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| come on baby, light my fire. | |
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Klaus H. MülherMEMBRE PERVERS • part of the dark
▻ Préférence : Hétéro ▻ Célébrité : Cam Gigandet ▻ Messages : 11 ▻ Date d'inscription : 08/06/2012
| Sujet: come on baby, light my fire. Mer 29 Aoû - 20:03 | |
| Klaus Hans Mülher « let me put my love into you » ▻ Nom : Mülher ▻ Prénom : Klaus Hans Âge : 27 ans ▻ Date et lieu de naissance : 16 Novembre, Berlin ▻ Métier : Dealeur ▻ Orientation sexuelle : Hétéro ▻ Statut social : Propriétaire d'Anna ▻ À tijuana depuis : Une poignée de semaines ▻ Caractère : violent, possessif, séducteur, arrogant, bagarreur, impatient, vulgaire, dangereux, ambitieux, exigeant ▻ Groupe : I wanna sex you up ▻ Célébrité : Cam Gigandet ▻ Crédit : tumblr Little more about you ▻ Manies et habitudes Klaus est un fumeur invétéré ainsi qu'un amateur d'alcools confirmé — Il ne conçoit que très rarement la baise sans excès, sans prendre sa partenaire sans la moindre retenue — Il a fait ses premières armes dans un gang, expérimentant dès lors les degrés de la violence et de la décadence à une échelle extrême — Il commerce de la drogue mais n'en consomme jamais, sachant tous les risques que l'on encourt — Depuis sa rencontre avec Anna, son existence a été grandement modifié : le rendant moins libertin et plus soucieux de savoir ce que pense la jeune femme (et pas seulement sur la cadence des coups de reins qu'il lui prodigue) — Klaus a fui les Etats-Unis pour ne pas être interpellé par la police américaine — Quelques cicatrices errent sur son corps, vestiges d'un passé où il a encaissé — Le sexe rythme sa vie, et il a la chance de côtoyer une nymphomane — Il est très possessif, souhaitant constamment savoir ce que fait sa compagne, avec qui, et quand elle sera disponible pour un coït violent — Klaus n'est pas très sociable, ne développant qu'à peine ses rapports avec les autres personnes — Il conduit une moto, n'employant que très rarement une voiture même si Anna a le don de rendre les trajets intéressants
▻ Votre dépendance Dès son adolescence, Klaus s'est employé à se construire un physique à la hauteur de ses prétentions : dès lors qu'il en avait la stature, il laissa aller ses pulsions. Parsemant sa vie de baises torrides, enchaînant les coups d'un soir et ne récidivant que très rarement avec la même partenaire. Dès lors qu'il s'est livré à la luxure, il n'en a jamais eu assez et s'est employé à assouvir ses envies en intégrant un gang puis en dealant. Sa force lui a permis de se sortir de nombreuses situations gênantes face à un homme trompé et désireux de se venger. Dans ses excès, bien des femmes l'ont suivi mais n'ont que très rarement su le suivre, soucieuses d'avoir des discussions et autres éléments dont Klaus a toujours trouvé futile. Sa logique s'est un peu effacée depuis qu'il a goûté à une blonde, cessant de séduire pour se consacrer à une seule femme qui ne lui a pas fait défaut jusqu'à présent. Emménageant chez lui, aimant le réveiller en un blow-job pervers ou à se faire prendre sous la douche. Elle a accepté de le suivre à Tijuana car ayant elle-aussi des affaires à y mener par sa carrière pornographique, et ils en viennent à perpétuer une relation des plus électriques. Behind the screen | ▻ Pseudo : Citizen ▻ Âge> : Twenty-one ▻ Où avez-vous connu le forum ? : Par Bazzart, en premier lieu ▻ Fréquence de connexion : 6j/7j ▻ Un commentaire ? : Anna, tu vas prendre |
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Dernière édition par Klaus H. Mülher le Ven 31 Aoû - 22:54, édité 5 fois |
| | | Klaus H. MülherMEMBRE PERVERS • part of the dark
▻ Préférence : Hétéro ▻ Célébrité : Cam Gigandet ▻ Messages : 11 ▻ Date d'inscription : 08/06/2012
| Sujet: Re: come on baby, light my fire. Mer 29 Aoû - 20:03 | |
