▻ Manies et habitudes
Adore porter de la belle lingerie • Est totalement nymphomane • Est schizophrène depuis l’âge de 14 ans • Met toujours de la crème hydratante au lilas • A un parfum special pour sa partie intime • A un bracelet qu’elle change de poignet suivant si elle est Liliana ou Lili • Ne sort jamais sans sa bombe lacrymogène • A une peur panique des chiens • Adore ses yeux • Refuse de couper ses cheveux avec lesquels elle joue beaucoup • A une centaine de vernis différents • Ne parle jamais d’elle • Aime dominer • Est très maniaque chez elle, limite trop • Adore relever de nouveau défis • Vérifie toujours deux fois que sa porte est fermée • Possède deux personnalités complètement à l’opposé • A peur du noir • Ne boit que de la tequila et jamais un autre alcool • Est alcoolique • Timide • Est très gourmande • Possède une boite à malice avec pleins de jouets et d’accessoires sexuels qu’elle appelle la Boite de Pandore • A une pomme de douche vibromasseur • A toujours des capotes sur elle • A un calepin où elle marque le nom de ses clients • Adore surprendre • Peut être une vraie peste • Ne retournerai à sa vie pour rien au monde • Est dealeuse mais ne touche pas à la drogue et rarement au cigarette • Est lunatique, voir bipolaire • Elle a toujours un calepin pour "communiquer" avec sa double personnalité.

▻ Votre dépendance
Liliana est devenue une nymphomane accro au sexe quand elle avait 14 ans grâce, ou plutôt, a cause d’un évènement pourtant tragique. Quand son beau-père à commencé à lui faire des attouchements, puis à la violer quotidiennement. Elle était vierge, et ne pouvait rien dire sinon il l’a tuerait et vu que sa mère était gravement malade, elle ne pouvait pas la laisser. Alors elle a encaissé, et c’est de là que c’est venu. Son beau-père l’a violait quotidiennement mais faisait aussi participer ses amis pédophile, se transformant souvent en tournante. Pour se protéger, Liliana s’est enfermée dans un monde et s’est créer une deuxième personnalité, Lili. Cette dernière se manifestait toujours pendant les viols et donnait ce que ces pourritures attendaient, une pute. Protégeant ainsi le mental de Liliana a défaut de son corps. Depuis elle valse entre deux addictions même si celle du sexe est plus forte, Lili étant devenu la personnalité la plus forte et imposante. Mais Liliana a une addiction pour l’alcool, lui permettant de palier sa timidité et d’oublier qu’hier elle a du s’envoyer en l’air avec la moitié de la ville à cause de sa double personnalité. Welcome in my world !

On ne peut pas vraiment dire que Liliana partait déjà bien dans la vie. Autant il y a des personnes qui naissent sous une bonne étoile, autant il y en a qui sont nés directement dans la merde, emplissant leurs poumons et leur pourrissant la vie jusqu'à ce qu’ils finissent enfin par connaître la douce délivrance de la mort. Liliana faisait partie de la seconde catégorie. Sa mère était une toxicomane qui se prostituait pour gagner des sous, de quoi acheter sa dose quotidienne, et bien évidemment elle ne se protégeait pas durant ses rapports. Les types qui l’a baisait pour se vider mais aussi pour son physique plus qu’avantageux ne prenaient pas vraiment la peine de mettre une capote, de toute façon ils étaient déjà tous condamné avec leurs seringues pleine de merde. Ce qui devait arriver, arriva bien évidemment, la mère de Liliana, qui s’appelle accessoirement Sophia, est tombée enceinte, elle n’avait que 21 ans. Mais étrangement cette nouvelle l’a beaucoup changé et elle a commencé à ralentir sur la drogue, elle a même trouvé un travail, minable certes, mais un travail quand même, et le must du must, elle a trouvé un mari qui voulait bien d’elle. La petite famille a emménagé dans un studio de Floride, Sophia a suivit un cure de désintoxication pour essayer de donner une chance au bébé de ne pas naître toxico a son tour, même si les chances étaient maintenant minimes. Quand à son nouveau mari, Franck, il était cadre dans une boîte de la côté, pas un travail très glorieux mais qui payait relativement bien. Liliana pointa le bout de son joli nez un certain 8 Mai 1988. Elle était surement l’un des plus beaux bébés qu’il est été donné de voir, et en grandissant la plus belle petite fille. Elle avait de longs cheveux bouclés lui arrivant au milieu du dos, finissant en de lourdes boucles parfaitement dessinés. Sa peau laiteuse semblait ne contenir aucune imperfection, quand a ses yeux, ils représentaient les deux joyeux de son visage, deux magnifiques saphirs brillant et ombragés par de longs cils noirs. Elle semblait tout droit sortit d’un magazine de mode pour enfant. Et plus les années passèrent, et plus elle devenait magnifique avec ses formes de femme qui venaient souligner sa silhouette fine et ses jambes interminables. Elle était la grande fierté de Sophia, son petit trésor, quand à Franck, il aimait se venter que sa belle fille était pure comme son physique. Tout semblait s’arranger non ? Ouai, ça commence toujours comme ça en général. Vous savez dans les contes de fées c’est pareil, la princesse minable qui rencontre un beau prince, ils se marient, eurent beaucoup d’enfants et blabla, seulement on ne voit jamais ce qui se passe après le « ils vécurent heureux », ba maintenant si, et le moins qu’on puisse dire c’est que le conte de fée ne durera pas longtemps.

