▻ Manies et habitudes

★ Elle sourit par réflexe, même lorsqu’elle n’est pas heureuse. En fait, son sourire exprime toutes ses émotions il change légèrement pour les exprimer c’est tout. ★ Elle adore voyagé, visité des villes toutes plus chaudes les unes que les autres. ★ Partager son lit avec des hommes. ★ Mettre le feu à des maisons. ★ Elle adore sortir en boite ou aller à des galas. ★ Elle n’a aucun remord.★Ne laisse jamais ses larmes coulé devant les gens ★ Elle a l'air d'un ange, mais en fait ce n'est qu'une impression ★ Lorsqu'elle entre dans une pièce son premier réflexe est de regarder les moyens pour sortir en cas de pépin ★ Elle ressent le besoin d'avoir de l'argent sur elle en tout moment ★ Lorsqu'elle ment elle porte ses mains à sa bouche souvent pour cacher le rire qui la prend. ★ Elle se montre extrêmement directe quand les gens l'ennuis. ★ Elle tue lorsque quelqu'un ne fais pas son bonheur ou l'offense. ★ Son arme préféré est un fusil qu'elle traîne toujours avec elle, mais elle aime particulièrement les explosifs aussi. ★ Elle adore se préparer et séduire les hommes qui l'entour. ★ Elle aime couché avec les hommes de main de son père, mais ayant fait le tour elle s'est un peu concentré sur la nouveauté, elle sort donc en boite pour en trouver ★ Sa couleur préféré est le rouge ★

▻ Votre dépendance

C’est bien connu une enfance dans la violence entraine des adultes à la violence. C’est précisément le cas de Liliya. En fait, depuis son tout jeune âge on lui a apprit à tuer, à torturer, mais surtout à être capable de faire mal sans que ça lui retombe dessus. Bien sur lorsqu’elle était plus jeune, c’était de manière détourné. La gymnastique pour l’agilité, le cross country pour l’endurance, les arts martiaux pour l’auto-défense. Mais un jour, étant ce qu’elle est, elle s’est fait kidnapper. Ça devait bien arrivé surtout qu’à ses 14 ans, elle commençait à être imprudente et à s’enfuir pendant la nuit. Lorsque ton père est une cible de choix, c’est rarement une bonne idée. Après plusieurs jours de torture à crever de faim, elle apprit finalement ce qui est réellement son père. Elle fini par être libéré et depuis, sa soif de violence est inégalable. Elle se mit donc à apprendre à survivre, à endurer les techniques de torture, à suivre un entrainement beaucoup plus dur, et beaucoup plus rigoureux. Elle devait être sans faille! Aujourd’hui, elle n’hésite pas si elle besoin d’en venir aux manières fortes que se soi des explosions, des coups de feu, des coups de poing ou une session de torture tout simplement. Si elle doit tuer elle le fera et elle le fait, puisqu’elle a finit par effectuer des missions pour son père. Pourtant ce qu'elle aime encore plus que la violence c'est l'argent. Elle n'arriverait pas à ne pas en avoir sur elle. C'est une élément vital de sa vie. Sans argent, elle considère que la vie ne vaux pas la peine d'être vécu, alors même si elle en a à profusion elle fait des petits boulots pour que son père augmente son argent de poche.

Liliya est née à Moscou, mais elle n’y est pas rester longtemps son grand-père rappelant son fils auprès de lui à tijuana. La jeune fille fit alors le transport entre là et la maison familiale situé plus loin et beaucoup plus protégé que la maison où ils font leurs besognes. Sa famille descendant d’une longue ligné de mafieux. Effectivement grâce à la ruse et à la cruauté de son grand-père, ils ont finit à la tête de la mafia russe.


Le sang coulait sur ma joue à cause de l’entaille que j’avais à la pommette. Mon corps tremblait de peur, mais ma colère était immense. Il passait certaines heures toujours précis, comment je le savais ? Je comptais pour ne pas penser à ma douleur. Mon corps m’élançais cela faisait quatre fois qu’il passait me voir donc 3 fois 3574. J’ignorais ça faisait combien de minutes, mais ça me semblait une éternité. J’en étais à 2495 lorsque je perdis connaissance pour la première fois.

Lorsque je rouvris les yeux je n’étais plus à la vertical mais à l’horizontal. Je cru d’abords qu’on m’avait déplacé sur une table pour continuer à me torturer la réalité fut toute autre. Le sol était dur et froid sous moi, du ciment avec une odeur humide et infecte. Une odeur de fer régnait où étais-ce le goût dans ma bouche ? Probablement les deux. J’ouvris alors les yeux pour constater le néant qui m’entourait, pas la moindre étincelle de lumière le moindre filament ne me parvenait. Je posai alors prudemment mes mains contre la paroi, de la roche partout autour de moi. J’étais prisonnière, immobilisé dans cet endroit sordide. Même à buter au dessus de ma tête rien ne semblait bouger, à mes pieds non plus. Comment ça pouvait seulement être possible ? Je l’ignorais, mais je ne pensais pas clairement non plus.

