Dans mon pays il y a deux raisons pour qu'un homme soit à genoux : soit il fait sa demande, soit il vient de se faire tirer dessus.
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Sujet: Dans mon pays il y a deux raisons pour qu'un homme soit à genoux : soit il fait sa demande, soit il vient de se faire tirer dessus. Mer 29 Aoû - 17:46
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▻ Nom : Saez▻ Prénom : Camilla Elsa, mais elle se fait appeler Opium à cause de son métier. Âge : dix-neuf longues années▻ Date et lieu de naissance : 12 mai dans la grande banlieue de Mexico▻ Métier : Désabillheuse pro ? danseuse dans une boîte de streap. ▻ Orientation sexuelle : venez comme vous êtes ! sera sa réponse si vous lui demandez pendant son travail. Sinon, elle préfère les hommes, même si ça pourrait changer. Donc plutôt bisexuelle. ▻ Statut social : célibataire▻ À Tijuana depuis : trop longtemps ....▻ Caractère : pendant le boulot : joueuse, aguicheuse, souriante, bordélique, provocante, bavarde hors du boulot : loufoque, destructrice, introvertie, amicale ▻ Groupe : it's another manic day▻ Célébrité : Kristen Stewart▻ Crédit : 1er image : pellick (tumblr), 2ème : thewayouare(tumblr] et 3ème toujours tumblr.
Little more about you
▻ Manies et habitudes se tripoter les cheveux (en particulier remette des mèches derrières ses oreilles) ; fait craquer, trop souvent, ses articulations ; tout les jours elle fait une petite séance d'étirmant ; elle est obligée de regarder la télé pour s'endormir ; doit obligatoirement écouter au moins un quart d'heure de musique par jour sinon c'est une mauvaise journée ; quand elle déprime et qu'elle doit allée au boulot elle se motive en écoutant la deuxième playlist de son MP3 ; elle a bien essayé d'agencer et ranger correctement ses affaires mais irrémédiablement ça redevient le bordel en quelques jours, alors elle a renoncé ; quand elle se repose ou dort elle est toujours dans des positions très étranges ce qui va de paire avec un emberlificotement des draps et couettes ; son comportement est plus brute lorsqu'elle bosse, plus agressive, plus joueuse en même temps c'est ce que demande ce travail ! ; elle a des périodes où elle a quasiment jamais faim et d'autres où à l'inverse la faim la tiraille en permanence ; elle ne parle jamais de son passé/sa famille que ce soit au boulot ou ailleurs.
▻ Votre dépendance Techniquement je suis accro à rien. Pourtant je travail dans un cercle assez particulier, mais nombreuses sont celles qui exerce cette profession par nécessité et non par désir. J'admets, je suis accro aux séries, je pourrais passer des heures à en regarder, c'est chronophage comme quand on va sur internet. Oui, c'est ça mon addiction si je devais en choisir une, mais s'en est pas vraiment une puisque je peux décrocher. Donc, au bout du compte je ne suis dépendante à rien (à part peut être à l'autodestruction, p'têtre pour ça que j'en suis toujours au même point).
Behind the screen
▻ Pseudo : bubble gomme▻ Âge> : dix huit ans et toutes ses dents (enfin moins une)▻ Où avez-vous connu le forum ? : une amie me l'avais envoyé par mail, il est resté au chaud dans mes favoris et dès que j'ai vu qu'il renaissait de ses cendres je me suis précipitée.▻ Fréquence de connexion : 7j/7j▻ Un commentaire ? : félicitations et longues vie au forum
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<span class="pris"> Kristen Stewart </span> ▻ « Elsa Saez »
Dernière édition par C. Elsa Saez le Jeu 30 Aoû - 16:42, édité 2 fois
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Sujet: Re: Dans mon pays il y a deux raisons pour qu'un homme soit à genoux : soit il fait sa demande, soit il vient de se faire tirer dessus. Mer 29 Aoû - 17:46
My story « Demain est un autre jour ?! p'têtre que ce sera mieux ?! »
« bang bang, i shot you down. Bang, bang, my babe shot me down. » un souffle, un murmure, une voix tremblante, chevrotante, une preuve de vie. La douleur dominait, jouant avec cette poupée brune, la torturant, la dévorant, seule elle décidera quand ce jeu finirait. De la torture silencieuse. Les bribes de cette chanson ne faisaient que la maintenir éveillé. Impulsé par la volonté de ne pas sombrer une volonté primitive, un réflexe primaire de l’Homme. Elle se serait bien laissé emporter, la faucheuse aurait trouvé une victime consentante. Une faucheuse qui pour la demoiselle prenait la forme de la paix. L’espoir de paix, faire fuir son bourreau : la douleur.