Sophia était devenue une mère exemplaire, ne touchant plus à la drogue et mettant sa fille au centre de ses priorités, mais apparemment elle était destinée à mourir jeune et dans d’affreuses souffrances, comme une vengeance de la vie sur son passé de débauche. Après tout l’arrivée de Liliana était un accident, peut être ne devait-elle pas être là et sa mère morte d’une overdose au fond d’un caniveau. Quoi qu’il en soit, la vie voulait reprendre ses droits et Sophia apprit lors d’une visite de routine chez le médecin qu’elle était atteinte d’une leucémie au stade avancé, ayant devait elle un an à vivre tout au plus. La famille s’effondra sous cette nouvelle, surtout Liliana qui voyait sa mère comme un modèle de perfection. Du haut de ses 14 ans, elle avait acquis une maturité impressionnante et encaissait le coup, voulant maintenant juste une chose, accompagnée sa mère jusqu'à à la fin. Mais son beau-père ne le vit pas de cet œil. Depuis qu’elle avait développé ses nouvelles formes de femme, Franck voyait sa belle-fille d’une nouvelle façon, il l’a voyait comme la femme la plus belle au monde, la plus désirable mais aussi comme une allumeuse. Tous ses gestes étaient là pour l’allumer, il le savait. Et puis les jeunes filles l’avaient toujours excité au plus haut point, leurs formes présentes mais pas encore totalement développé, leurs puretés, leurs regards si innocents, leurs corps au goût exquis et surtout l’étroitesse de leurs intimités, elles le rendaient dingue, et sa belle-fille encore plus que les autres. Et puis il voulait goûter à sa pureté avant qu’un de ces ados pré pubère ne vienne lui ravir, elle était à lui, rien qu’à lui. La maladie ayant affaiblit sa femme qui maintenant ne pouvait plus bouger de son lit, Franck avait le champ libre pour laisser libre court à ses pulsions. Un soir, il pénétra dans la chambre de Liliana. Cette dernière dormait à point fermé, n’ayant nullement peur du prédateur qui se trouvait dans la maison qu’elle. Elle était couchée sur le dos, en débardeur et petite culotte. Elle se baladait souvent dans cette tenue, ne voyant pas le mal, après tout elle considérait Franck comme son père vu qu’il l’avait élevé et puis elle se considérait encore comme une enfant et non une adulte possédant un quelconque sex appeal. L’homme avait rêvé de ce moment si souvent en se masturbant tout les matins dans la douche, le visage et le corps de sa belle-fille fichés derrière ses paupières. Il se posta à côté du lit et regarda sa tentation dormir paisiblement, son tee-shirt légèrement relevé laissant apparaître la peau clair et lisse de son ventre plat. Ne tenant plus, il y glissa ses doigts impressionnés par la chaleur que son corps dégageait, puis sa main glissa lentement vers le bas, relevant la couverture pour laisser voir sa petite culotte rose. Liliana ouvrit les yeux au moment où son beau-père passa ses doigts sur son intimité à travers le tissu, plaquant sa main dessus sans aucune douceur. Les yeux de la jeune fille s’agrandirent avec terreur, elle était peut être vierge mais connaissait très bien ce genre de chose et elle ouvrit pour crier, mais son beau père l’en empêcha en plaqua sa main libre sur sa bouche tandis que de l’autre il torturait sa perle à travers le tissu de sa culotte, lui faisant mal et ne lui procurant aucun plaisir. Là il se pencha sur elle, son visage très près du sien. Il pouvait voir la terreur dans son regard si beau, si pur et les larmes commencer à glisser sur ses joues, se perdant sur sa propre main. Il l’a menaça de la tuer si jamais elle criait, et sa mère se retrouverait toute seule alors. Automatiquement, Liliana se ravisa, elle ne voulait pas que sa mère parte toute seule, elle voulait être là et si pour ça elle devait endurer les attouchements de son beau père, elle allait le faire. Au début ce n’était que ça, des attouchements. Il venait tout les jours dans sa chambre et s’amusait à découvrir son corps avec ses doigts, sa bouche, sa langue. Forçant des chemins qui n’avaient jamais été franchit avant. Chaque fois, Liliana se taisait et endurait ça en fermant les yeux, ne ressentant jamais de plaisir, juste de la honte et de la douleur.

