sans savoir quoi penser.
Il restait un moment là, le temps qu’elle se décourage un peu, qu’elle perd l’espoir et finalement, il venait attraper doucement son bras pour attirer le corps de la jaune femme contre le sien. Il prenait Ally dans ses bras. Putain. Il ne savait pas quoi faire de plus. Il se sentait impuissant, juste impuissant. « -De quoi parles-tu Ally. Tu ne vas pas quitter la ville. Tu n’irais nulle part ailleurs que dans ma maison. Tu ne vas pas partir.» Il ne lui donnait pas vraiment le choix. Elle n’allait pas quitter la ville, c’était simplement impensable à ses yeux. Il tentait de remettre un visage sur ce flic, il y avait tellement d’hommes qui perdaient leur temps ici. Ses doigts passaient distraitement dans ses cheveux, il voulait savoir, il devait savoir, sinon cela allait le rendre complètement fou. Il la gardait contre lui. « -Qui? Je ne sais pas de qui tu parles. Ally, je ne suis pas ami avec un flic, le seul que je connais un peu, c’est..» Il se crispait un peu. Gabriel. Y’avais que lui d’assez fou pour lui avoir fait quelque chose. Il prenait le visage de la blonde entre ses mains pour pouvoir poser son regard dans le sien. Il ne pensait plus à ses gestes, il agissait simplement. C’est ce que cela donnait. « -Il a fait quoi Ally. Il t’a touché? Frapper.» Plus il parlait, plus voyait le mal brisé son visage. Il parlait, tout bas, très bas. Elle ne parlait plus. Il l’observait. Il serrait les dents. Il venait de comprendre. « -Il t’a violé?» Les mots étaient un souffle, perdu, déconcerté. Maintenant, il se sentait plus impuissant/perdu que jamais. C’était ça. Il le voyait dans ses yeux. Il ne bougeait plus, laissant son regard dans celui de l’ancienne danseuse.
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| Sujet: Re: Let the rain wash away all the pain of yesterday [Wayne] Lun 7 Mai - 18:03 | |
| Faire cette demi révélation avait coûté à la jolie blonde. Elle se sentait plus fragile que jamais. Elle s’était mise à nu en lui avouant ce qui s’était passé ce fameux soir. Pas à la manière superficielle des strip-teaseuses. C’était plus profond que ça. Un vrai secret qui lui prouvait qu’elle lui accordait une certaine confiance. En effet, c’était typiquement le genre de choses qu’elle n’allait pas aller crier sur tous les toits. Personne n’aime se vanter d’avoir été abusé sexuellement. De toute façon, pour ce que ça allait changer… Elle avait toujours l’intention de quitter la ville alors elle se moquait bien que quelqu’un de Tijuana soit au courant. Lorsqu’elle repartirait vers New-York, elle laisserait cette expérience douloureuse à Tijuana et n’en reparlerait plus jamais. Il pourrait au moins se vanter d’être le seul à avoir eu l’occasion de découvrir une partie des choses qu’elle cachait à tout le monde. Déconnectée momentanément avec la réalité, elle ne remarqua pas tout de suite qu’il était entrain de la prendre dans ses bras. Geste qu’elle aurait été bien incapable de prévoir. Toujours sous le choc, elle entoura machinalement son corps de ses petits bras frêles en réponse à son geste. Mine de rien, sentir la chaleur qu’il dégageait contre elle lui remontait un peu le moral. Elle ferma les yeux l’espace d’une seconde et posa sa tête sur son torse. Elle se serait presque sentie… bien. Elle esquissa un sourire lorsqu’il lui dit qu’elle n’allait pas partir mais aller chez lui. Comme s’il ne s’était rien passé, elle tenta une touche d’humour. « Mes danses vont te manquer, avoue » Elle rit. Elle ne voulait pas spécialement qu’il confirme ou infirme ce qu’elle venait de dire. Cela n’avait plus aucune importance. Ce n’était pas comme s’il pouvait lui imposer quoique ce soit. C’était cependant amusant de le voir essayer. De toute manière, tant que Gabriel vivrait à Tijuana, elle ne remettrait plus les pieds dans cette ville. C’était décidé.
La suite de leur conversation gâcha le premier moment agréable qu’elle passait depuis deux semaines. Il prit son visage entre ses mains pour la forcer à le regarder. Elle ne voulait pas. Elle n’avait pas envie de lui expliquer les yeux dans les yeux ce qui lui était arrivé. Il l’avait toujours impressionnée et, là, c’était juste mille fois pire. Il semblait réfléchir tout haut à l’identité de son agresseur. A sa manière de parler, elle voyait bien qu’il avait compris. Il n’y avait pas 36 000 monstres capables de faire une chose pareille dans cette ville. Elle le regarda de manière éloquente. Sans se le dire, ils savaient tous les deux qu’ils parlaient de la même personne. Il lui demanda s’il l’avait frappée. Il cherchait ce qu’il avait bien pu lui faire. Finalement, il trouva. Sans aucune barrière derrière laquelle se cacher, contrainte à le regarder, il put sans problème voir son visage se décomposer. Il avait mis dans le mil. Elle ne parvenait pas à se ressaisir. Les larmes coulaient toutes seules même si elle se mordait la joue jusqu’au sang pour les retenir. Elle ne voulait pas qu’il la voie dans cet état et reposa donc sa tête sur son torse pour éviter son regard. Elle attrapa le col de sa chemise histoire d’avoir quelque chose de matériel à quoi se retenir. Elle resta silencieuse quelques secondes et, finalement, débita un flot de paroles. Elle pouvait enfin se soulager en en parlant. « Tu comprends mieux pourquoi je dois partir. Qu’est-ce que tu veux que je fasse ? Il est flic. Il se fera toujours couvrir par ses collègues. En plus, qui croira une strip-teaseuse plutôt qu’un inspecteur ? »