Entourée de coton. Du coton, aussi doux, aussi moelleux, était inimaginable, une telle moelleusité, aaah. Du coton, partout, jamais elle ne s’était sentie aussi légère. La paix venait lui titillier les orteilles. Ses yeux luttaient pour ne pas plonger dans un noir indéfini. Le battement de ses paupieres, sa respiration, sa salivation étaient les seules choses qui continuaient à fonctionner. Le reste était comme bloquer. Incapable de bouger, incapable de parler/de crier. Du coton ; tellement confortable. D’atroces bruits lui parviennent, stridents, les lumières qui vont avec. « there’is a house where i feel at hooome » un souffle, une dernière phrase qui n’est plus qu’un murmure. Sa vue se dégrade, elle dit aurevoir, mentalement, elle fait ses adieux. Des bruits s’approchent, des voix. On lui parle, on la touche, mais rien ne sort de sa bouche. Elle ouvre la bouche mais rien n’en sort. A peine parvient elle à serrer un chouilla un doigt, un doigt appartenant à un urgentistes. Ils s’agitent autour d’elle, lui parle, mais pour elle ce n’est que des mots qui n’ont pas de sens, un brouhaha. Et tout bascule, les tènebres l’engloutissent. Son corps se relache ce qui n’est pas le cas de l’équipe d’urgentiste.
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Un fichu bruit, électronique, répétitif. Un bruit à vous rendre fou, car il est là et vous ne pouvez rien faire pour le faire taire. Dans ce cas, la seule façon de le faire taire serait de faire un arrêt cardiaque (là il montrait encore plus dans les aiguës) et ensuite il se calmerait, parce qu'elle serait mort. Cette option pour le faire taire est assez extrêmement, même extrême tout court. Heureusement, cette solution ne vint pas se loger dans son esprit. Il n'y avait pas de place, malgré un vide quasi complet. Une première, d'habitude c'est un vrai bazar pour ne pas dire bordel où pensées et réflexions en tout genre se baladent tranquillement et parfois combattent. Mais là, rien. Un rien qui cesse, à nouveau des petites pensées viennent peupler le vide. Les pensées les moins farfelues qu'elle eut, des pensées de survie. Il faut que je bouge, je ... c'est le noir, j'arrive pas, je ....
Rrrh cette fichue machine bip plus violament et régulièrement. Les pensées repartent, son esprit redevient vierge. Un infirmier se précipite, mais elle a déjà sombrer, à nouveau. Cette fois, dans ce noir complet elle a la sensation d'être plus consciente, de se balader dans l'ombre totale. Tatonant, apeurée, mais avancer ne change rien, elle a l'impression d'être toujours au même endroit.
Du bruit, de la musique trop forte, des lumières fortes et sombres par endroit. C'est certain, ça change du noir complet, des ténèbres qui l'avaient anglouti. Après une hésitation, elle relève les yeux pour faire face à son reflet. Arrrhhh !! C'est avec plaisir qu'elle poserait son regard ailleurs, mais faut bien se maquiller. Du noir pour le contour des yeux - pour approfondir le regard -, du gris claire pailleté en far à paupières, du mascara, du rouge à lèvres : bref la totale. Et enfin, elle put aller regarder ailleurs. En fait, p'têtre qu'en y réfléchissant, elle serait bien rester dans le noir.
Ce soir, elle est flic. Une flic au costume fort moulant et décolleté pour cette fonction. On l'interpel par un "ramène des ptites fesses cocotte", une collègues rayonnante et se flattant d'avoir fini son service. J'aimerais bien être à ta place. Allez .... on se lance, il parait que si on se lance le plus vite, ça finit plus vite. Foutaises !! Cette réflexion fou le camp, allant se réfugier dans son coin. Elle traverse un rideau, se retrouvant face aux lumières, une atmosphère tendue, étouffante par moment. La musique qui passe lui plaît bien, alors elle se concentre dessus. Son sourire semble déjà moins faux. Elle se déhanche, enlève sa veste qui la grattait tant ! Un corset apparaît, les flics ont ça sous leur uniforme ?! Nah, mademoiselle se déshabille pour vivre. C'est assez ironique de "jouer" une flic alors que les personnes de cette profession se feraient un plaisir de l'arrêter pour racolage.