Et un soir Franck ne tint plus. cela faisait des semaines qu’il apprenait les courbes de sa belle-fille par cœur dans le plus grand secret, qu’il goutait sa peau, ses lèvres, mais il voulait plus, il voulait la prendre comme la salope qu’elle était, la même que sa mère. Ce soir là il ne se fit pas patient, bien au contraire, il avait trop envie d’elle. Liliana le sentit de suite et prit peur mais il l’a plaqua contre le matelas, la frappant plusieurs fois au visage pour qu’elle arrête de bouger, l’étranglant même pour lui faire comprendre qu’il ne plaisantait pas avec sa menace de mort. C’est avec un plaisir non dissimulé qu’il arracha littéralement la culotte de sa belle fille, cette dernière en larme et tremblante se retenait de ne pas hurler et partir en courant, elle savait que ça allait être pire que les autres fois, bien plus douloureux et qu’elle ne sortirait pas indemne. Mais elle était sonnée, les coups que lui avait portés Franck l’avait un peu assommé et c’était tant mieux. Il l’a regarda comme un animal, même avec sa lèvre et son nez en sang elle restait magnifique. Ni une ni deux il défit sa ceinture s’en servit pour lui attacher les mains aux barreaux de son lit, puis retira son pantalon et son caleçon. Son érection lui faisait mal tellement elle était à son maximum, cette fille le rendait complètement dingue. Il lui souleva les jambes pour caler ses bras sous ses genoux et l’a força sans aucune douceur avec un coup de rein de puissant, lui arrachant un hurlement de douleur. Après un regard d’avertissement, elle se mordit la lèvre à sang et encaissa les coups de reins frénétiques et désordonnés de son beau père qui l’a labourait avec force et violent, brisant ses barrières, lui volant sa pureté et son innocence à jamais.

Cette nuit là fut la première d’une longue série. Franck se rendit tout les soirs dans la chambre de sa belle fille pour la violer et la frapper. Chaque fois il y allait un peu plus fort, l’a pilonnant de coups de reins brutaux jusqu'à la faire saigner, il s’amusa à la prendre dans toutes les positions et par tout les orifices qu’elle présentait, ne se souciant jamais de lui faire mal ou non, au contraire, il adorait l’entendre chouiner en mordant son oreiller sous l’assaut de ses coups de bassin. Il adorait voir la terreur dans son regard quand il ouvrait la porte, commençant déjà à défaire son pantalon. Il adorait la voir retirer sa culotte avec soumission et écarter les cuisses comme une bonne petite chienne, et il adorait tellement l’étroitesse de son intimité et la chaleur de sa bouche. Elle pouvait se montrer très douer avec sa langue la petite. Le calvaire de Liliana dura des mois, sa mère le vit bien évidemment mais son état elle ne pouvait rien faire à part soutenir sa fille. L’entendre tout les soirs gémir dans sa chambre, entendre son lit grincer à chacun des assauts de son mari, voir le visage de sa famille couvert de bleu, ses poignets violets à cause de la ceinture et la voir boiter à cause des assauts trop violents de son mari, c’était pire que l’enfer, et se dire qu’elle allait l’a laissé là toute seule avec son monstre était un supplice. Mais Liliana tint bon et ne flancha pas, elle continua de s’occuper de sa mère, d’aller à l’école, de s’occuper de la maison et d’écarter les cuisses en silence pour son pervers de beau père. Bien sûr les marques qu’elle avait sur le visage ne trompaient personne, mais les gens n’aiment pas se mêler des affaires des