Elle hocha négativement la tête. Elle avait déjà réfléchi à tous les scénarios possibles pour coincer ce sale type mais, à chaque fois, elle en arrivait à la même conclusion : elle ne pourrait rien faire puisqu’il était flic. Toutefois, elle ne s’arrêta pas de parler. Comme si, cette fois, une solution miracle lui apparait peut-être en en parlant avec quelqu’un. « Je ne pourrais pas le croiser dans la rue en sachant qu’il devrait être derrières les barreaux. En plus, il m’a dit que la prochaine fois qu’on se recroiserait, il me referait exactement la même chose. Il m’a aussi dit que si j’le disais à quelqu’un, il se vengerait. Tant qu’il sera en ville, je pourrais pas rester. Bref, s’il te plait, ne lui en parle pas. J’ai pas envie d’avoir encore plus d’ennuis » La haine qu’elle ressentait pour ce porc l’avait faite redevenir maître d’elle-même. Elle pleurait un peu moins et reprenait petit à petit ses esprits mettant ainsi fin au mélodrame qu’elle avait installé. Ce n’était pas elle de se donner en spectacle de cette manière. Elle s’écarta de lui en reniflant. « Si j’pouvais je tuerai tous les sales types qui font du mal aux femmes de mes propres mains » dit-elle avec de la rage dans le regard. Elle ne visait pas Wayne en disant cela. Toutefois, libre à lui de se sentir concerné ou pas par ce qu’elle venait de dire. Elle soupira. Jamais elle n’aurait cru qu’un truc pareil puisse lui arriver. Pas à elle. Comme quoi la vie vous réserve parfois de sacrés (mauvaises) surprises. A cause d’une minute d’inattention, elle devait remettre sa vie en question. Elle devait quitter un boulot plutôt bien payé. Elle devait trouver une autre manière de rembourser ses dettes. Bref, elle était de nouveau dans la merde. D’autant plus que, maintenant, il était hors de question qu’elle continue à vendre ses charmes. Et vu qu’elle n’était douée qu’à ça… Les jours de calme étaient définitivement morts. Elle leva les yeux vers lui. Et, chose qui ne lui était jamais arrivée, certaines personnes allaient lui manquer. A commencer par le beau brun qui ne la quittait pas des yeux. |
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| Sujet: Re: Let the rain wash away all the pain of yesterday [Wayne] Mer 9 Mai - 20:09 | |
| Il n’aurait jamais pensé agir comme cela avec quelqu’un un jour. Il n’aurait jamais pensé être capable de tendresse avec une femme. Il voulait rassurer la danseuse et en soi, il ne savait pas quoi faire d’autre que la prendre dans ses bras. Venant de lui, c’était déjà beaucoup. Il laissait ses bras entourer le petit corps qu’il connaissait trop bien pour venir l’attirer contre lui. Wayne ne savait pas si ce geste allait lui faire du bien, mais c’est tout ce qu’il pouvait faire pour elle. Il ne connaissait pas les bons mots pour la consoler. Wayne voulait savoir, il voulait savoir ce que ce flic lui avait fait, pourquoi elle avait autant mal et pourquoi lui aussi avait mal de voir Ally de la sorte. C’était troublant. En quelque sorte, Wayne n’était jamais réellement tombé amoureux. Les femmes n’étaient rien à ses yeux. Elle, c’était autre chose.
Les mains posées sur son visage, il cherchait et il finit par tomber dans le mille. Incapable de contrôler cette haine qui prenait place en lui. Impossible de comprendre cette envie intense qu’il avait de lui exploser la tête. Il rageait et il tentait de contrôler cette colère en lui. Une respiration avant qu’il ne lâche son visage pour la reprendre contre lui. Il caressait son dos furtivement, en pensant à ce foutu policier qui avait foutu la merde dans son bar. Il écoutait la jeune femme parler, sans réellement répondre. Il n’y avait rien de rassurant qu’il pouvait lui dire, il ne savait pas quoi dire, mais il sentait cette envie folle de tuer ce pervers. Ses mains restaient posées dans le dos de la jeune femme un moment, écoutant simplement et la dernière phrase eue l’effet du couteau dans le dos. Il se reculait brusquement de la jeune femme pour faire quelques pas en arrière. Elle allait lui en vouloir, elle allait le détester quand elle allait en apprendre un peu plus. Pourquoi est-ce que cela le dérangeait autant? Il ne voulait pas, il ne voulait pas la perdre. Point. Il posait son regard sur elle et sortait son téléphone. « -Je ne veux pas que tu partes. Tu restes ici.» Il bougeait pour se diriger vers son bureau et posait son téléphone contre son oreille. Pour le moment, il ne voyait pas d’autre moyen. Il n’avait qu’une seule envie, le tuer. Wayne n’avait jamais tué personne. Wayne n’avait jamais agi de façon aussi impulsive. Ce n’était pas lui de s’emporter de la sorte, de s’apprêter à faire une connerie aussi grande. Ally le changeait, en bien. Elle changeait un tas de choses en lui. Il s’assurait qu’elle ne le suive pas et quand la voix du policier se faisait entende, il sentait la rage encore plus grande en lui. « -Oui. Gab? J’ai besoin que tu viennes au strip tout de suite. C’est urgent. Je suis dans la merde.» Mensonge. Il acceptait. Il entrait dans son bureau et prenait son pistolet pour le glisser dans a veste. Il agissait n’importe comment. Peu importe. Il allait trouver une façon d’arranger les choses, il arrivait toujours à ses fins.
Il retournait en bas pour rejoindre la blonde. Pas question qu’elle le suive ou qu’elle assiste à la scène. Une main passait sur son visage. Il était nerveux, il se demandait ce qu’il était en train de faire, mais cela lui semblait la meilleure option. Il faisait quelques pas vers elle, posant une main sur sa joue. « -Tu ne quittes pas la ville Ally et restes dans le club. Laisse-moi quelques minutes et je reviens. Ok?» Il l’observait et venait prendre ses lèvres un instant. Wayne avait une seule idée en tête. Lui qui kidnappait des femmes allait tuer un violeur. Il n’avait jamais touché une femme et l’idée qu’il puisse poser une nouvelle fois la main sur Ally le mettait hors de lui. Il quittait ses lèvres en lui disant de s’asseoir un peu plus loin. Elle ne devait rien comprendre, mais peu importe. Elle le saurait bien assez tôt. Il poussait la porte du la boîte pour se retrouver dehors. Il sentait son cœur battre trop fort, la nervosité et les questions prenaient place en lui. Il était trop tard pour reculer, il venait déjà de passer un coup à Gabriel. Dehors, il attendait et après un moment, une voiture de police arrivait et un homme en sortait. Heureusement pour Wayne, le policier ne portait pas de chandail pare-balle et il allait pouvoir lui coller une balle en plein cœur. Il faisait quelques pas pour se diriger vers lui. « -Wayne, qu’est-ce qui se passe. T’as un problème avec la boîte.» En fait, le policier l’aidait à ne pas attirer les soupçons et il pouvait venir ici autant qu’il voulait, mais il n’avait jamais été question de violer qui que ce soit. Il glissait sa main dans sa veste pour en sortir le fusil qu’il pointait directement sur lui. Trois coups. Forts. La danseuse pouvait surement les entendre de la où elle était. Le corps de Gabriel tombait sur le sol et Wayne restait là, son arme en main à fixer le corps. Immobile. Qu’est-ce qu’il venait de faire au juste? « -Merde.»