| My story « he's a sex machine, ready to reload »
Some people think they're always right. — THE GERMAN ANIMAL
Son baptême. Son heure de gloire. La clim était foireuse, le garage était vaste — remake fahrenheit 451. Les membres du gang en cercle, observant le corps à moitié nu et suspendu par une chaîne d'un traître au plafond. Ayant livré des informations, détourné de l'argent, baisé les mauvaises personnes. Les larmes avaient rendu ses yeux cireux. Sa peau était tannée par les coups : battes de base-ball, poings américains et autres objets en étaient venu à s'abattre sur ses os qui lui faisaient si mal désormais. Il avait craché. Littéralement et symboliquement. Quelques complices, quelques putes qui ouvraient un peu trop les frontières de leurs cuisses ; du sang et des dents ; les gars qui trempaient vraiment, ceux qui s'y baignaient dans toute cette affaire sans le savoir. Le boss, Pledge, ne chercha pas même à demander l'unanimité : il avait fini sa clope, et il fit un mouvement de la main vers l'exécuteur. Une voix s'éleva : « Profitons-en pour accueillir un nouveau membre. » Les yeux ne se tournèrent pas même vers Elmore. On fumait, on faisait craquer les articulations. Cervicales, doigts, expirations de fumée grisâtre. Pledge hésita, se tournant vers Klaus. Masse de muscles qui participait à la vie du gang depuis plusieurs mois. Possédant désormais un sacré palmarès, en plus d'avoir pour surnom « la bête allemande ». Pillant, cognant, violant. Légèrement en retrait, il étudiait la scène jusqu'à présent d'un air absent mais il reprit de la contenance en voyant qu'on l'observait. Le boss se contenta de lui faire un mouvement de tête pour l'inviter à s'exécuter. Il ne se fit pas prier. Vingt-ans, de la rage à la place du sang, il était le candidat alpha. Le modèle à suivre, à imiter, même s'il avait tendance à commettre des débordements. Tabassant jusqu'à ce que mort s'ensuive. Ne cherchant jamais à se remettre en cause. Klaus s'empara du chalumeau ; l'autre couinait, suppliant faiblement. La flamme bleue/orange commença à caresser la peau du dos. Il fallait effacer le tatouage, réservé aux membres, présent sur le dos du traître. Il fallait laver l'affront dans la chaleur. L'autre se tortillait. L'autre commençait à reprendre de la voix à mesure que Klaus faisait brûler son épiderme. Au bout de dix minutes, il n'y avait plus qu'une vaste tâche noire, l'odeur de chair brûlée, et puis une veste qui vole dans les airs. L'allemand l'attrapa, esquissant un sourire en coin. On l'intégrait enfin dans la meute. On le frappa à l'épaule, derrière la nuque. On l'attira à l'extérieur. Un ami le frappa d'un coup de coude au ventre avant de placer ses doigts en V, faisant courir sa langue au milieu. Au bar, on annonça que l'on avait réparé la clim : tournée générale. L'alcool abreuva tout le monde. On parla encore un peu du traître. Klaus respira ses habits, déclarant que la traîtrise avait la senteur d'un cochon. Certains en vinrent à renchérir, les rires fusèrent. Une nana, brune, cheveux longs, mini-jupe, déambula devant lui. Elle l'attrapa par le col : l'égo de l'allemand veilla à s'injecter le peu de sang-froid qu'il possédait, il écarta les bras, comme s'il se sentait obligé de suivre la jeune femme. Prostituée. Voulant devenir une régulière pour cesser de bosser, et avoir des virées en moto. Elle l'entraîna dans une piaule. Elle le fit s'asseoir sur le lit. Commença sa numéro. Remuant des hanches, du cul, des mains, des cheveux. Klaus en profita pour s'allumer une clope. Elle rompit un peu le charme en lui demandant, tout en le caressant, ce qu'il voulait. L'allemand s'autorisa des secondes de réflexion. Elle souriait, il souriait. Il se releva, dégageant sa ceinture, son falzar, son boxer. « A genoux » lâcha-t-il froidement. La pute leva un sourcil, s'agenouilla. Et se mit à le pomper frénétiquement.