autres, on voit mais on ferme les yeux. Liliana n’était plus qu’un fantôme, un corps marchant mais avec plus aucune âme à l’intérieur, elle faisait tout ce qu’elle avait à faire comme un robot mais ne vivait plus, elle était complètement vide. Elle était plus qu’une magnifique poupée sans rien dedans. Et ça ne s’arrêta pas là, sinon ce n’était pas drôle n’est-ce pas ? Si on pouvait accorder une qualité à Franck, c’est qu’il était très généreux, oh oui très généreux. Depuis qu’il est enfant on lui a toujours apprit à partager ses jouets, même ses préférés, alors c’est avec naturel et plaisir qu’il prêta son nouveau jouet à ses amis proches, ça lui permettait de se faire du frique et puis tant qu’ils lui rendaient intacts, pourquoi ne pas l’a prêté ? Après tout elle aime ça, se faire prendre de toutes parts, elle adore ça. Liliana commença à passer de main en main, connaissant des vices qu’elle n’avait même jamais imaginé. Son beau père pouvait presque passer pour un agneau à côté de certains de ses amis qui ne se privèrent pas de l’attacher, de la brûler, de la fouetter, de la frapper ou autre pour leur plaisir, se servant parfois d’autres choses que de leur pénis pour la baiser. Et Liliana obéissait, ou plutôt encaissait, toujours. Elle se retrouvait souvent au milieu de tournante, son beau-père aimait organiser une petite soirée comme ça une fois par semaine, Liliana étant bien sûr la star de la soirée. Chaque jour elle s’enfonçait un peu plus, mourrait à petit feux, elle aurait surement mit fins à ses jours si sa mère n’avait pas autant besoin d’elle. Mais petit à petit quelque chose se passa dans sa tête, comme une rupture. Elle se brisa, littéralement et coupa net avec la réalité, sans savoir que pendant ce temps là, elle changeait. Chaque soir, cette rutpure devenait de plus en plus longue, jusqu’au jour où elle ne se rappela même pas du passage de son beau-père dans sa chambre. Elle se réveilla juste dans son lit, nue et couverte de marque, son intimité douloureuse ce qui trahissait le rapport mais elle ne se souvenait de rien. Son beau-père en revanche avait l’air ravit, encore plus comblé que d’habitude et l’a félicita d’avoir enfin accepté les règles du jeu. Elle n’avait rien accepté du tout. Ce fut comme ça pendant quelque temps, chaque fois qu’elle allait être violée, elle perdait la connexion avec la réalité et se réveillait le lendemain. Avec toujours les mêmes commentaires de ses violeurs, soit qu’elle était une bonne petite salope, qu’enfin elle avait arrêté de chouiner et blabla, au début elle pensa bien sûr qu’elle s’évanouissait sous la douleur et la honte, mais ses violeurs semblaient à chaque fois lui parler d’une fille qui était une vraie cochonne, et qui était elle en plus. Et c’est comme ça que petit à petit elle se rendit compte qu’elle avait développé une deuxième personnalité, chargé de la protéger dans ces moments là. Elle l’appela Lilie. Elle ne savait pas vraiment comme ça fonctionnait mais d’après ce qu’elle avait remarqué, Lilie se manifestait toujours quand elle avait des ennuies, elle était son exacte opposée, une fille sûr d’elle que rien effraie mais surtout complètement accro au sexe et la violence. Elle n’appréciait pas forcément, mais elle préférait préserver son esprit à défaut de son corps déjà bien meurtrie. Elle reprenait ainsi goût à la vie, recommençait à sourire, a se sentir bien vu qu’elle ne subissait plus directement les assauts des pervers de son entourage.