Dernière édition par Wayne Harrison le Jeu 10 Mai - 11:45, édité 1 fois |
| | | Anna D. Floydadmin • dirty bitch, sexy slut, hot whore
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| Sujet: Re: Let the rain wash away all the pain of yesterday [Wayne] Jeu 10 Mai - 11:31 | |
| Ally avait réussi à reprendre une certaine contenance grâce aux bras protecteurs de Wayne. Le silence était retombé dans la pièce. Il n’y avait aucune solution à son problème de toute façon. Elle était résignée à devoir quitter la ville. En attendant ce moment fatidique, elle profitait simplement de l’instant présent. Elle se sentait d’ailleurs étonnement bien. Elle se sentait protégée par la chaleur que dégageaient les bras et le torse de l’homme. Elle ne savait pas exactement combien de temps elle était restée dans cette position. C’était comme si le temps s’était arrêté. Cependant, lorsqu’il s’éloigna, elle redescendit sur terre : elle avait de nouveau froid. Elle se contentait de le regarder. Pour la première fois depuis une dizaine de minutes, il parla. Il lui dit qu’il ne voulait pas qu’elle parte et qu’elle devait rester ici. Elle ouvrit la bouche avant de la refermer brusquement. Elle fronça les sourcils. Elle se demandait sérieusement s’il avait retenu un seul mot de ce qu’elle venait de lui dire. Elle ne pouvait pas rester en ville, même si elle le voulait ardemment. Sans un mot supplémentaire, il s’éloigna après lui avoir ordonné de ne pas bouger. Partir maintenant aurait sans doute été plus facile, toutefois, sans pouvoir se l’expliquer, elle lui obéit. Elle le suivit des yeux jusqu’à son bureau. Elle aurait donné n’importe quoi pour savoir ce qu’il fabriquait. Toutefois, elle ne le rejoignit pas. Elle n’en avait pas la force de toute façon. Elle décida de s’asseoir à une table et d’attendre qu’il revienne. Tout simplement. Au bout d’un certain temps, il revint. Il semblait nerveux. Il vint près d’elle et lui annonça qu’elle ne quittait pas la ville. Il semblait avoir un plan. « Mais qu’est-ce que tu … ? » Elle fut interrompue par un baiser. Elle perdit le fil de ses idées quelques secondes, assez pour qu’il puisse quitter la pièce sans avoir subi un interrogatoire préalable. Encore une fois, elle lui obéit. Après tout, s’il pouvait arranger ses affaires, ce ne pouvait être qu’une bonne chose. Son cœur battait la chamade. Plus le temps passait, plus elle était convaincue qu’il allait faire une connerie. La seule manière de la faire rester - elle y avait pensé - c’était de tuer ce sale type. Plus elle y pensait, plus cette idée revenait sans cesse dans son esprit. Elle ne voyait pas d’autres moyens. Elle paniquait. C’était forcément ça … et, elle, qui restait sagement assise... Non, elle devait faire quelque chose. Résignée, elle se leva. A peu près au même moment, elle entendit trois coups de feu. C’était déjà trop tard. Elle courut dans la direction des bruits. Le spectacle était plutôt logique : Wayne tenait un flingue dans la main. Gabriel était par terre et commençait à se vider de son sang. Bizarrement, elle ne poussa pas le moindre cri. Directement, sa raison prit le dessus. Il ne fallait surtout pas que Wayne soit accusé du meurtre.
Ally n’avait jamais été une femme sadique. Toutefois, voir ce porc se vider de son sang était plutôt agréable. Certes, elle n’aurait jamais eu le cran de régler elle-même le problème, mais le voir dans cet état réveillait ses pulsions les plus enfouies. Elle se rapprocha de Wayne et lui prit la main, celle qui tenait le revolver. « Donne le moi » Il semblait légèrement en état de choc, si bien qu’il ne protesta pas. Le revolver dans les mains, elle enjamba le corps. Lorsqu’il était parti dans son bureau, elle avait cru l’entendre parler. Maintenant, cela prenait tout son sens : il avait dû lui téléphoner. Pour ne pas laisser de traces, il fallait qu’elle récupère le téléphone. Elle le trouva assez vite et le prit avec elle. Elle attira Wayne par le bras pour le faire rentrer. « Ferme tout le plus vite possible et sors par derrière. Je t’attendrai avec ma voiture. Je dirais que tu as passé la soirée chez moi » Pour le coup, elle était plutôt efficace. Son esprit travaillait à une vitesse folle. Il ne fallait oublier aucun détail. Pendant qu’il fermait, elle sortit la carte SIM de son téléphone et la brûla avec un briquet. Elle frotta ensuite leurs empreintes du revolver à l’aide d’un chiffon. Elle repassa les évènements dans son esprit. Elle pensait ne rien avoir oublié. Elle rejoignit sa voiture – qui heureusement était garée à l’arrière étant donné qu’elle-même n’avait pas voulu se faire remarquer en arrivant – et attendit que Wayne apparaisse. Lorsque ce fut le cas, elle démarra la voiture. Au bout d’une dizaine de minutes, elle fit un léger détour, descendit et alla enterrer le revolver et le téléphone dans un jardin au hasard. Personne ne penserait à venir chercher là. Le trajet était toujours horriblement silencieux sans qu’elle ne trouve rien à dire pour détendre l’atmosphère. Tout en conduisant, elle lui jetait de temps en temps un regard. Elle aurait aimé être dans sa tête pour savoir à quoi il pensait. Elle posa sa main sur son genou. « Personne n’avait jamais fait un truc pareil pour moi. Je sais pas quoi dire. Merci infiniment » L’émotion était de nouveau au rendez-vous. Ce qu’il avait fait l’avait sincèrement touchée. Elle ressentait une vague de sentiments à son égard l’envahir. L’on pouvait dire sans se tromper qu’elle venait définitivement de tomber amoureuse de lui. Elle lui sourit afin d’essayer de lui remonter le moral. Elle lui en devait une et en était consciente. Autrement dit, elle allait tout faire pour que personne n’apprenne jamais que c’était lui qui avait tué Gabriel. Une fois arrivés, ils montèrent chez elle, dans son salon. Elle lui servit un verre de vodka et en prit un elle-même. Ça allait les remettre d’aplomb. Tandis qu’il buvait, elle le dévorait littéralement des yeux. Il la rendait dingue. Sans pouvoir se retenir plus longtemps, elle s’approcha de lui et l’embrassa. Sagement d’abord, fougueusement ensuite. Elle vint chercher sa langue avec envie dans un baiser passionné. Elle ne savait pas ce qui lui arrivait. Elle s’était imaginée ne plus jamais avoir envie d’un homme. Toutefois, avec lui, c’était différent. Même le corps mort de Gabriel n’arrivait pas à lui couper son désir. Elle perdait la tête sous ce baiser, ses mains commençant déjà à parcourir machinalement son torse et à chercher les boutons de sa chemise. A un moment, elle se recula. Après tout, il n’en avait peut-être pas envie, encore traumatisé par le fait d’avoir tué un homme. Elle essaya de lire quelque chose dans ses yeux tout en continuant à lui caresser les cheveux, plus sagement.