— TAKE MY REVENGE
Cinq ans de taule. Cinq ans. Causes : un braquage foiré, à la reservoir dogs, mais le film ne le faisait plus sourire maintenant que cela lui était arrivé. Il était à peine dans le gang, officiellement. On lui confiait désormais de sacrées responsabilités. Les putes n'arrêtaient pas de se caler dans sa piaule, cherchant à y stationner : il les sodomisait et leur disait d'aller se faire foutre. Il tuait, il volait. Jusqu'à ce que la prison ne l'entraîne à l'ombre : on cherchait le traître à l'origine de tout cela, encore un autre, à croire qu'il y avait une véritable gangrène dans le club. Il patienta. Il recevait au parloir les membres de la bande, lui donnant continuellement des informations. A l'intérieur de la taule, il avait reformé une minuscule enclave de salopards, se protégeant et affrontant les autres durant les quelques émeutes. Il manqua de peu de se faire suriner dans les douches. Réellement, pas sexuellement. De ce côté-là, Klaus fit abstinence. Chaque désir était réprimé dans des pompes faites à même le sol, une centaine pour chaque pensée érotique. Ses muscles se développèrent férocement. Il avait laissé sa barbe pousser, ses cheveux étaient courts : l'allemand se transformait un autre, une peau de passage. A sa libération, on connaissait le connard qui avait balancé le braquage, il ne faisait pas parti du gang : il avait une sœur. Klaus, tout en faisant un doigt d'honneur à la prison, démarra sa moto, fila à son appart'. Deux putes l'y attendaient mais il les snoba, se refaisant une santé, se rasant. Direction la baraque de la balance. La rumeur voulait qu'il frappait sa soeur, la gardait prisonnière, vierge, mignonne, en attendant de la caser avec le mec idéal. C'était un type un peu cinglé, amoureux de la psychanalyse, filmant des petits pornos et trempant dans des histoires sales : il faisait même le commerce de petites gamines. Le braquage l'avait touché dans le sens où c'était lui qui avait donné les infos, ayant fait chanté un pédophile pour ça. Il s'était rétracté au dernier moment. Klaus, avec deux-trois collègues du gang, le firent saigner dès qu'il ouvrit la porte. L'attachant, le rouant de coups. La sœur chercha à protester : l'allemand la cala sur un lit, lui déchirant ses habits, faisant descendre sa petite culotte. Il la défonça. Le frangin, assistant à la scène, hurla d'arrêter : la même petite culotte se retrouva dans sa bouche comme bâillon. Klaus baisa la petite sœur, la força à le sucer, puis en vint même à s'approprier son petit cul. Le reste de la bande, chacun à son tour, lui passa dessus. Klaus avait entraîné le frère si bon samaritain avec sa famille, si Judas avec le gang : de la piaule, porte fermée, les gémissements de la soeurette qui prenait les queues entre les reins. L’abstinence qu'elle avait subi était maintenant bien révolue. Hurlements en toile de fond, l'allemand expliqua le topo. « Tu as une dette, envers nous, alors on va prendre la beauté qui commence à apprécier ce qu'on lui fait à côté. Tu vas vivre encore un peu, juste le temps de savourer ton erreur. Promis, la mort sera pour bientôt. Embarquez-le, on va s'amuser un peu. » Six jours plus tard, la sœur semblait aimer son nouveau statut de putain de la bande, étant la victime de tournantes régulières : le frangin fut écartelé par deux Harley lancées à toute vitesse. Klaus en pilotait l'une : plus jamais il ne retournerait en prison, c'était un serment mental.
