▻ Manies et habitudes
Est très rancunier. Adore la nourriture industrielle (Mc Do etc...). N'a peur de rien et n'a aucun tabou. Petit rituel du réveil, une pause cigarette. Ne boit que très peu ou alors des alcools forts. Ne finit que rarement saoul. De même pour la drogue, peu de consommation si ce n'est avec ses futures victimes. Adore le rock, métal, trash etc... Tout ce qui est violent et qui arrache un tympan. Adore le sport de combat surtout le free fight. Aime les bagarres qui sont provoqué sans motif particulier. A un vice caché... Le meurtre. Exerce son métier d'infirmier car il lui a permit d'étudier le corps humain et donc, de tuer le plus lentement possible. Aime la fête, le monde et les gens, mais en apparence, car ça lui permet de repérer ses futures victimes. Est un des Serial Killer les plus recherché d'Amérique. Change régulièrement de ville pour ne pas éveiller les soupçons des autorités. Il tue depuis 7 ans à peut-près. Il a 80 meutres à son actif... Voire plus. Il ne compte plus. Trouve un plaisir perver limite sexuel dans le meurtre. Mais aime passer ses nuits avec des hommes ou des femmes au hasard. Et parfois les deux en même temps. A le tatouage d'un ange transpercé par un poignard sur la hanche droite.

▻ Votre dépendance
Je pense que j'ai toujours été comme ça. Je suis né dans une famille pauvre de New-York où ça hurlait nuit et jour. Notre quotidien c'était les bruits de balles et les cries des voisins. Mais je n'ai pas été malheureux, même si mon père était un salaud alcoolique ma mère m'a aimé et protégé comme elle le pouvait. Bref ! Je ne vais pas me plaindre je n'aime pas ça. Les gens qui se plaignent et qui supplient je les tue lentement. J'aime entendre leurs râles de souffrance, voir leurs joues baignés de larmes. Mais je ne suis pas fou non. Je suis même très intelligent, j'aime la souffrance c'est tout. J'aime le pouvoir, me dire que c'est moi qui décide de leur mort et surtout de comment elle va se dérouler. Si je vais arrêter ? Seigneur non ! Ma dépendance est trop forte, j'aime trop ça pour arrêter un jour ! Mais en revanche, je travaille seul. Déjà parce qu'il est rare de rencontrer quelqu'un qui se vante d'être un tueur, mais surtout car je ne partage pas mes jouets. Mais en aucun cas je voudrais me trouver une raison à mon addiction en jetant la faute sur mon enfance désastreuse dans la banlieue de New-York. Non ça n'a rien à voir avec ça, j'ai toujours aimé le meurtre, le sang et tout ce qui s'en rapproche de près ou de loin. Ne chercher pas à me comprendre, vous n'y arriverez pas.

Un coup de feu, et encore un autre avant le silence.C'est un rituel ici. Sous le bruit l'enfant vient de se réveiller et tremble de peur dans sa chambre. Il a l’impression qu'un jour ces coups seront pour lui, que ces balles le transperceront avant qu'il ne tombe raide mort par terre. Cet enfant c'est moi, Azazel Manech Priest. Drole contraste vous ne trouvez pas ? Azazel est le prénom d'un dés démons de l'enfer alors que Priest veut dire "prêtre" Oui mes parents ont de l'humour. Et ma mère est très croyante surtout. C'est mon cher et tendre père qui à voulu m’appeler comme ça. Avait - il deviné que sous mon visage d'ange je serais le pire démon que la terre allait porter ? Sûrement ! Peut-être est-ça qui l'a poussé à boire plus que de raison tout les soirs. Un verre puis un autre... Avant de finir la bouteille et d’appeler son fils pour qu'il aille lui en chercher une autre. Je ne saurais dire si j'ai été l’élément déclencheur de son addiction, et à vrai dire je m'en fou royalement. Bref ! Vous l'aurez compris j'ai grandit dans les quartiers miteux et pauvres de New-York. Ha! La ville qui ne dort jamais ! Mais chose que peux de gens savent, c'est que sous son air propre, New York porte une jolie culotte sale ! Et la saleté c'est nous, ceux qui peuplent les banlieue, les ghettos et qui donnent une mauvaise image. Nous sommes les taches de la ville. Un vieux proverbe dit "New York est la ville ou l'on se sent chez soi quand on vient de nulle part" Sauf que moi je n'ai jamais été chez moi. Enfermé dans un moule qui n'était pas le mien. Adolescent je n'avais pas d'ami et ce n'était pas plus mal, pourquoi jouer un rôle et paraître comme un pote sympas alors que je n'ai qu'une envie, c'est de les fracasser contre le mur le plus proche ? Alors mes plus jeunes années ont été rythmé par le grunge de Nirvana et le métal provoquant et blasphématoire de Marilyn Manson. Au grand dam de ma mère qui me suppliait pour que je ne me détourne pas de Dieu. Qu'elle blague ! Douce mère je suis voué aux enfers quoi qu'il arrive. Et je suis mon propre Dieu c'est déjà bien. Donc j'ai préféré étudier, lire et en apprendre tout au long de mon adolescence. A cette époque j'étais encore sage, un peu à part certes mais pas méchant pour un sous.
C'est à 18 ans que mon envie de tuer se fit ressentir. Heureusement pour moi j'étais jeune et j'ai réussie pendant des années à me retenir. Mon premier objectif fut de devenir infirmier pour connaitre le corps humain jusqu'au bout des doigts. Brillamment je décrocha mon diplôme, il fallait avouer que cela me passionné. Mes études durèrent 5 ans jusqu'à mes 23 ans donc. C'était à ce moment là que j'étais libre. Je pouvais enfin avoir ma vie. Ho certes j'avais quitté le cercle familial depuis le début de mes études, mais enfin j'étais indépendant à part entière. Si bien que ma famille n'eut plus aucune nouvelle de moi. Je ne sais si ils sont mort ou vivant. J'ai un petit pincement au cœur pour ma mère, elle qui était si douce, elle me manque parfois. Et puis je repère une future victime et je l'oublie. Pour en revenir à cette époque bénie, celle de mes 23 ans, j'avais tout ! L'argent, le travail, les femmes et les hommes. Oui j'aime les deux, j'adore toucher le corps d'une femme exactement comme celui d'un homme. J'aime soumettre ces derniers, qu'ils m’obéissent alors que je leur fais subir les pires outrages. Pour les demoiselles ce n'est pas différent. La domination que je peux avoir sur elles est complète, elles accèdent au moindre de mes désirs quand je leur demande avec un sourire charmant. L'amour ? Il n'y a pas de place pour l'amour. Saviez vous que nous pouvions atteindre la même extase que l'amour en mangeant 4 carrés de chocolat ? Et bien maintenant vous le savez. L'amour n'est qu'une réaction chimique du cerveau, c'est futile et ça rend faible. Très peu pour moi. Peut-être un jour tomberais-je amoureux ? Nous verrons bien ! Si je ne l'ai pas tué d'ici là...