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| Sujet: Re: Let the rain wash away all the pain of yesterday [Wayne] Jeu 10 Mai - 17:01 | |
| Il n’avait pas voulu faire ça. À ce moment, rien d’autre ne pouvait passe avant ce plan qu’il venait d’élaborer rapidement. Jamais, il n’avait été aussi impulsif. Jamais il ne se serait comporté de la sorte pour qui que ce soit. Aucune idée de ce qui lui prenait, mais il ne voyait pas d’autre solution et quand il se pointait devant lui, il sortait son pistolet pour lui tirer trois balles. Il était tard. Le son venait résonner dans la nuit sombre et lui, il restait simplement immobile devant le cadavre. Qu’est-ce qu’il venait de faire. Il ne réalisait pas qu’il venait de tuer un homme. Son regard était vide et il fixait le cadavre, son souffle lui manquait, un tas de remords prenait place en lui. Wayne était un tueur. Il n’avait jamais tué personne, il semait le mal, mais il n’avait jamais frappé/tué qui que ce soit et ce soir, il venait de le faire. Le son de la porte ne le faisait même pas détourner le regard, elle parlait et il ne réagissait pas. Traumatisé. Il observait le sang se répandre sur le sol. Elle venait vers lui pour prendre son arme, il ne bougeait même pas, se laissant faire. Il était un corps sans vie, fixé sur le cadavre sans pouvoir faire quoi que ce soit d’autre. Le voir ainsi lui, aussi perplexe, lui qui était muni d’une si grande confiance, il ne savait pas quoi faire. Pas le moins du monde. Les derniers mots de la jeune femme lui faisaient tourner le regard, il suivait la blonde, jetant un entier regard au corps avant d’entrer à l’intérieur. Bordel. Un mort devant sa boîte. Il laissait la jeune femme faire et s’assurait de tout fermer. Maintenant, il avait peur de se faire prendre, il n’avait pas la moindre envie d’allez en taule et un mort de ferait qu’empirer son dossier déjà bien garnis. C’était le meilleur moyen pou le foutre en taule. Wayne avait la frousse. Elle avait tout fait. Le téléphone du policier, le sien, l’arme. Il sortait dehors pour prendre place dans la voiture de la jeune femme. Le brun sentait on regard sur lui, il se contentait de fermer les yeux pour tenter de se calmer. Cela n’avait rien de facile et quand il fermait les yeux, il pouvait revoir le corps de policier. L’image lui passait en tête et il ouvrait rapidement le regard pour le poser sur la route. Il se sentait simplement impuissant. Il laissait la blonde faire, il laissait sa main sur son genou. Il ne faisait rien. Il se sentait vide et mal, il ne savait pas comment se sentir. Il l’observait un moment, il ne savait simplement pas comment se sentir et s’il ne réagissait pas, elle n’avait pas à se sentir mal. Après tout, il venait de tuer un homme pour elle. Il ne pouvait même pas le réaliser. Il fermait encore les yeux, tentant de calmer les battements e son cœur qui s’entêtait à rester fort.
Ce ne fut pas long avant qu’ils n’arrivent chez la jeune femme et une fois cela fait, il la suivait simplement, retirant sa veste de cuir pour la poser dans un coin. C’était la première fois qu’il mettait les pieds ici, habituellement c’est elle qui venait chez Wayne pour lui faire des danses. Lui, ne manquait pas d’argent et avait une énorme maison à plusieurs étages. Il se sentait mal d’avoir tué et sans qu’elle ne le sache, les mots qu’elle avait prononcés en disant qu’elle détestait tous les hommes qui s’en prenaient aux femmes l’avaient troublé. Il se passait quoi si elle découvrait son commerce, il y avait des rumeurs sur lui, mais personne n’avait de preuves. Il allait vers elle quand elle lui tendait un verre et il le prenait pour le boire cul sec. Il était terriblement silencieux, en même temps, il ne savait pas ce qu’il pouvait dire et il n’avait rien à dire. Il se servait un autre verre pour en pour se l’enfiler aussi rapidement que l’autre. Il posait son verre, quittant Ally du regard pendant un moment et tandis qu’il pensait encore à ce qu’il venait de faire, elle se glissait contre lui pour venir prendre lentement ses lèvres. Il se tournait pour poser ses mains sur les hanches de la demoiselle, venant jouer lentement avec sa langue. Il était partagé entre l’envie de partir et l’envie de rester avec elle. Aucune idée e ce qu’il avait envie et un frisson passait sur sa peau quand il sentait les doigts de la jeune femme venir parcourir son torse. Il laissait ses doigts parcourir le dos de la jeune femme pour remonter sur sa joue et reculer son visage du sien. Il ouvrait les yeux et poser son regard dans celui de la blonde, ses doigts caressait lentement la peau de sa joue alors qu’il se contentait de l’observer. Il se sentait mal, de ce qu’il avait fait et de tout ce qu’il avait pu faire. « -Je ne suis pas pour toi Ally. Je suis horrible. Tu ne me connais pas. Tu ne sais pas ce que j’ai fait et ce que je fais. Je ne suis pas pour toi.» C’est la première chose qu’il disait depuis tout à l’heure, elle n’allait pas comprendre ce qu’il était en train de lui raconter, mais lui savait parfaitement la raison de ces mots qu’il venait de lui dire. Il parlait des femmes qu’il avait kidnappées et qu’il faisait de prostituer. Il parlait doucement, sa voix cassée, son souffle se perdait sur les lèvres de la jolie blonde.