Liliana et Lilie prirent l’habitude de communiquer grâce à un journal, chacune d’elle écrivait des choses à l’encontre de l’autre, par exemple ce qu’elles avaient fait la veille. En général les mots de Lilie étaient toujours les mêmes soit des parties de jambes en l’air avec la moitié du quartier. Pour elle, ça ne s’apparentait plus à des viols, elle adorait le sexe, sous toutes ces formes. Liliana découvrit bien vite que son double était complètement nymphomane, surement le résultat de tout les viols qu’elle avait subit, après elle ne saurait pas trop expliquer par A + B ce qui s’est passé dans sa tête, pourquoi Lilie est apparut, comment et surtout ce qui a fait qu’elle est devenue si différente de Liliana. Ce qu’elle sait en revanche c’est que sans elle, elle n’aurait pas pu continuer comme ça, Lilie l’a sauvé. Malheureusement Sophie, la mère de Liliana finit par succomber à sa maladie et s’éteignit quand elle eut 16 ans, tenant déjà plus que ce que les médecins lui avaient dit. Enterrer sa mère si jeune n’est pas quelque chose d’anodin, c’est une blessure qui ne se refermera jamais. Franck quand a lui continua de venir dans sa chambre mais se trouva toujours face à Lilie qui lui faisait des choses que Liliana refusait de savoir. Elle a mit les choses au clair avec Lilie dès le début, qu’elle baise à droite à gauche passe encore, même si c’est son corps qui est utilisé, mais elle ne veut en revanche rien savoir de ce qu’elle fait comme pratique, seulement les noms des personnes avec qui elle couche, pour être sûr de ne pas les croiser après. A la mort de sa mère, Franck aurait du avoir la garde mais n’ayant plus rien pour la retenir, Liliana s’émancipa et alla vivre chez sa tante en Californie qui n’était en rien au courant de ce que son beau frère avait fait subir à sa nièce. Quand elle l’apprit, elle fit en sorte que Franck et ses amis pédophile se retrouvent en prison pour servir eux même de putes aux tolards de la prison, et oui, les pédophiles ne sont pas vraiment apprécié en taule. Liliana se reconstruisit petit à petit, même si maintenant que les viols étaient terminés, elle aurait voulu que Lilie disparaisse. Elle n’était pas comme elle et même si elle ne l’a remercierait jamais assez pour ce qu’elle a fait, elle ne voulait pas partager son corps avec une nymphomane complètement accro au sexe. Mais malheureusement, c’était comme pisser dans un violon. Lilie n’en faisait qu’a sa tête et se servait de son physique magnifique pour baiser la moitié de la ville jusqu'à ce que sa tante l’a mette à la porte à ses dis huit ans. C’est là que la relation entre Liliana et Lilie devint conflictuel, chacune voulant prendre l’ascendant sur l’autre. Malheureusement, Lilie avait un tempérament plus fort que celui de Liliana et elle réussit à devenir la personnalité principale, c’est comme ça qu’elle débarqua à Tijuana. Quel meilleur endroit pour une fille comme elle, accro au sexe et a la fête, refusant de se prendre la tête et de vivre dans un monde de compromit. Très vite grâce à son physique et a sa réputation elle parvint à se faire des contacts dans le milieu de la nuit et devint dealeuse de drogue, ça rapportait bien et ne lui demandait pas trop d’effort, même si elle-même n’en prenait pas, elle n’aimait pas trop. Et pour couronner le tout, elle aimait de temps en temps se prostituer pour assouvir ses envies de sexe sauvage tout en gagnant de l’argent, autant qu’il y est un profit dans le plaisir non ? Liliana n’eut pas le choix de suivre et se retrouva dans une ville qu’elle ne connaissait pas, où tout n’était que vices, elle détestait cet endroit, elle n’y avait pas sa place et tomba vite dans l’alcool, la tequila plus précisément, la seule chose qui lui donnait un semblant de contrôle. Lilie après lui avoir sauvé la vie, était en train de lui bousiller de nouveau en se servant de son corps comme d’un objet. Je vous assurer que se réveiller le matin à côté de parfait(e)s inconnu(e)s étaient tout sauf agréable pour une fille réservée et timide comme elle mais maintenant c’était Lilie qui contrôlait. Elle trouva quand même un job de serveuse pour tenter de se donner une vie sociale à elle mais une fois sur deux elle n’allait pas travailler à cause de Lilie qui refusait de bosser comme serveuse, voir tout court. Heureusement que son patron n’en a rien à foutre, quand elle est là, il l’a paye, quand elle n’est pas là, tant pis. Et puis il l’aime bien, Lilie lui a déjà fait passer de bons moments derrière le bar, comme a la moitié de la ville d’ailleurs et c’était loin d’être terminé.