Au bout de quelques minutes, je perdis connaissance une autre fois. Je pouvais être resté dans les vapes pendant des heures sans m’en rendre compte en fait je n’avais aucunement la notion du temps, mais aucune manière de l’avoir non plus…

Les années qui suivirent ne lui servirent que d’entrainement pour résister aux supplices qu’on pouvait lui infliger. Son cœur s’endurcit, mais elle garda son sourire, le rendant plus fort même. Plus jamais personne ne lui ferait du mal elle ne le permettrait pas, plus jamais !


La voix du professeur retentis dans la pièce :

-«Liliya Zol..ne..ro..»

-«Oui c’est moi !» Dis-je lui épargnant le reste de mon nom.

J’ignorais ce qu’avait les américains avec mon nom, mais ils le disaient soi incorrectement, soi ils prenaient une éternité avant de le dire complètement. C’était la même chose dans tous mes cours où le professeur se faisait un devoir de prendre les présences… Comme si nous n’étions pas responsables de nos actes pour la plupart nous vivions déjà dans notre appartement avec un travail certain une famille. Bon j’étais l’exception, mais pourquoi me casser la tête à travaillé lorsque ton père est un des hommes les plus riches de la terre ? Aucune. Pourquoi j’étudiais si ce n’étais pas pour travaillé ? Le plaisir tout simplement, la soif d’apprendre comme on dit. Ayant toujours eu des titulaires venant m’apprendre une multitude de disciplines j’avais fini par acquérir des connaissances bien au dessus de la moyenne. J’avais une éducation presque parfaite, bien sur j’avais délaissé les matières ordinaires et sans intérêts comme les langues primaires, pour m’intéresser à des sujets beaucoup plus intéressant soi les langues mortes, la psychologie, la sociologie, l’histoire, l’art, tout ce qui m’intéressait, je le faisais. Même si on me disait souvent que je ne pouvais pas choisir ainsi il n’y avait rien qu’une somme d’argent ne pouvait régler.

-«Vous pouvez me dire de quel origine vous êtes au juste avec un nom comme celui-ci vous ne devez certainement pas être américaine ?»

-«Je suis russe effectivement, mais bon vous auriez pu trouver plus original comme question… »

Dans tous les cours d’histoire, c’était la même chose. Je souris lorsque je vis la réaction du professeur, naturellement il ne s’attendait pas à cette réaction. Disons simplement que c’est ce qu’on obtient à ne pas réfléchir… Et puis ce n’est pas comme si mon nom de famille était rarement mentionné, c’est temps-ci il faisait les manchettes a cause d’une histoire de territoire en Californie. J’allais probablement devoir quitter cet état d’ailleurs si l’on faisait le lien entre moi et mon père ça allait mal aller pour moi. Je ne passais qu’en coup de vent partout où j’aillais en fait je n’étais pas encore resté au même endroit plus que 2 ans depuis que j’avais quitté la résidence familiale. Quoiqu’aujourd’hui, ce fût une vraie forteresse, je n’avais jamais voulu y retourner, mais j’allais devoir le faire pour être en sécurité. Au revoir New-York, Bonjour Tijuana, à nouveau…



-«Nous sommes réunit aujourd’hui pour célébré la messe funèbre de Aidan Zolnerowich. C’est en un jour triste qu’il nous a quit…»

Je n’entendais plus rien, je n’en avais rien à faire des paroles d’un curé qui ne connaissait pas mon grand-père pouvait dire sur lui. S’il l’avait connu probablement ces paroles auraient été moins élogieuses. Peu importe, moi je l’avais aimé. J’étais ‘’sa petite fleur’’ surnom plus qu’ironique, mais on ne reprend pas quelqu’un comme mon grand-père était.

En regardant autour de moi je vis des visages tristes, pratiquement tous de ma famille… Des visages qui feintaient une émotion de recueillement, s’en était à vomir. Un visage retient mon attention puisque celui-ci n’exprimait aucune émotion. Je savais qui il était, mais je savais également que mon père me punirait si je me vengeais. Et je n’avais aucun intérêt à me mettre le nouveau chef de la mafia à dos pour avoir tué l’un de ses subordonner. Je remarquai alors que tous les visages qui m’entourait avait tous une chose en commun, aucun ne pleurait, même ma grand-mère était dans une espèce de douleur silencieuse. Je me rapprochai alors d’elle et la prit dans mes bras. Si cela m’était difficile je n’imaginais pas ce que ça pouvait être pour elle.

Lorsque la cérémonie fut terminer je la ramenai à la maison où je lui préparais sa tisane et la borda. Elle était une Zolnerowich et je savais qu’elle ne pleurait que lorsqu’elle serait entièrement seule. Alors je déposai un baisé sur son front, la laissant dans sa chambre. Je sortis alors retrouver ma chambre également.


-«Les sœurs Dushku arrivent Liliya, alors descend. Tu devras prendre soin d’elles, comme leur frère prend soin de nous.»

-«Je dois tuer leurs ennemies ?» Demandai-je sarcastique

Le regard que me lança mon père me fit voir qu’il ne riait pas et qu’il n’y avait aucune place à la plaisanterie. Heureusement que je ne vivais plus dans la même bâtisse que lui. Déjà d’avoir à vivre sur le terrain familiale ce n’était pas l’idéal quand on a 25 ans, si en plus je devais partager ma maison avec lui ça serait horrible, quoique maintenant j’allais avoir des colocataires…

Et c’est ainsi que s’annonça un nouveau chapitre de ma vie…