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| Sujet: Re: Let the rain wash away all the pain of yesterday [Wayne] Sam 12 Mai - 19:53 | |
| Il aurait fallu être aveugle pour ne pas remarquer que Wayne n’était pas dans son assiette. Depuis qu’il avait tué Gabriel, il semblait pensif. Plus inaccessible que jamais. Il était horriblement silencieux. Malgré les tentatives d’Ally, il restait figé dans son mutisme. Elle ne savait pas quoi faire pour l’en sortir. En désespoir de cause, elle lui avait servi un verre d’alcool, se disant que ce breuvage le ramènerait sur terre. Cela eut qu’un effet mitigé. Son regard paraissait déjà moins vide mais ses lèvres restaient scellées. La situation était entrain de la rendre dingue. Elle ne savait pas s’il lui en voulait, s’il était entrain de réfléchir à ce qu’il allait dire à la police ou si, tout simplement, il regrettait son geste. Elle aurait aimé qu’il lui dise ce qui n’allait pas. Ils auraient pu en parler. Elle aurait essayé de le comprendre et de le rassurer. Là, ce n’était pas possible. Elle était d’autant plus blessée par son silence qu’elle ressentait un trop-plein de sentiments à son égard l’envahir. Elle aurait aimé lui dire combien elle l’avait trouvé fantastique mais, avec raison, elle en déduit que ce n’était pas le moment. Pour un peu, elle devenait aussi perdue que lui. Histoire de le faire bouger, elle décida d’approcher son visage du sien et de l’embrasser. Elle ne le faisait pas seulement pour le réveiller mais, également, parce qu’elle en avait très envie. Elle ne parvenait plus à se contrôler. Elle ne parvenait plus à faire semblant qu’il n’était qu’un coup comme un autre. Il répondit à son baiser. C’était le signe qu’il n’était pas mort en même temps que Gabriel ; c’était déjà ça. Toutefois, elle ne savait pas si c’était une réponse machinale ou s’il était réellement conscient de ce qu’il était entrain de faire. C’est pourquoi elle décida de se reculer. Elle se doutait bien qu’il était beaucoup trop préoccupé que pour se contenter de la prendre sur le lit. De nouveau, elle soupira. Elle ne savait pas quoi dire ou faire. Pire, elle commençait même à s’en vouloir de lui avoir raconté toute cette histoire. Certes, elle pouvait maintenant rester en ville mais si c’était pour le voir comme ça… Elle n’aurait jamais dû se rendre au club aujourd’hui. Elle aurait tout simplement dû laisser ses tenues où elles étaient. A quoi avait-elle pensé ? De toute manière, elle n’en aurait plus eu besoin. Tandis qu’elle était entrain de s’en vouloir, une boule commençait à se former dans son ventre. La culpabilité. Le regret. L’attirance. Un véritable melting pot de sentiments qui étaient entrain de la ronger. Elle aurait donné n’importe quoi pour qu’il prononce un mot, juste un. Ce qu’il fit brusquement.
Bizarrement, elle s’était attendue à tout sauf à ça. Elle était tellement surprise qu’elle resta quelques secondes la bouche ouverte avant de s’en rendre compte et de la refermer. Il n’était pas pour elle ? Elle ne comprenait plus rien. Le meurtre qu’il venait de commettre était sûrement entrain de le faire délirer, c’était la seule explication logique. Elle était entrain de le voir filer entre ses doigts et elle détestait ce sentiment d’impuissance. « Qu’est-ce que tu racontes ? Je sais ce que tu as fait. Je vais pas te dire que c’était la solution la plus intelligente mais, en tous cas, elle était juste. Je vois pas en quoi tu es horrible parce que tu as tué un violeur. Personne ne saura que c’est toi de toute façon. Je te le promets » Elle était entrain de dire que, non seulement, elle ne le dirait à personne mais, qu’en plus, elle ferait tout pour attirer les flics sur une fausse piste. Elle tenta un sourire histoire de lui remonter le moral. Ça ne semblait avoir aucun effet. Elle posa ses mains sur ses joues, décidée à lui ôter cette idée stupide de la tête. « Ce que je connais de toi me plait. T’es quelqu’un de bien. Peu importe ce que tu as pu faire par le passé, c’est pas grave. Je t’aime comme tu es » Shit. Elle venait de laisser échapper des mots qu’elle n’aurait pas dû prononcer. Elle se sentait encore plus idiote de lui dire qu’elle l’aimait dans un moment pareil. Toutefois, c’était tellement évident pour elle qu’elle n’avait pas pu les retenir plus longtemps. Pour lui éviter d’avoir à répondre quoique ce soit, elle captura ses lèvres avec empressement. Elle n’avait aucune envie de l’entendre répondre un « merci » gênant étant donné qu’il était évident à ses yeux que ce n’était pas réciproque. Elle décida de changer de sujet le plus rapidement possible. « J’aimerais bien que tu restes dormir chez moi. Tu as besoin de compagnie et j’ai pas envie de te savoir seul chez toi entrain de ruminer Dieu sait quoi. S’il te plait » le supplia-t-elle. Elle n’avait aucune envie qu’il parte. S’il le faisait, les choses ne seraient à coup sûr plus les mêmes entre eux. Déjà que là c’était mal barré… S’il partait maintenant, elle sentait qu’il ne reviendrait plus. Elle sentait qu’elle le perdrait. Ce qu’elle voulait empêcher à tout prix. Histoire de l’influencer dans son choix, elle l’attira dans sa chambre. Sans arrières pensées pour une fois. Elle s’assit sur son lit, derrière lui. Elle posa ses mains sur ses épaules et commença à le masser tendrement. Elle voulait qu’il se sente un peu mieux. De temps en temps, elle venait nicher son visage dans son cou afin de l’embrasser tendrement. Elle était véritablement mordue de lui. Elle n’avait qu’une idée en tête : le toucher et l’embrasser le plus souvent possible. Elle avait besoin de lui. Besoin qu’il reste près d’elle. Pour une fois, il n’y avait plus que du sexe entre eux. Ils se réconfortaient l’un l’autre ce qui, au fond, était même plus démonstratif à ses yeux qu’une partie de jambes en l’air.