Mais ici, tout est légal ?! n'est-ce pas ? Le patron le jure, croix bois croix de fer, si je mens je vais en enfer. De toute façon, il a déjà sa place réservée en enfer. Il est dans la salle d'ailleurs, avec ce sourire collé au visage qu'elle se ferait un plaisir d'aracher. Mais son regard se détourne pour se placer "dans le vide", pas envie de se concentrer sur quelqu'un, à quoi bon ?! Les vêtements sont tombés, la musique à cessé. Un numéro de plus, la soirée ne fait que commencer.
Quelques heures plus tard, cachée dans les coulisses, elle doit à nouveau faire face à son reflet. Elle est fatiguée et là, toutes les pensées négatives reviennent tel un ras de marrée. Elle resta sans bouger pendant plusieurs secondes. Une bille translucide glisse sur la joue droite, finissant son voyage à la naissance de son coup. Une larme, une de plus ou de moins versée ne changera pas grand chose, elle a déjà tellement versé. La douleur c'est calmée, mais elle est toujours là, me grignotant. Je me débrouille, je m'en sors plutôt bien, même si je me déshabille pour vivre ça me permets d'avoir au moins un train de vie plutôt confortable dans le sens où je devrais pas avoir de problèmes de billets, mais on sait jamais, ça se trouve une autre merde va s'écraser sur moi. Je suis née dans une famille pourrie, je me suis faite agressée il y a trois ans, ça m'a fait sombré dans le noir comme si le quotidien ne suffisait pas à me plomber, mais je suis revenue. Comme si la vie ne s'était pas assez amusée, qu'elle voulait encore que j'en bouffe. J'suis qu'une fille qui se déshabille pour vivre, devant affronter des hommes en manquant, obsédés. Il y a mieux comme vie, mais y a aussi pire. Oui pire, toutes les trois secondes quelqu'un meurt de faim, des pays sont en guerre... La liste s'allonge, c'est sa manière de relativiser : se dire qu'il y a des millions de personne qui vivent bien plus difficilement qu'elle.
Sa situation est assez simple, se déshabiller lui permet d'avoir un ptit appart avec une coloc, petit mais à leur image. Mais même en relativisant, la tristesse continue de s'emparer d'elle. D'autres petites billes glissent, mais une part d'elle se révolte. Allez, relève toi, bas toi... encore une fois, c'est un combat interne : une part d'elle est prête à couler quand l'autre veut qu'elle se batte. Mais se battre pourquoi ? pour cette vie sans importance. Tout ça pour ça ? A quoi bon ?!
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Dernière édition par C. Elsa Saez le Jeu 30 Aoû - 16:51, édité 8 fois
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Sujet: Re: Dans mon pays il y a deux raisons pour qu'un homme soit à genoux : soit il fait sa demande, soit il vient de se faire tirer dessus. Mer 29 Aoû - 17:47
Bienvenueeeeeeeeeeeeee
Super contente que tu ai décidé de prendre mon scénario, si tu as la moindre question, que ce soit pour le personnage ou tout autre chose, tu peux me faire signe ou remplir ma boîte de mp
Merci, merci, merci
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Sujet: Re: Dans mon pays il y a deux raisons pour qu'un homme soit à genoux : soit il fait sa demande, soit il vient de se faire tirer dessus. Mer 29 Aoû - 17:55
Sujet: Re: Dans mon pays il y a deux raisons pour qu'un homme soit à genoux : soit il fait sa demande, soit il vient de se faire tirer dessus. Mer 29 Aoû - 18:01
Bienv'nue à toi et bon courage pour ta fichette
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Sujet: Re: Dans mon pays il y a deux raisons pour qu'un homme soit à genoux : soit il fait sa demande, soit il vient de se faire tirer dessus. Mer 29 Aoû - 19:29
mercii jolie demoiselle
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Sujet: Re: Dans mon pays il y a deux raisons pour qu'un homme soit à genoux : soit il fait sa demande, soit il vient de se faire tirer dessus.
Dans mon pays il y a deux raisons pour qu'un homme soit à genoux : soit il fait sa demande, soit il vient de se faire tirer dessus.