Let me put my love into you — YOU'RE MY PROPERTY
Il coupa le contact de sa moto. Ses phalanges le brûlaient. Une douleur vive, revenant de temps à autre. Il entra dans l'appart'. Impossible d'allumer une clope : sous de l'eau froide, ses mains traînèrent. Évacuant le sang qu'il avait fait coulé, et regrettant amèrement de ne pas avoir eu un poing américain. Tout en les séchant, et sans bruit, il alla dans la piaule. La blonde dormait. Un regard à l'horloge : une heure du mat'. La blonde était planquée sous les draps. Klaus s'apprêta à siffler : histoire de réveiller sa salope. Sa voisine. Il stoppa sa pensée. Accentua les frottements du torchon contre ses articulations endolories. Elle était couchée sur le côté, l'air paisible. Anna. Ô, Anna. Il parvint à déplacer un peu la couverture, dévoilant lentement la peau pâle de son corps, le sommet d'un sein. Klaus passa brièvement sa langue sur sa lèvre inférieure. Il retourna dans la salle de bain. Passant de l'eau sur son visage, retirant ses vêtements : filant sous la douche. Cinq minutes, top chrono. A son retour dans la chambre, avec juste une serviette autour de la taille, Anna n'avait pas bougé. C'était tentant. Il s'alluma une clope, y parvenant sans trop trembler. Sa serviette tomba. Sa trique se décida à se réveiller, dans la bouche de la blonde : il avait pincé les narines, l'obligeant ainsi pour respirer à entrouvrir instinctivement les lèvres. Il se cala dans sa gueule, donnant de légers coups de reins. Blow-job passif — blow-job dégueulasse. Il gonflait, à chaque aller, une joue de la blonde. Il ressentait une vaste excitation, contemplant les yeux clos de son esclave alors que sa queue investissait toujours un peu plus sa cavité buccale. Il fumait, donnait des coups de reins, à côté du lit. Peu à peu, la place commençait à manquer. Et Klaus réclamait davantage. Sa main tâta un peu un sein, avant de descendre, descendre, descendre. Doigts commettant une caresse appuyée le long du corps. Anna bougea un peu, il cessa de l'étouffer en retirant sa trique d'entre ses lèvres. Il en vint à prodiguer un léger massage à l'entre-jambes. Créant des frissons, des soubresauts aux paupières de la blonde. Klaus s'allongea sur le lit, à côté d'elle. La faisant se tourner un peu, histoire qu'elle soit sur le dos. Il reprit la masturbation. Taquine, salace, discrète. Son pouce attisa l'électricité à chaque passage. Son doigt d'honneur s'infiltrait de temps à autre, à peine. L'index taquinait la corolle également. Elle mouillait. Elle se croyait dans un rêve érotique. L'allemand écarta les cuisses ; l'allemand, le corps encore humide, se plaça au-dessus d'elle — queue caressant vagina. Il la pénétra jusqu'à la garde, son souffle chaud se perdant dans le même temps au cou de la blonde : elle se réveilla. Hoquetant un gémissement. Il démarra le roulement de son bassin comme si elle était consentante, laminant l'entre-jambes avec férocité. Ses mains tenaient les hanches de sa propriété sexuelle, puis les jambes pour qu'elle les écarte encore plus. Klaus se frayait un chemin dans de la baise, captant même dans l'obscurité le regard inquisiteur et pourtant enclin de Anna. Elle "acceptait" les centimètres de chair qui ne lui appartenaient, qui la ravageaient. Toujours plus profondément, toujours plus rapidement. Le claquement de leurs corps faisait du bruit. La chaleur montait d'un cran. Il manipula ses seins sans grande précaution mordant, froissant, écrasant. Son « amour » sexuel donnait à Klaus l'élégance d'un animal sauvage, un ocelot en quête de sensations acerbes. De sentir la frêle ancienne putain, la strip-teaseuse chevronnée qui se faisait démonter par lui. C'était son appart', son havre de paix, mais l'allemand souillait tout cela. Quand il voulait baiser, et sa porte et son entre-jambes lui devaient être disponibles. Il lui fit mettre ses jambes en M avec son corps, posant une main sur le ventre de la jeune femme : le rythme était moins électrique, mais il accentuait son coup de rein pour bien buter jusqu'au fond de l'intimité. Ses bourses tressautaient. Il rageait. S'exhiber ses tatouages et ses blessures lorsqu'il relevait son torse, son visage prenant également un air plus terrifiant. Il lui fit suçoter son doigt d'honneur tout en la baisant, l'acclimatant à une très longue nuit.