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| Sujet: Re: Let the rain wash away all the pain of yesterday [Wayne] Sam 12 Mai - 23:34 | |
| Il se doutait que son silence pouvait être désagréable, mais dans ce genre de moment, il n’avait pas réellement envie de parler de choses futiles. Il était complètement ailleurs, même s’il était là devant elle. Son esprit divaguait dans toute sorte de chose qui pouvait la concerner et d’autre pas. Il pensait à tout ce qu’il avait pu faire dans sa vie, ressentant surement pour la première fois des regrets et des remords. En voyant comment Ally pouvait se sentir, il se disait que c’est ce qu’il faisait aux autres femmes comme elle. Il tentait de chasser les pensées qui lui passaient en tête, ne supportant clairement pas de e mettre à ressentir des remords alors qu’il n’en avait jamais ressenti. Sensation désagréable qu’il aurait aimé mieux éviter pour le reste de sa vie. Il laisse ses lèvres se poser contre les siennes quand elle faisait quelques pas vers lui, l’embrassant doucement sans l’envie de se rendre plus loin. Il venait de tuer un homme. Pas qu’il n’avait pas envie de lui faire l’amour, juste qu’il ne se sentait pas particulièrement bien en ce moment. Wayne était en train de réaliser qu’il ne pouvait pas ‘’être’’ avec Ally. Voudrait-elle réellement d’un mec qui vendait des femmes depuis toujours sans le moindre respect. Certes, il ne les violait pas, mais il faisait le pont entre les violeurs et elles. Peu importe. Quand il posait son regard dans celui de la jeune femme pour lui parler, c’est exactement de cela qu’il était en train de parler. Il ne voulait pas lui dire et surement qu’il ne le ferait pas, mais elle voulait qu’elle s’éloigne de lui. Il n’avait pas envie de lui faire du mal ou de la décevoir quand elle allait peut-être apprendre cela. Il ne la quittait pas des yeux, écoutant ce qu’elle avait à lui dire pour le rassurer. Si seulement elle savait réellement de quoi il voulait parler. Peu importe. Un léger sourire passait sur son visage. Il ne voulait pas parler de cela, elle ne pouvait pas le savoir. Wayne aimait la façon qu’elle avait de tenter de le rassurer, elle était adorable. « -Ally.» Il ne savait pas quoi dire. Il ne voulait pas contre dire ce qu’elle était en train de dire. Un murmure de sa part alors qu’il fermait les yeux pendant un moment, laissant les mains de la jeune femme se poser sur ses joues. « -Tu ne connais pas tout de moi. Juste ce que je te laisse voir, toi.» Il venait de lui en dire un peu plus. Ses yeux s’ouvraient une fois de plus pour les poser dans les siens. Ses yeux plantés dans les siens, il se taisait, simplement. Les mots qu’elle venait de lui dire lui rentraient littéralement dans le cœur. Comment pouvait-elle le toucher à ce point? Comment pouvait-il s’attacher autant à elle? Il n’en avait pas la moindre idée. L’amour n’avait jamais fait partie de sa vie et l’entendre dire cela lui donnait un peu froid dans le dos. Il avait peur de la faire partir ou de la perdre. Aucune option pour répondre, elle venait poser ses lèvres contre les siennes et il laissait la jeune femme faire en prolongeant le baiser qui durait un court instant. Il passait une main sur la joue d’Ally, caressant doucement sa peau. Wayne n’allait pas répondre à cela, parce qu’il ne savait pas et qu’il ne se sentait pas prêt à dire cela. C’était déjà bien qu’il ne soit pas parti de chez elle et qu’il reste alors qu’elle venait de lui avouer qu’elle était amoureuse de lui. Il n’était pas un sentimental, il n’aimait pas se perdre dans les ébats amoureux. Il savait qu’elle comptait bien plus pour lui que n'importe quelle autre femme, mais de là à lui dire à haute voix, c’était une autre paire de manches. « -Je vais rester Ally. Je dois t’avouer que je n’ai pas envie de rentrer chez moi et de passer la nuit toute seule.» Il souriait, doucement, juste que le mal ne pouvait pas partir aussi rapidement.
Il suivait la jeune femme qui se dirigeait vers sa chambre et il se posait sur le bord du lit, laissant la jeune femme poser ses mains contre ses épaules pour se mettre à le masser. Il était tendu, nerveux, mais il se sentait bien quand il était avec elle. Après un petit moment, il bougeait, entreprenant de retirer sa chemise qu’il laisse tomber dans un coin de la chambre. Il avait besoin de s’étendre/se détendre. Son pantalon trouvait aussi le chemin du sol alors qu’il se retrouvait en boxer, il n’allait pas se gêner devant elle. Ce n’est pas comme si elle ne l’avait jamais vu nu. Il se reposait sur le bord du lit, attrapant doucement le bras de la jeune femme et de l’attiré vers lui doucement. Silencieux, il laissait ses doigts passer sur ses hanches pour lui retirer son haut qui venait trouver le chemin du sol à son tour. Ses mains caressaient sa peau doucement alors qu’il entreprenait de lui retirer une partie de ses vêtements, avec son aide. Il n’allait pas la laisser s’étendre avec sa paire de jeans et son corps, il le connaissait sur le bout de ses doigts alors qu’elle ne commence pas à jouer la prude. Une fois qu’elle se trouvait simplement en culotte, il se couchait sur le dos, se faisait une place sou la couette et attirait la jeune femme pour qu’elle vienne se coucher par-dessus lui. Ses yeux se fermaient alors qu’il poussait un soupire, se trouvant trop bien pour que ce soit normal et pour le comprendre. Ses mains venaient se poser dans son dos pour entreprendre de lentes caresses. Après un petit moment de silence, sa voix se faisait entendre. « -Je bouge quand je dors et j’espère que tu ne ronfles pas.» Il n’avait pas l’intention de dormir tout de suite, mais il voulait juste se poser et la sentir contre lui. Il aimait le contact de sa peau sur la sienne. Un de ses mains remontait pour passer dans sa chevelure qu’il entreprenait de caresser lentement, ses yeux se fermaient alors qu’il ne cessait de caresser tendrement son corps. « -De toute façon, je ne veux plus que tu travailles pour moi. J’aurais finir par te renvoyer. Je n’ai pas envie que tu danses pour d'autres.» Une sorte d’aveu? C’était en quelque sorte sa réponse. Il ne voulait plus voir Ally se dénuder pour les hommes qui rêvaient de la mettre dans son lit. Si elle dansait, c’était pour lui simplement.