Parlons de mon addiction, la plus douce qui m'est été donné de voir. Oui je fume et oui il m'arrive de boire. Parfois de consommer de la drogue certes mais je ne parle pas de ça mais de quelque chose de plus doux. De plus fin et de meilleur. La mort et le meurtre. Je le pratique depuis 7 ans. Et avant que vous vous posiez la question non je n'ai aucune voix dans ma tête qui me commande. Je ne suis pas fou je vous ai dis, je tue car j'aime ça. J'aime le pouvoir et la domination. Certes je pourrais trouver mon bonheur dans un club sadomasochiste mais le problème, c'est que j'aime aussi le sang. Le sentir couler sur mes mains, chaud et liquide comme le plus précieux des nectars. L’essence même de la vie, j'adore le voir jaillir d'une artère que je viens de briser, le goutter même avant qu'il ne coule sur moi comme un cadeau du ciel. Bon vous avez raison je suis peut-être fou... Mais la folie est un don de Dieu. Je ne me suis jamais fait attraper depuis 7 ans car tout simplement je n'ai jamais laissé d'empreinte derrière moi. Ils ne me trouveront jamais, qui pourrait soupçonner le gentil infirmier polie et mignon ? Personne c'est pour cela que je tue encore et encore. J'ai compté 80 victimes mais je dois frôler une centaines de meutres maintenant. En revanche je n'agis jamais sous la colère car elle me ferait commettre des fautes. La drogue parfois oui, un petit rail de coke sur le ventre ou la cuisse de ma future victime cela peut-être amusant. Mais rien de plus. Ou je les trouve ? Partout ! Dans les casinos, boites, bars etc... Hommes ou femmes et peut importe l'age, je ne suis pas difficile, mais jamais d'enfant je ne suis pas un psychopathe tout de même ! Enfin si mais bon... Et puis c'est plus amusant avec des adultes, voir un homme pleurer me fait rire alors qu'une femme qui se débat m'agace, pense-elle vraiment pouvoir partir ? L'espoir fait vivre. Bref mon arme fétiche est le poignard, ce qui explique pourquoi je le porte en tatouage sur ma hanche droite. Ce dessin ancré dans ma peau représente un ange se faisant poignarder, drôle de contraste ! Je suis un diable portant un visage d'ange et un sourire ravageur. Mon physique m'aide bien pour séduire d'ailleurs. Et avant que vous vous posiez la question non je n'arrêterais jamais de tuer car j'aime trop ça. J'éprouve un plaisir pervers voire sexuel, aussi violent qu'une pénétration quand je plante mon poignard dans une peau chaude. Et je tue le plus lentement possible, je connais le corps humain par cœur et je sais exactement où planter pour que ma proie mette du temps à mourir. C'est bien simple, aucune de mes victimes n'a jamais survécus, je reste pour récolter jusqu'à leurs dernier souffle, leurs dernière larme. Jee suis sur Tijuana depuis 6 mois. J'ai quitté mon ancienne ville Boston, après avoir fait 10 victimes. Encore une fois la police n'a aucun indice et ils s'arrachent les cheveux. Cherchez mes beaux cherchez... En attendant je me régale. Le meilleur d'ailleurs à été ma dernière victime avant de fuir. Un jeune flic du FBI que j'ai séduis, il m'a ramené chez lui avant que je lui ôte la vie. Et pour les narguer j'ai fièrement posé son insigne policier sur son corps sans vie. Ils doivent s'arracher les cheveux à Boston et c'est ça le meilleur. Je pense rester ici longtemps, mes pulsions se sont calmés... Enfin pour l'instant.