Anna, encore bercée sans nul doute par un songe euthanasiant, se retrouva à quatre pattes sur le lit, les mains de l'allemand en train de s'approprier ses formes. Ses courbes : seins, cul, jambes. Il l'étouffa un peu en tenant entre ses mains son cou. Sa queue disparut au nouveau entre ses reins, tout en ayant toujours un peu plus l'intention de la prendre vraiment par-derrière. Cela se produisit alors qu'elle était à nouveau véritablement couchée, ayant désormais une vaste brûlure entre ses reins, et maintenant le corps de Klaus pilonnait son arrière-train. S'exaltant dans l'acte obscène qui la faisait gémir et mordre ses draps/oreillers. L'angle était remarquable pour déverser sa rage, les tressautements de son bassin en venant au bout du compte à lui perdre d'enfoncer presque la moitié de son membre. Il poursuivait l'exercice, encore et encore. Ses mains faisaient claquer les fessées en parallèle. Le petit cul rebondi de Anna ne connut le repos qu'au bout de nombreuses minutes, ne connaissant pas le sang blanc que Klaus préféra confier à son vagina dans un râle. Il retomba à côté d'elle, l'esprit satisfait, le corps presque vidé. Sa blonde allait prendre à nouveau, elle le savait : et rien ne l'empêcherait d'entraîner de nouveaux chapitres de décadence : entre ses reins, ses fesses, ses lèvres.
Dernière édition par Klaus H. Mülher le Mer 29 Aoû - 21:00, édité 2 fois |
| | | Anna D. Floydadmin • dirty bitch, sexy slut, hot whore
▻ Préférence : les hommes ▻ Célébrité : Scarlett Johansson ▻ Messages : 645 ▻ Date d'inscription : 12/12/2011
| Sujet: Re: come on baby, light my fire. Mer 29 Aoû - 20:04 | |
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| | | Alana J. Di NataleC'mon Baby, C'mon Darling ♦ I don't bite ... ♦ Really?
▻ Préférence : Bisexuelle ▻ Célébrité : KateHOTBeckinsale ▻ Messages : 644 ▻ Date d'inscription : 08/03/2012
| Sujet: Re: come on baby, light my fire. Mer 29 Aoû - 20:06 | |
| Cam Re à toi et bon courage pour ta fichette ^^ |
| | | Klaus H. MülherMEMBRE PERVERS • part of the dark
▻ Préférence : Hétéro ▻ Célébrité : Cam Gigandet ▻ Messages : 11 ▻ Date d'inscription : 08/06/2012
| Sujet: Re: come on baby, light my fire. Mer 29 Aoû - 20:09 | |
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| | | Alana J. Di NataleC'mon Baby, C'mon Darling ♦ I don't bite ... ♦ Really?
▻ Préférence : Bisexuelle ▻ Célébrité : KateHOTBeckinsale ▻ Messages : 644 ▻ Date d'inscription : 08/03/2012
| Sujet: Re: come on baby, light my fire. Mer 29 Aoû - 20:11 | |
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| | | Anna D. Floydadmin • dirty bitch, sexy slut, hot whore
▻ Préférence : les hommes ▻ Célébrité : Scarlett Johansson ▻ Messages : 645 ▻ Date d'inscription : 12/12/2011
| Sujet: Re: come on baby, light my fire. Jeu 30 Aoû - 3:01 | |
| Mais de rien mon mâle |
| | | Anna D. Floydadmin • dirty bitch, sexy slut, hot whore
▻ Préférence : les hommes ▻ Célébrité : Scarlett Johansson ▻ Messages : 645 ▻ Date d'inscription : 12/12/2011
| Sujet: Re: come on baby, light my fire. Sam 1 Sep - 0:03 | |
| Je te valides, faisons l'amour |
| | | Klaus H. MülherMEMBRE PERVERS • part of the dark
▻ Préférence : Hétéro ▻ Célébrité : Cam Gigandet ▻ Messages : 11 ▻ Date d'inscription : 08/06/2012
| Sujet: Re: come on baby, light my fire. Sam 1 Sep - 0:06 | |
| Hum, avec plaisir |
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| Sujet: Re: come on baby, light my fire. | |
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| | | | come on baby, light my fire. | |
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