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| Sujet: Re: Let the rain wash away all the pain of yesterday [Wayne] Jeu 24 Mai - 13:33 | |
| Ally n’était pas aveugle, elle voyait parfaitement qu’il était quelque peu mal à l’aise face à ses paroles. Ce qui la tuait, c’est qu’elle n’en connaissait pas la raison. Elle ne savait pas ce qui se passait à l’intérieur de son esprit. Et, plus elle voyait sa mine défaite, plus elle continuait de parler afin de lui arracher un sourire. Et, plus elle le consolait, plus il paraissait soucieux. Elle n’aimait pas le voir aussi sombre. Elle le préférait souriant et sûr de lui. Ce qu’il n’était plus. Elle avait la désagréable impression que tout était de sa faute. Elle n’avait pas su tenir sa langue et, à cause d’elle, il avait tué un homme de sang froid. Au moment où elle s’arrêta de parler, il lui répondit. Une phrase anodine qui, aux yeux d’Ally, apparaissait pourtant comme mystérieuse. Est-ce qu’il essayait de sous-entendre quelque chose ? Quoiqu’il en soit, si c’était le cas, elle ne comprit pas l’allusion. Elle fronça les sourcils. « J’aime ce que tu me laisses voir. Le reste, tu me le feras découvrir quand tu en auras envie » Elle lui sourit. Elle n’était pas pressée. Pour l’instant, elle voulait juste apprendre à le connaître petit à petit. Elle ne voulait rien précipiter. Même si elle avait des sentiments pour lui, elle n’était pas du genre à se jeter corps perdu dans une relation sur un coup de tête. Elle avait de toute façon encore trop de problèmes financiers et personnels pour pouvoir se consacrer entièrement à une relation. Elle vivait au jour le jour ; elle verrait bien ce qui arriverait. Toutefois, même si elle voulait prendre son temps, elle ne put s’empêcher de lui avouer avoir des sentiments pour lui. C’était sorti tout seul, sans qu’elle ne le prévoie. Certes, ce n’était pas comme si c’était une grande surprise mais quand même… Elle se sentait horriblement mal à l’aise. Afin de lui éviter toute réponse, elle l’embrassa et lui demanda simplement de rester chez elle. Après ce qu’elle venait de dire, sa réponse signifierait beaucoup de choses. Après tout, rien ne l’empêchait de partir sous-entendant ainsi qu’il n’en avait rien à foutre d’elle. Heureusement, il consentit à rester. Elle arbora un sourire en coin. Le fait qu’il reste chez elle était déjà un signe positif. Il ne lui en voulait pas d’être la cause du meurtre et, en plus, il n’était pas complètement indifférent à son égard. La soirée se finissait beaucoup mieux que la manière dont elle avait commencé. Étant donné que les choses étaient mises à plat, elle l’entraîna dans sa chambre et commença à le masser. Des gestes tendres qu’elle avait envie de lui manifester. Des gestes tendres qui contrastaient avec leurs ébats habituels.
Elle appuyait avec habileté sur les endroits qui étaient trop tendus. Elle aimait prendre soin des autres, elle avait toujours été comme ça. Tout en laissant glisser ses mains le long de ses épaules, son esprit se vidait. Elle ne pensait plus à rien. Elle était bien tout simplement. Elle n’avait même pas envie de parler, juste de rester dans cette position. Le voir retirer sa chemise la fit revenir sur terre. Il se mit en boxer et entreprit de la déshabiller elle aussi. Elle l’aida dans ses gestes. Elle n’était pas du genre pudique. Vu tous les hommes devant lesquels elle s’était retrouvée nue, l’être aurait été un peu contre nature. Elle se glissa sous la couette, se coucha sur lui et se glissa par la même occasion entre ses bras. Automatiquement, elle posa sa tête contre son torse. Elle resta immobile et ferma les yeux. Le moment était parfait. Sentir des caresses sur son dos l’apaisait. Elle se décontractait, profitant simplement de sa présence. Elle rit en l’écoutant parler. « Ce sera à toi de me le dire demain matin si je ronfle. A ce propos, demain … pars pas comme un voleur s’il te plait. On est assez grand pour être au dessus de tout ça » lui demanda-t-elle en lui caressant les cheveux. Elle détestait les hommes qui partaient sans un mot au petit matin. Sans doute parce que c’était exactement ce qu’elle faisait quand des hommes payaient pour coucher avec elle. Si Wayne agissait de la sorte, cela voudrait tout simplement dire qu’il la considérait comme n’importe quelle autre femme, ce qu’elle n’était pas prête à accepter. Il finit par lui avouer qu’il n’aimait pas qu’elle danse pour d’autres. Mine de rien, cette confidence la toucha. Elle se laissa tomber sur le côté, sa tête toujours posée sur ton torse qu’elle se mit à lui caresser doucement. « Si tu veux l’exclusivité, il va falloir que tu te montres très convainquant. Je suis très demandée tu sais » dit-elle d’un ton joueur. Cependant, à ce moment, des milliers de pensées envahirent son esprit. Il allait falloir qu’elle se trouve un nouveau travail. Où, c’était la question. Si elle n’en trouvait pas un rapidement, elle ne parviendrait plus à rembourser ses dettes. « Blague à part, j’aimais bien que tu sois mon patron et que tu me donnes des ordres. Maintenant, il va falloir que je cherche autre chose. Je sais pas sur qui je vais tomber. Il me faut un travail bien payé. J’avais pensé hôtesse dans un casino mais je sais pas si je ferais l’affaire » Peut-être que lui connaissait quelqu’un qui pourrait l’aider ? En tous cas, ça ne coûtait rien de demander. « Si je suis prise, j’espère que tu viendras me voir de temps en temps. Je pourrais t’accueillir comme il se doit et te charmer pour que tu dépenses tout ton argent » Elle émit un petit rire et le regarda, un grand sourire aux lèvres. Elle aimait bien le taquiner et être avec lui, tout simplement.
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| | | Scarlett Moriartyadmin • beg me, look at me, pay for me
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| Sujet: Re: Let the rain wash away all the pain of yesterday [Wayne] Mer 6 Juin - 2:26 | |
| Il avait fait beaucoup de choses pour elle et il n’était pas encore apte à le comprendre. Il se doutait que quelque chose n’allait pas rond. Wayne se doutait qu’elle n’était plus la simple danseuse qu’elle avait toujours été pour lui. Les nombreux moments passés avec elle l’avaient lié à la jeune blonde sans qu’il ne s’en rende vraiment compte. Le temps qu’ils avaient passé dans la demeure du brun avait lentement renforcé leur lien et quand bien même il aurait envie de fuir la situation, une partie avait bel et bien envie de rester. Ce qu’il avait fait ce soir avait été incontrôlable et il avait longuement hésité entre rentrer chez lui et rester avec elle. Pourtant ce soir il avait besoin d’être avec elle. Cette fois, c’est lui qui avait besoin de se faire rassurer, mais il n’allait pas lui faire pas de ça. Elle était là. Elle faisait du bien qu’elle pouvait pour le faire redescendre sur terre et ça n’avait rien de facile. Ses pensées allaient dans tous les sens alors qu’il finissait par aboutir dans la chambre de la jeune femme. Wayne tentait de lui avouer qu’il n’avait rien de bon à lui offrir et que sa vie était emplie de vices dont elle n’avait simplement pas conscience. Il ne voulait pas qu’elle le prenne pour un salaud complètement vide du moindre sentiment, mais c’est ce qu’il était en quelque sorte. Il voulait qu’elle soit loin de lui, pour ne pas lui causer de mal ou une déception trop grande si elle venait à en savoir trop à son sujet.
Il se posait dans le lit après avoir pris soin de retirer une partie de ses vêtements. Nombre de fois ils avaient eu des relations ensemble et elle devait connaître son corps comme il pouvait connaître le sien. Il l’aidait à retirer ses vêtements, appréciant le contact de sa peau nue contre la sienne et attirait la jeune femme sur lui pour laisser ses mains se placer dans son dos. C’est surement la première fois qu’un contact de la sorte prenait place entre eux. Rien de sexuel. Il avait juste besoin de sentir la jeune femme contre lui. Une de ses mains s’activait à lui donner une lente caresse, pensant lentement le long de son dos, dans le creux de ses reins, pour remonter doucement vers ses épaules. Il fermait les yeux un moment, profitant de la sensation de sa peau sous ses doigts. C’était étrange. Lui qui ne s’était jamais vu de la sorte avec une femme. Une envie de partir le prenait, mais la voix de la jeune femme le ramenait à la réalité et les quelques mots eurent le don de faire sourire Wayne. « -Je n’ai pas l’habitude de rester dans le lit d’une femme le matin, mais je pense que je peux bien faire un effort.» Il disait cela en blague, quoique c’était vrai en partie. Il avait l’habitude de partir dans la matinée, avant que la jeune femme n’ouvre ses yeux et il partait sans donner de nouvelle. Il laissait le corps de la jeune femme bouger, pour qu’elle se retrouve sur le flanc à côté de lui. Une de ses mains bougeait pour se poser derrière sa tête alors que l’autre vagabondait sur la peau de la demoiselle. Son regard était accroché au plafond. Il l’écoutait, mais restait particulièrement pensif. Comme s’il ne pouvait pas être complètement avec elle. Beaucoup de chose en tête. Un sourire passait vaguement sur ses lèvres alors qu’il laissait sa main dans le dos de la demoiselle pour parler. « -Je suis convaincant. Il me semble que tu as pu le remarquer très souvent et j’aime que les belles choses me soient exclusives ou les personnes que j’apprécie.» Il n’allait pas lui dire qu’il l’aimait. Il n’en était pas certain lui-même et se passer la corde au cou n’était pas quelque chose qui lui faisait envie.
Ses yeux se fermaient une nouvelle fois. Mine de rien, il se sentait épuisé, nerveux et encore sous le choc par ce qui s’était produit un instant plus tôt. Il se sentait vide et trop plein en même temps. Il n’avait pas la moindre idée de ce qu’il avait envie de faire et le sommeil engourdissait un peu ses membres. Il était pourtant apte à écouter ce que la blonde était en train de lui dire. Il laissait ses doigts posés contre sa peau. « -Pourquoi tu ne ferais pas l’affaire? Tu es parfaite. J’aimais t’avoir avec moi au club. Je pourrais te donner un poste plus honorable non? Tu ne danseras plus et tu ne feras pas affaire avec les clients et je pourrai encore te donner des ordres.» Un sourire passait une nouvelle fois sur ses lèvres. Il était sérieux. Il avait besoin de quelqu’un pour l’aider. Le club devenait de plus en plus gros et Ally était la seule personne à qui il faisait réellement confiance. Il suffisait qu’il mette à l’écart et en sécurité ce qui concernait ses petites affaires illégales. De toute façon, elles l’étaient déjà. « -À moins que tu veuilles à tout prix changer de patron. Juste que. Je ne sais pas. Tu fais du bon travail.» Il ne savait pas comment lui dire qu’il avait envie qu’il reste. Lui et les mièvreries, ça n’allait pas du tout ensemble. Elle n’était pas avec un homme bien, ni romantique, ni tendre, quoiqu’il l’était en ce moment, mais pour combien de temps. Il n’était pas un homme à être en couple. Sa voix se faisait de moins en moins forte. Peut-être que le sommeil était en train de gagner sur tout le malaise et les questions qui prenaient place en lui. À voir s’il allait être encore là demain matin. C’est à suivre.
- Spoiler:
je me suis dis que j'allais le clore. J'ai eu des idées en écrivant. On parlera sur msn baby. On refera un rp après tes examens !
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| Sujet: Re: Let the rain wash away all the pain of yesterday [Wayne] | |
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| | | | Let the rain wash away all the pain of yesterday [Wayne] | |
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